« Faire émerger un ville vivante »
La décennie qui s’est ouverte en 2020 connaîtra à plus d’un titre des changements importants. L’urgence climatique, tout d’abord, est en train d’inscrire la nature dans la ville comme nouvel horizon de résilience à atteindre. L’urgence démographique, ensuite, va entraîner un grand renouvellement des générations qui aura lieu d’ici 2035. Par ailleurs, la crise Covid aura vu nos comportements et nos envies se modifier. Les conséquences sur la santé mentale de cette crise sont, en outre, encore visibles pour certains. Pour d’autres, ce fut une opportunité de modifier son mode de vie. Pour la plupart, le manque de relations sociales pendant les périodes de confinement aura montré toute l’importance de celle-ci. Les effets de cette crise doivent dès lors être pris en compte pour les actions publiques futures.
Un enjeu majeur nous attend dans la décennie à venir. Il s’agit de recréer une expérience immersive et empathique de la nature en ville, au point de devoir faire émerger la « Ville vivante ». Cette ville dans laquelle la nature n’est plus une chose à part qu’il s’agit d’exploiter ou de contempler, mais fait partie de notre vie, de notre habitat.
Comment dès lors accepter la nature déjà là ? Comment accepter la nature comme elle est et pas comme nous voudrions qu’elle soit ? Comment renouer avec la vie sauvage en ville ? Comment accepter le long terme nécessaire à la nature ?
La lutte contre le changement climatique et leurs effets sur les territoires passe par une place plus grande laissée à la nature dans la ville. Il s’agit notamment de favoriser l’écoulement des eaux, de réduire les îlots de chaleur et d’améliorer la qualité de l’air.
Notre état de santé, physique comme mental et social, est déterminé entre autres par l’environnement dans lequel nous vivons. La présence ressourçante d’espaces verts, la qualité de l’air, le bruit, les contacts avec des produits chimiques parfois nocifs vont durablement et fortement influencer notre bien-être et celui de nos proches.
Nous passons un temps important hors de chez soi à réaliser des achats pour boire et manger. La logistique, la mobilité, les circuits courts, le soutien aux commerçants, à la vie de quartier sont des thématiques essentielles.
Aujourd’hui bien consommer, coûte cher. Comment rendre la consommation accessible à tous ?
Ce sont ces changements que nous devons préparer et voici comment nous souhaitons le faire :
Les grands points de notre programme.
Une ville avec une gestion saine
Une ville qui protège ses habitants
Une ville qui bouge
Une ville pour grandir
Une ville qui prend soin de ses habitants
Une ville qui respire

Est il normal d’épandre des grandes quantités de boues de la centrale d’épuration de IBW Tubize dans le champ a coté du moulin. Il reste +/- la moitié du tas initial qui n’est pas encore épandue. En théorie suivant la région Walonne ont peut épandre 6 tonnes par hectare (depuis le 01/01/2025). Vous est il possible de connaitre l’exacte quantité que la station a apporté par camion (tonnage) a cet endroit ainsi que le nombre d’hectare sur laquelle elle seront mise.
A vue j’estime le volume du tas qui reste aujourd’hui a +/- 80 à 90 m3. Quantité totale ( avec le tas déja disparu) +/- 180M3.
1m3 = 1,3 tonnes (degré d’humidité de 20 à 30%) donc +/- 117 tonnes
Les 2 tas pèserait d’après mois a +/- 234 tonnes. Il faudrait suivant la lois 234 : 6 = 39 hectares.
Les chiffres que j’estime étant probablement pas exacte et pour cette raison je m’adresse a vous qui pouvez peut être recevoir les bons chiffres.
Si vous le souhaitez j’ai également des photos des tas des boues sur le champ.