Une semaine, un thème : Notre commune mobile

Une semaine, un thème : Notre commune mobile

Une semaine, un thème : Comment se déplacer dans notre ville.  Répondez à ces questions pour nous donner votre avis.

Comment aimeriez-vous vous déplacer dans Tubize ?

Quelle sorte de déplacement effectuez-vous ?

Voulez-vous vous déplacer autrement à Tubize ?

Voici ce qui se passe ailleurs :

  • Un Groupe de Travail Mobilité a, depuis de nombreuses années, été instauré à Schaerbeek. Il réunit Service Voirie, Mobilité et Police. Il travaille sur l’aménagement des voiries prenant en compte les aspects mobilité et sécurité des installations. C’est ainsi que l’installation d’oreille de trottoirs sécurisant les carrefours a pu être systématisée et que les voiries communales sont en passe de devenir intégralement zone 30. Y sont aussi traitées les interpellations riveraines afin de placer radars préventifs ou aménagements de sécurisation.
  • Les villes d’Enghien et de Namur viennent de former leurs équipes de stewards urbains en leur donnant aussi la possibilité de constater les incivilités. Sur le terrain, ceux-ci peuvent dialoguer avec la population, mais aussi sanctionner les incivilités telles les voitures garées sur les trottoirs ou les passages piétons.
  • À Fléron, chaque nouveau permis d’urbanisme fait l’objet d’une vérification systématique de son accessibilité aux PMR.
  • Dans la région bruxelloise, plusieurs communes organisent des formations « Brevet du cycliste » à l’attention des élèves de 5ème primaire avec l’appui d’une association cycliste.
  • À Gand, la mise en place de « rues scolaires » vise à limiter la circulation aux abords directs des écoles une demi-heure le matin et une demi-heure le soir aux heures d’entrées et de sorties afin d’offrir un environnement sécurisé aux élèves.
  • À Schaerbeek, entre 500.000 et 1 million € sont chaque année consacrés à un Plan Trottoir ambitieux. Le même montant est consacré à un Plan Asphalte, non moins important.
  • À Watermael-Boitsfort, la création d’un réseau piétonnier sécurisé pour les personnes à mobilité réduite (PMR) dans la commune de Watermael-Boitsfort est un nouvel exemple de notre volonté d’inverser la conception de la mobilité au profit des « usagers faibles », en donnant la priorité à la sécurisation des déplacements piétons, des PMR, des cyclistes, etc….
  • En se dotant, en 2009, d’un Plan Vélo fixant les priorités en matière d’infrastructure, d’organisation et de promotion, la Ville de Namur a précédé la dynamique du Plan Wallonie Cyclable. En parallèle, elle a développé avec succès les vélos partagés ‘Li Bia Vélo’.
  • Namur a développé deux «Pedibus» (bus piétons collectifs), l’un à Malonne, l’autre à Loyers. Le Pédibus c’est un moyen écologique et économique de se rendre à l’école, c’est bon pour la santé, ça permet de découvrir la nature, de discuter avec les copains, les habitants, ça réduit le nombre de voitures aux heures d’arrivée à l’école, ça permet aux enfants de mieux maîtriser les règles de sécurité à proximité des routes… Bref, c’est un bel outil de mobilité.
  • À Raeren, la commune réinvestit les sentiers ruraux et villageois et recrée des cheminements piétons et cyclistes.
  • À Ottignies Louvain-la-Neuve, la ville n’a pas cessé d’augmenter les emplacements pour les vélos : emplacements de parkings libres sur l’espace public. L’offre en parkings couverts à contrôle d’accès et en parking vélo réservé a également été renforcée à la Maison des cyclistes de la gare d’Ottignies, mais aussi à Louvain-la-Neuve avec l’implantation de 27 boxes. Depuis 2011, ce sont près de 25km de pistes cyclables, bandes cyclables, rues cyclables, SUL, qui se sont ajoutés aux aménagements existants, soit 30% de plus, pour un total de plus de 1 million €.
  • À Fléron, on encourage l’utilisation du vélo au quotidien grâce à la mise en place systématique de SUL, une signalisation des impasses traversantes, la valorisation du RAVEL qui traverse toute la commune pour les déplacements intra-communaux, la mise en place de consignes pour la remontée des files de voitures à l’arrêt,etc. Par ailleurs, la commune montre l’exemple en achetant des vélos électriques pour les agents communaux, en utilisant des vélos et un triporteur pour le nettoyage du Ravel, etc. La commune a aussi créé de nouvelles venelles d’accès au Ravel.
  • À Namur, les voitures partagées bénéficient de carte offrant le stationnement gratuit sur le territoire.
  • Schaerbeek a mis 3 voitures communales à disposition d’une plate-forme de voitures partagées entre particuliers. Il s’agit là d’une phase test afin d’étudier la possibilité de rendre disponibles d’autres voitures communales inutilisées le week-end.
  • À Fléron, la commune a étudié des nouveaux tracés des accès des bus au centre ville pour éviter qu’ils restent calés dans les embouteillages.
  • À Namur, la Ville soutient le TEC dans l’amélioration de la fiabilité et le confort des bus : aménagement de bandes bus sur voiries communales, innovation avec la création de bandes bus “dynamiques” c’est à dire qui peuvent soit être empruntées dans les deux sens (vers la ville le matin et vers la sortie de ville le soir) soit qui ne sont actives que pendant les heures de pointes. La ville a rénové en priorité les voiries communales où passent les bus. La ville crée des liaisons cyclables et piétonnes vers les arrêts de bus.
  • À Philippeville, le Philibus circule le samedi matin et permet aux habitant-e-s de rejoindre le centre de la ville où ils peuvent avoir accès aux services communaux, au marché hebdomadaire ainsi qu’aux commerces et services. Le Philinoctambus circule lors des grandes fêtes de l’été, organisées par les jeunesses des différents villages. Il couvre actuellement 5 soirées. Ce service gratuit permet aux jeunes de se rendre en soirée et d’en revenir en toute sécurité.
  • À Havelange, la commune s’est lancée dans le projet Flexi-TEC, un système de mobilité à la demande qui permet de combler la couverture limitée de certaines zones rurales par le TEC.
  • Les communes du Sud de l’Entre-Sambre-et-Meuse se sont fédérées dans la centrale de mobilité MOBILESEM.
  • Profondeville et Ecaussinnes ont réussi à faire rouvrir leur gare, et ce en collaboration avec la SNCB et un concept de gare vivante». À Écaussinnes, la commune a mis les locaux à disposition de la Croix-Rouge et de l’ADL et le Gracq a installé des abris-vélos sécurisés et dans le hall, les navetteurs peuvent attendre au chaud. Tout le monde est gagnant.
Economie sociale ? Ça apporte quoi à Tubize ?

Economie sociale ? Ça apporte quoi à Tubize ?

Une vue d’ensemble de ces différentes initiatives associatives montre la naissance d’un nouveau secteur économique, celui de l’économie sociale.  Ce secteur est pourvoyeur d’emplois pour les travailleurs les moins qualifiés à l’entrée mais en acquérant un savoir faire professionnel au long de leur carrière. L’activité combine à la fois travail, formation générale et professionnelle.  Ce secteur favorise la participation des travailleurs aux finalités de l’entreprise.  Il donne ou rend un espoir professionnel et social à des personnes qui étaient marginalisées au plan professionnel, économique et social.

Gestion coopérative

La propriété de l’entreprise reste sociale, elle est représentée par des parts coopératives ou des avoirs d’associations sans but lucratif.  La gestion coopérative est originale, les porteurs de parts coopératives ne disposent que d’un droit de vote réduit par rapport à leurs parts sociales, ce qui réduit la puissance votale des grands actionnaires en faveur des petits.  L’entreprise ne distribue aucun dividende, si bénéfice cela reste dans l’entreprise et les administrateur siègent à titre gratuit

Quel domaine d’activité à Tubize ?

L’activité a donc une place particulière sur le marché économique. L’aspect environnementale est lié aux différentes activités. Les machines à laver, laves vaisselles et autres ne se retrouvent plus dans les fossés et autres décharges illégales.

Les aménagements de constructions de bâtiments sont axés sur les principes du développement durable.

Les composants des appareils électriques sont recyclés en vue d’une réutilisation dans une vision d’économie circulaire.

De manière empirique, sans le savoir vraiment, ne sommes nous pas en train de construire un monde nouveau, mettant en avant des valeurs émergentes et alternatives , celles de la solidarité, de l’égalité, celles des convergences et de la coopération, celles du respect de l’environnement et de la nature ?

http://www.rappel-scrl.be/

http://www.tubizecpas.be/index.php/restaurant-parfums-du-monde

https://www.belgium.be/fr/economie/economie_sociale

Une semaine, un thème: Notre commune innovante économiquement

Une semaine, un thème: Notre commune innovante économiquement

Une semaine, un thème: Notre ville innovante économiquement.

Répondez à ces questions:

Que faut-il dans une ville innovante ?

Comment voyez-vous Tubize économiquement ?

Travaillez-vous à Tubize ?

Voici ce qui se passe ailleurs:

 

  • Amsterdam : une collaboration entre l’Expatcenter et Peerby permet aux expatriés arrivant à Amsterdam d’avoir immédiatement à disposition les outils dont ils ont besoin lors de leur emménagement. Avec un compte crédité d’avance chez Peerby, il est facile obtenir des outils nécessaires auprès de quelqu’un du quartier, par exemple.
  • Amsterdam : le Collège veut faire en sorte que l’économie du partage offre ses possibilités à l’ensemble des citoyens de la Ville et ainsi améliore l’inclusion sociale. Ainsi, les plate-formes de partage ont été connectées aux 180 000 bénéficiaires du Stadspas (citoyens à faible revenu ou à la retraite bénéficiant de tarif préférentiel dans le secteur de la culture, du sport et des loisirs).  L’objectif est de familiariser ce public précarisé avec les plate-formes et les encourager à les utiliser soit comme fournisseur soit comme client.
  • Schaerbeek va lancer un-e Facilitateur-trice Idées de Demain. Son rôle sera de faciliter les relations entre les groupes citoyens porteurs d’idée innovantes et d’avenir et l’administration afin de rendre possible des initiatives inédites et confrontées à l’absence de réglementation ou d’encadrement communal.
  • Paris – Superpublic, le premier espace entièrement consacré à l’innovation dans le secteur public. Pour réinventer la façon de concevoir et mettre en œuvre des politiques publiques, nous avons besoin d’espaces neutres où discuter librement ; de zones franches dans lesquelles il est possible et encouragé de sortir des idées préconçues ; de lieux-ressources ouverts capables de faire converger les meilleures compétences en matière d’innovation publique.  D’une surface de 300 m², Superpublic est équipé pour la conduite d’ateliers de conception créative, le prototypage de projets innovants, l’organisation de rencontres et de formations spécialisées, la mise en commun de ressources et d’espaces de travail dans un esprit de coworking. Ainsi, sa bibliothèque est accessible à tous. Conçu comme le point de rencontre de la communauté pionnière en matière d’innovation publique, Superpublic est né dans le cadre d’un programme mené en 2014-2015 avec des services de l’État et des collectivités locales visant à développer de nouvelles formes d’innovation dans le secteur public.
  • Atlanta-Civic Innovation – Pour faire face aux défis et aux besoins locaux, la ville teste des solutions innovantes car elle fait face à de nombreuses contraintes : petit budget, manque de personnel, difficultés d’accès aux informations,… Ce manque de moyens se traduit par des services qui ne répondent pas aux enjeux, des solutions vieillissantes et une méfiance et un désengagement des communautés citoyennes.  La ville a ainsi créé un Centre for Civic Innovation pour positionner Atlanta comme ville innovante, juste et engagée, investissant dans des idées axées sur les collectivités, dans les entreprises à finalité sociale et environnementale. En soutenant les acteurs innovants (sociaux comme économiques) pour dialoguer et agir. Ce choix de soutenir des projets citoyens et économiques innovants rendent le secteur public plus efficace, innovant et participatif.
  • Molenbeek-FabLab.iMAL est un atelier de fabrication où toute personne (artiste, designer, ingénieur, développeur, bricoleur, étudiant, citoyen,..), quelque soit son niveau de formation, peut venir expérimenter, apprendre ou fabriquer tous types d’objets (objet artistique ou design, objet interactif, objet technique, prototype, etc…). Les membres d’un FabLab forment une communauté: ils s’entraident, échangent leur savoir-faire, construisent en commun leur connaissance dans des processus de collaboration ouverts intégrés au réseau global des FabLabs.
  • À Séoul, les autorités communales ont encouragé la création de bibliothèques de partage (dans les quartiers résidentiels) où sont mis à disposition/prêtés des ouvrages, mais également des outils, des repairs café et des formations au travail manuel avec comme objectif de recréer du lien et un esprit de communauté dans des immeubles pouvant abriter jusque 2 000 personnes.
  • Forest met à disposition des bâtiments communaux au service des initiatives citoyennes.
  • Schaerbeek : la Commune a passé un accord avec une plate-forme de voitures partagées entre particuliers afin de mettre 3 véhicules de sa flotte à disposition durant le week-end lorsqu’elles ne sont pas utilisées.
  • Séoul – Mise à disposition de locaux – 1007 bâtiments publics ont ouvert leurs portes alors qu’ils étaient normalement fermés ou inoccupés pour accueillir des initiatives citoyennes. Ils sont ainsi été utilisés prés de 22 000 fois. Séoul a aussi mis à disposition sa flotte de véhicules publics quand ils sont inutilisés, et les parkings des autorités publiques (3 000 places).
  • Amsterdam – Le Collège lance un projet-pilote, impliquant le partage de ses propres ressources : son parc de véhicules, les bureaux, le parc informatique et sa flotte maritime.
Economie sociale: Présentation de l’AID

Economie sociale: Présentation de l’AID

Au début des années 80, avec le 2nd choc pétrolier, la crise s’installe. Un phénomène jusqu’alors marginal et ponctuel s’amplifie démesurément : le chômage, qui a pour conséquence directe l’exclusion sociale d’un grand nombre de personnes.  C’est pour apporter une réponse à ces difficultés que les premières initiatives Actions Intégrées de Développement (AID) voient le jour, en 1985, portées par la démarche associative de personnes du MOC … 

Interrogé, Jacques Detienne, se rappelle: “Il a fallu un nombre incroyable de réunions pour mettre tous les acteurs d’accord pour créer cette A.I.D.  Une des questions, pas la moindre, était de trouver des locaux pour implanter l’activité de l’A.I.D. Je connaissais un des curateurs de la Faillite de Fabelta qui a permis la mise à la disposition précaire de l’ancien dispensaire de Fabelta.  C’est à cet endroit que l’activité a commencé. Activité de formation des stagiaires et activité professionnelle du travail du bois.”

Les locaux, laissés à l’abandon lors de la faillite devaient être réhabilité, ce qui est fait.  Malheureusement,il faut quitter ces locaux et recommencer la mise en état d’un hall de l’autre côté de la rue de Bruxelles.

Cet atelier de formation et d’insertion est agréé et subventionné par la région wallonne. Il entre ainsi dans une politique régionale wallonne d’insertion socioprofessionnelle.  La question de locaux définitifs se pose et une opportunité est saisie: Une firme de vente en gros de denrées dites coloniales se ferme et ses locaux sont mis en vente au boulevard G.Deryck . Ce bâtiment est acheté et transformé en ateliers et salles de cours.

Le travail du bois

La formation et l’activité professionnelle est le travail du bois. L’A.I.D. propose aux écoles la construction de modules de psychomotricité. Elle met en vente des compostières avec l’aide de la commune de Tubize. Celle-ci, solidaire, commande à l’A.I.D. l’équipement des plaines de jeux et de pistes de skateboard.

La rénovation du bâtiment, dans une perspective d’isolation et de respect de l’environnement prend une nouvelle place importante de l’activité. En collaboration avec l’école de promotion sociale de vie féminine des formations d’auxiliaires familiales polyvalentes sont organisées. Ces formations sont décentralisées dans différents lieux de la province du Brabant Wallon. Une nouvelle formation de “valoriste” est développée. Il s’agit de former à la conception de produits divers en partant de matériaux et d’objets de réemplois. Il s’agit également de préparer la création de ressourceries, comptoirs de vente, de distribution d’objets revalorisés.

On comprendra que l’entreprise d’économie sociale “A.I.D.” s’adapte aux évolutions de la société, en mettant l’accent sur la réinsertion sociale et professionnelle des stagiaires, sur leur participation, mais aussi aux préoccupations environnementales, celles de l’isolation thermique des bâtiments et du recyclage des matériaux ainsi que les objectifs d’économie d’énergie.

Un projet réussi et l’avenir en point de mire

L’agrément, par la région wallonne, de cette entreprise d’économie sociale impose, malgré ses innovations constantes, le respect des objectifs cadrés par le pouvoir politique. Elle permet la formation d’un bon nombre de stagiaires grâce à l’encadrement de moniteurs qualifiés. Elle atteint pour les stagiaires un taux de réinsertion important.

Cette entreprise était, jusqu’à présent, installée boulevard G Deryck et s’installe maintenant, avec le rappel sur la zone d’activité économique au nord du site de l’ancien Fabelta. Une entrée sur la rue de Bruxelles sera prochainement ouverte, rendant le site plus accessible et plus visible. Ce même site va accueillir la Ressourcerie Brabançonne qui permettra de vendre les produits recyclés.

http://www.aid-bw.be/

dépliant AIDTubize ok 6-10-2017

Notre commune conviviale, solidaire et dynamique

Notre commune conviviale, solidaire et dynamique

Une semaine, un thème: notre ville conviviale, solidaire et dynamique.

Répondez à ces questions :

Comment voyez-vous une ville conviviale ?

Comment vous sentez vous dans votre ville ?

Comment imaginez-vous une ville solidaire ?

Comment dynamiseriez-vous Tubize ?

Voici ce qui se passe ailleurs:

  • À Enghien, la Ville a acheté un bâtiment dans l’artère commerçante. Il aura trois fonctions: aider un-e porteur-euse de projet commercial au rez-de-chaussée, prévoir du logement public aux étages, donner accès à un élément majeur du patrimoine de la ville aujourd’hui inaccessible.
  • À Enghien, le bulletin communal présente à chaque numéro les commerçant-e-s qui se sont installés dernièrement sur le territoire et un concours offre un cadeau en relation avec l’un d’eux ou avec un événement dans la ville, un anniversaire d’un commerce, etc.
  • A Watermael-Boisfort une caravane a été transformée en un centre de créativité et de rencontres où chacun est invité à partager ses envies et y découvrir de nouveaux loisirs. Plusieurs artistes et organisations culturelles vont s’y installer pour proposer une grande variété d’activités conviviales avec, entre autres, un atelier photo, un café-papote, des projets théâtraux et des après-midis ludiques.
  • A Chièvres, la commune a décidé d’être “une commune solidaire” Cette action a pour but de faire voter une motion d’engagement dans une politique plus hospitalière envers les migrants et les sans-papiers.