Lise Jamar

Lise Jamar

J’ai 61 ans et je suis une jeune retraitée. J’ai une formation d’assistante sociale et j’ai travaillé pendant 15 ans comme psychothérapeute au Service de Santé mental à Tubize.  Je suis spécialisée dans le traitement des traumatismes.    Je souhaite continuer à aider les tubiziens par mon engagement politique.

J’habite la commune depuis peu, mais je connais ces habitants depuis longtemps.  J’ai été à leur écoute pendant 15 ans de manière professionnelle et thérapeutique, je continuerai à l’être d’une autre manière.

Auparavant, j’habitais Waterloo où j’étais conseillère communale.  Ce ne fût pas de tout repos en étant dans l’opposition avec une majorité absolue.  Il fallait se battre pour faire passer ces idées.  A Tubize, j’ai pu trouver une équipe Ecolo motivée et travailleuse ce qui m’a motivée à poursuivre mon engagement.

http://www.lalibre.be/regions/brabant/waterloo-lise-jamar-quitte-le-conseil-communal-5631225735700fb930163257

Ma priorité est bien sûr une meilleur prise en compte des problèmes psycho sociaux.  Il faut rendre accessible les services qui aident les personnes en difficulté.  Les domaines qui me sont chers sont le social, la santé, la culture et les travaux publics.

Ayant une grande connaissance de la province, je suis aussi candidate sur les listes provinciales du Brabant Wallon.

Lise Jamar

 

Sandra Dumonceau

Sandra Dumonceau

Agée de 46 ans, native de Tubize, je partage ma vie avec Gilbert et suis l’heureuse maman de Louise et d’un petit Oscar.

En 2012 lorsque Sabine Desmedt m’a proposé d’être son adjointe. J’ai sauté sur l’occasion pour me mettre au service des tubiziens.  Je travaille depuis près de 6 ans au service de l’Administration communale de Tubize.  J’assiste Sabine Desmedt dans son rôle d’Echevine. J’organise avec elle, l’aide aux aînés, l’aide aux handicapés et la protection de l’environnement.  Le travail de collaboration avec le conseil consultatif des aînés est un bel exemple de ce qui doit se faire.  Permettre aux citoyens de s’organiser en fonction de leur besoin, tout en les soutenant.  On peut citer dans leur réussite le salon des aînés, les journées sport et détente.  Nous avons des aînés actifs, et nous faisons en sorte qu’ils le soient le plus longtemps possible.

Dans la protection de l’environnement, la priorité a été la lutte contre les inondations.  Il était important de penser à l’environnement dans ce combat.  Hormis cette priorité nous avons essayé de trouver des subsides régionaux pour faire de la prévention de manière plus large et nous pouvons nous féliciter de l’action Be wapp par exemple qui est un vrai succès.

J’ai une bonne connaissance des équipes de la commune.  J’ai pu les côtoyer et me rendre compte de certaines difficultés, mais j’ai surtout rencontré des personnes très motivées par leur travail.

Je souhaite mettre toutes cette expérience au service des tubiziens.  Ma priorité est la consommation locale.  Il faut pouvoir mettre en avant les producteurs locaux.  Il faut sensibiliser les citoyens à la consommation locale et les circuits courts.  Je suis bien sûr motivée à continuer notre travail avec les aîné e s pour qu’il puisse continuer à s’organiser au mieux.

Sandra Dumonceau

Jacqueline Verket

Jacqueline Verket

Je suis impliquée au niveau communal depuis de nombreuses années.  Je fais partie du conseil consultatif communal des aînés.  Depuis 2012 avec tous les membres nous avons su prouver que nous pouvons organiser de nombreuses activités pour les aînés.  On peut dire que la politique mise en place avec Sabine Desmedt Echevinne des aînés est une réussite.  Elle nous a fait confiance et nous lui en sommes reconnaissants.

Mes priorités pour Tubize sont bien sûr la reconnaissance des aînés comme acteur actif de notre commune, mais aussi une reconnaissance des jeunes pour leur préparer un avenir serein dans notre commune.

Rendre hommage aux anciens travailleurs des forges de Clabecq

Rendre hommage aux anciens travailleurs des forges de Clabecq

La reconversion des forges avance, il faudra bientôt choisir le nom des nouvelles voiries qui seront sur le site.  Ecolo Tubize propose que le nom de ces rues portent le nom des anciens travailleurs des forges pour leur rendre hommage.  Nous demandons aussi au gouvernement fédéral d’indemniser les travailleurs avant la pose des premières pierres pour que Tubize puisse regarder l’avenir, mais en pensant à ces travailleurs qui ont fait la richesse de Tubize.

Les 87 hectares des Forges de Clabecq sont en pleine reconversion : démolition des bâtiments, assainissement des sols et permis d’urbanisme. C’est un enjeu capital pour la reconversion de la région.  Le 22 mars dernier, Duferco propriétaire des terrains présentaient la deuxième phase du projet (logement, centre commercial outlet, loisirs,….).  D’ailleurs une exposition se déroulera à partir du 7 avril et jusqu’au 23 avril au centre culturel pour présenter le projet.

exposition au centre culturel

Mais cette vision d’avenir ne doit pas nous faire oublier le passé du site.

On trouve les premières traces des forges à Clabecq en 1752.  Il s’agit véritablement de la première forge de Clabecq. À l’origine, elle se développe à partir d’un moulin à battre le fer, construit à côté même d’un moulin à farine.

En 1828, au bord de la faillite, Edouard Goffin (1796-1858) reprit la société, et sauva l’usine et l’orienta vers la transformation de produits de haut fourneau et l’utilisation de la mitraille. En 1832, c’est-à-dire 20 ans plus tard, le canal est créé, ce qui modifie considérablement le paysage économique et social de la région. Le véritable fondateur des “Forges de Clabecq, dont la statue est érigée sur la place du village, est Josse-Philippe-Edouard Goffin (1830-1887), qui développa l’entreprise.

Mais la vraie croissance des Forges arrive en 1850 et de là, on peut véritablement la considérer comme une usine. Son frère Charles-Henri Goffin (1827-1861) l’aida dans sa tâche et installa un laminoir et un raccordement au chemin de fer.

Ce qui a favorisé le développement à cet endroit est donc le canal Bruxelles-Charleroi, la présence d’un début de forge mais aussi la présence de la chaussée allant de Mons à Paris. La présence du chemin de fer a aussi favorisé l’agrandissement des Forges. Malgré l’absence de matière première sur place, elle peut arriver grâce aux moyens de communication et tout de suite repartir pour le reste de la Belgique, vers la France, et vers le monde grâce à Anvers qui est un des plus grands ports mondiaux.

Le complexe sidérurgique, qui comprend des hauts-fourneaux, des laminoirs, une coulée continue, une fonderie et une aciérie électrique, a compté jusqu’à 5324 travailleurs en 1975. Mais la faillite qui suivit fut inévitable.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Forges_de_Clabecq#Historique_des_Forges_de_Clabecq

Rendre hommage à tous les travailleurs

Dans les encyclopédies, nous parlons toujours des patrons qui ont investi souvent beaucoup d’argent dans ces grandes usines.  D’ailleurs, ils obtiennent même les hommages en ayant des noms de rue ou des statues comme la famille Goffin. Comme ils ont déjà des noms de rue.  Nous proposons que les futurs rues du site des forges soient réservées aux anciens travailleurs pour qu’eux aussi restent dans nos mémoires.  Ils nous semblent important de les mettre à l’honneur.

Voici les recommandations du service toponymie pour les noms de rue:

S’il s’agit de personnes décédées depuis plus de cinquante ans, il n’y a normalement aucune objection à formuler.
On n’accepte pas les noms de personnes vivantes, sauf ceux des chefs d’État. Notons que pour les personnes de la famille royale, l’autorisation doit être demandée au Roi par l’intermédiaire du ministre de l’Intérieur.
Quand il s’agit de personnes décédées depuis moins de cinquante ans, il faut s’assurer que leur nom mérite effectivement d’être rappelé, dans cinquante ans et davantage, au souvenir des générations futures, parce que l’œuvre de ces personnes ou leur rôle ont été particulièrement remarquables.

La zone d’immersion temporaire du Paradis ne fonctionne pas et menace Tubize.

La zone d’immersion temporaire du Paradis ne fonctionne pas et menace Tubize.

Les conseillers communaux Youri Caels (ecolo) et Jean Pierre Fumière (PS) se sont joints pour interpeller le conseil provincial sur l’inefficacité de la ZIT du paradis à Braine L’alleud.  Nous sommes passés près de la catastrophe ce 3 janvier et cette zone d’immersion n’a pas fonctionné.  Le zit du paradis a été financé par la province du Brabant Wallon, nous leur avons demandé de vérifier la bonne utilisation de ce subside et de l’efficacité des travaux. 

Youri Caels, conseiller communal Ecolo, interpellait le conseil communal sur le fonctionnement du zit du paradis à Braine L’alleud. En effet, lors des fortes pluies du 3 janvier dernier, le Hain était à la limite du débordement et nous sommes passés tout près d’une nouvelle catastrophe.

Question préalerte crue Hain

Après analyse de la situation, l’asbl SOS inondations Tubize a constaté que la zone d’immersion du paradis n’a pas fonctionné.

Jean Pierre Fumière (conseiller communal PS) et Youri Caels ont décidé d’interpeller le conseil provincial.  En effet, nous savons via un courrier du 16 mars 2017 adressé par le collège provincial au Président d’SOS-Inondations-Tubize, qu’en date du 1er octobre 2015, la Province a autorisé la commune de Braine l’Alleud à modifier le tracé du cours d’eau « le Hain » à condition d’adapter les ouvrages d’entrée et de sortie du bassin de rétention ainsi que d’aménager le cas échéant, un ouvrage de régulation complémentaire dans le cours d’eau.  Dans le cadre de l’autorisation, la Province du Brabant wallon a donc imposé une obligation de résultat quant aux débits maximums du Hain après l’ouvrage. Nous savons également via ce courrier que le volume de stockage de 77.700 m3 qui sert de tamponnement hydraulique en cas d’orage, a été pris en considération pour la contribution provinciale de 600.000 € devenue il y a peu, une subvention de 800.000 € vu l’intérêt supracommunal du site du Paradis.

Les questions qui ont été posées au Collège provincial sont :

1) Un essai de mise en charge pour vérifier le bon fonctionnement des ouvrages d’entrées et de sortie de la ZIT est techniquement possible. La Province qui est l’autorité subsidiante pourrait-elle insister auprès de la commune de Braine l’Alleud, pour que lorsque le débit du Hain le permettra, la zone de stockage de 77.700 M3 soit mise en charge pour que les experts de la Région walonne et de la Province puissent vérifier l’efficacité des ouvrages d’entrées et de sortie ?

2) Lors de la plateforme inondations du 17/11/2017 organisée à Rebecq par Contrat de rivière, une demande avait été formulée pour que soient installés dans les différentes ZIT des limnimètres afin que les différents intervenants (cellule de crise, province, communes et riverains) puissent connaître en période de crue le niveau des ZIT. Lors de la plate forme, chacun était d’accord avec cette proposition. La Province pourrait-elle insister pour qu’un limnimètre soit installé dans la ZIT du Paradis ?

3) Il serait également important d’installer un limnimètre sur le Hain juste après la zone de stockage et ceci pour vérifier si en aval de la ZIT du Paradis le débit de maximum 2,7 M3/S en période de crise est bien respecté. La Province pourrait-elle insister pour qu’un limnimètre soit installé sur le Hain juste après la zone de stockage ?

4) Pour une question d’efficacité, les ZIT du Paradis à Braine l’Alleud, UCB à Wauthier Braine et future ZIT du Moulin Brancart doivent fonctionner en cascade, sous l’autorité de la cellule de crise. Vu que la ZIT/UCB et que la future ZIT du Moulin Brancart est et sera automatisée et gérée en cas de crise par le Service Public de Wallonie (S.P.W.). Vu que la ZIT du Paradis n’est nullement automatisée et gérée par la commune de Braine l’Alleud et nécessite en cas de crise des interventions manuelles. Nous souhaiterions connaître la procédure qui est actuellement d’application en cas de crise pour que ces ZIT fonctionnent avec efficacité et réellement en cascade ?

5) Ne faudrait-il pas à terme doter la ZIT du Paradis d’une vanne automatisée pour faciliter la mise en charge en cascade de ces ZIT qui pourrait alors être gèrée par un seul opérateur ?

6) Le 16 janvier 2018, le Président de contrat de rivière Senne, s’est dit prêt à jouer un rôle de coordination afin de de faciliter une bonne coopération entre les parties en y associant le département des Cours d’eau non navigables ainsi que de personnes spécialisées. Cette initiative de mettre les intervenants autour d’une même table table est totalement positive. La Province peut-elle appuyer cette proposition ?

En substance les réponses ont été que le conseil provincial à inscrit au budget le placement de limnimètres en amont et en aval de la zit du Paradis. Ainsi on pourra, en cas de problème d’inondation, vérifier la qualité des infrastructures de rétention d’eau.  Ils sont également d’accord pour une meilleure coordination entre tous afin de faire fonctionner les zit en cascades.

Par contre, ils ont évacué l’idée d’automatiser les vannes sur la zit du paradis, arguant que cela n’était pas nécessaire et qu’en outre, cela présente un danger d’effectuer des essais.

A cela, nous leur avons répondu qu’ils l’avaient fait au niveau de la vanne de Lembeek qui contient quand même 200 000 m³ alors que celle du paradis n’est destiné qu’à contenir environ 70 000 m³. De nombreux bourgmestres du BW, également conseillés provinciaux, nous ont d’ailleurs fait part de la faiblesse des arguments du député provincial Marc Bastin pour évacuer les essais de mise en charge de la zit afin d’en vérifier son efficacité.

Lise Jamar (ancienne conseillère communale à Waterloo) : Nous continuons à suivre les dossiers inondations de près car malgré les efforts fournis par la commune de Tubize, nous ne sommes pas à l’abri.  C’est de la responsabilité de tous de continuer les efforts pour la lutte contre les inondations surtout avec les changements climatiques actuels.  Et il est de notre responsabilité de vérifier les dépenses publiques et leur efficacité.