Laurent Heyvaert

Laurent Heyvaert

 Député à  Région wallonne et la Fédération Wallonie-Bruxelles depuis 2019

 

Assistant social de formation. Il a travaillé au sein d’un service de crise pour toxicomanes et d’un service de maintien à domicile des seniors. Il a également travaillé à l’aide des victimes des attentats de Bruxelles.

En 2019, il devient parlementaire wallon pour ECOLO. Ce fut pour lui l’occasion de poursuivre au sein de cette Assemblée les combats qu’il menait déjà. Il s’est en particulier investi dans le soutien aux Services d’aide aux Assuétudes et au « Bien vieillir en Wallonie ».

Laurent se mobilise également pour obtenir une meilleure prise en charge des victimes lors d’évènements (drames) collectifs. Il reste à l’écoute des secteurs sociaux et de la santé pour aider au mieux toutes les victimes de la société ou de la vie.

« Assistant social et militant actif, la protection des citoyens, de leur santé, de l’environnement et de la nature est au cÅ“ur de mes combats. »

 ” En tant qu’ assistant social, j’ai été confronté très tôt aux politiques déshumanisantes de notre système, j’ai voulu m’engager professionnellement auprès des victimes de ce système. Mais en dix ans, j’étais de plus en plus confronté au sentiment d’impuissance et à une impression d’écrasement.”

Pour moi, la seule offre politique qui remet en question le fonctionnement de notre société c’est le projet de l’écologie politique. Ce sentiment d’écrasement, est autant valable pour les êtres humains, les animaux que pour la nature. Depuis longtemps, Ecolo dénonce ce système et propose des solutions.

Si les générations futures nous regardent agir avec attention , c’est aussi le cas aussi des générations précédentes qui dénonçaient déjà ce système. C’est parce que nous sommes engagés avec nos des militants depuis presque 40 ans que nous arrivons avec des solutions.

Nous faisons face à deux urgences, climatique et sociale . Si nous ne faisons rien, nous serons confrontés à une crise sans précédent.Les causes de ces crises sont connues et prouvées scientifiquement. Nous ne pouvons plus faire semblant et continuer comme avant. Nous sommes a un moment critique… nous sommes la dernière génération a avoir le pouvoir de changer les choses. 

En charge de …

  • Commission de l’emploi, de l’action sociale et de la santé
  • Commission de l’énergie, du climat et de la mobilité
  • Comité “Mémoire et Démocratie”
  • Commission du Budget, de la Fonction publique, de l’Égalité des chances, de la Tutelle sur Wallonie-Bruxelles Enseignement et des Bâtiments scolaires (suppléant)
  • Commission de l’Enseignement supérieur, de l’Enseignement de promotion sociale, de la Recherche, des Hôpitaux universitaires, des Sports, de la Jeunesse, de l’Aide à la jeunesse, des Maisons de justice et de la Promotion de Bruxelles (suppléant)

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Sandra Dumonceau

Sandra Dumonceau

Sandra Dumonceau

 Je suis mariée et maman de Louise, 24 ans et Oscar 13 ans. J’ai 51 ans. Aujourd’hui, j’habite à Clabecq mais j’ai longtemps vécu à Tubize.

Je partage mon temps entre une école d’Anderlecht et la Ville de Tubize. Je travaille tous les matins au secrétariat d’une école maternelle et je consacre mes après-midis mais aussi les soirées et les week-ends à la Ville.

Mes compétences en tant qu’échevine sont l’environnement, l’agriculture, les ainés, le bien-être animal, la culture et la personne en situation de handicap.

Faits marquants

L’inauguration de la réserve naturelle du Val de Coeurcq : le ressenti des citoyen et citoyennes à la reconnexion à la nature, passer du temps de qualité dans la nature, de bien-être, la découverte de la faune et la flore de leur Ville.

 

Mes souhaits

  • Continuer les actions en cours pour les personnes en situation de handicap, tels que faciliter les demandes administratives, trouver des partenaires pour le sport, les stages.
  • Sensibiliser et soutenir aux soins de santé via des conférences et des campagnes de sensibilisation en synergie avec les professionnels de la santé. (dépistage de cancers , la maladie de Parkinson, Alzheimer …)
  • Lutter contre l’isolement de nos Ainés : en partenariat avec le CCCA, continuer les cours d’initiation informatique :Le confinement a mis en exergue l’importance de la maîtrise des outils numériques. Afin de maintenir le contact avec leurs proches, beaucoup de seniors se sont mis bon gré mal gré aux nouvelles technologies.
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Sophie Simal

Sophie Simal

Sophie Simal 

 J’ai 51 ans et deux charmantes jeunes filles de 14 et 17 ans. Psychologue et communicatrice de formation, je travaille depuis plus de 20 ans au SPF (Ministère) Intérieur. Durant ces 20 ans, j’ai eu l’opportunité de m’attacher à plusieurs matières en lien direct avec la sécurité et la prévention, puis avec les ressources humaines et dernièrement avec la vie en centrales d’urgences (101 et 112) en tant que facilitatrice pour la Sécurité civile.

J’ai fait mes premiers pas en 2018 en tant que conseillère communale. Jusque-là, l’affaire politique m’était parfaitement étrangère sauf pour l’intérêt que j’y portais en tant que citoyenne engagée. L’envie de participer d’une manière ou d’une autre à la vie de ma commue m’a portée avec un souffle d’enthousiasme, de curiosité et d’envie de poser un cailloux à l’édifice.

Faits marquants

Le premier gros dossier sur lequel je me suis affairée est la pétition argumentée et la sensibilisation aux effets délétères de  l’enfouissement des déchets nucléaires préconisé par l’Ondraf et un peu plus tard sur une motion contre l’élevage du saumon à Baelen et les conséquences néfastes sur les nappes phréatiques. J’ai pris position sur d’autres faits d’actualité comme l’importance de la parole dans les analyses psychosociales, les cantines scolaires durables, les jardins d’Oisquercq, …

J’ai aussi en grande partie rédigé la charte intégrité pour les mandataires communaux et en collaboration avec l’échevine de la diversité, j’ai initié, la mise ne route du projet Khaléidoscope dans les écoles.

 

Mes souhaits

Il est primordial d’insister encore et encore sur la nécessité d’une prise de conscience collective aux enjeux climatiques. Cela part d’une sensibilisations de nos plus jeunes au sein de leur vie scolaire à l’aménagement du territoire en passant par le savoir, la connaissance et le respect.

Parlant de respect, le projet d’une ville relationnelle sera la pierre angulaire qui permettra à notre ville et à ses concitoyens de reprendre confiance en l’avenir. Un beau projet qui m’anime et auquel j’aimerais participer activement.

 

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Le projet Ensemble

Le projet Ensemble

Tubize 2035,

une Ville relationnelle 

Ce qui crée une ville agréable, c’est sa vie sociale. Les gens se croisent, se donnent rendez-vous, se rassemblent, se baladent, se promènent au bord de l’eau, jouent avec leurs enfants après l’école, dînent entre amis,… Toutes ces activités qui semblent aller de soi sont en réalité bien plus fragiles qu’on ne le croit, car elles dépendent d’une variable jusque-là restée dans l’ombre et mise en lumière de façon très brutale par la crise sanitaire : l’espace à disposition pour pouvoir les déployer.

Pour cela, nous souhaitons transformer notre ville fonctionnelle en ville relationnelle. 

Avec comme objectif d’atteindre le label Cittaslow.

La ville relationnelle est une ville qui fait littéralement pousser la biodiversité des publics, en mélangeant les genres, les âges, les corps physiques et psychiques.

C’est une ville qui se doit de rester gratuite et libre d’accès. Elle se doit d’être accessible à tout le monde, aux moins riches comme aux plus nantis, car la biodiversité des tubiziens doit être sociale. L’espace public doit être le terrain de cette biodiversité où des personnes de tous les milieux et de tous les moyens pourront se croiser.

Nous ne pouvons pas vivre isolés les uns des autres. Notre conjoint, nos enfants, nos parents, notre famille élargie, nos amis, notre patron, nos collègues, notre médecin, notre kiné, notre psy, notre plombier, notre livreur, notre boulanger nous influencent chaque jour. Nous ne sommes jamais seuls au monde. C’est le véritable sens de la ville relationnelle.

L’avenir de Tubize réside dans sa capacité à poser les fondements pour ouvrir les champs des possibles. On doit agir en ayant de nouvelles infrastructures, des dispositifs de gouvernance plus ouverts, fédérant des acteurs locaux, … tout en encourageant les comportements à la fois plus vertueux et plus heureux.

Il s’agit de trouver un chemin entre la quête individuelle du bien vivre et la conquête collective de résilience économique, écologique, de santé, de cohésion sociale et intergénérationnelle.

Renforcer la qualité de la relation à soi-même, la relation aux autres, la relation à la nature, et au vivant au sens large sont autant de dimensions du bien-être citoyen qui seront au front des mesures afin de garantir une ville plus saine, plus vivable, et surtout plus vivante : en un mot plus durable.

Ce nouveau paradigme se résume par « prendre soin ». Prendre soin de soi, prendre soin des autres, prendre soin de sa ville, prendre soin du vivant, prendre soin de la nature, … La ville qui résistera le mieux aux futures crises sera celle qui aura appris à « prendre soin ».

Ce concept de ville est repris par le réseau Cittaslow International qui rassemble un réseau des villes/communes du bien-vivre.  Ce concept a été créé de l’intuition des Maires de Greve in Chianti, de Brà, Orvieto et Positano en Italie en 1999.

Leur volonté est d’élargir le concept de qualité alimentaire (Slow Food) au concept de qualité de vie globale : « Prendre le temps de bien vivre dans sa ville/son village ».

Ce réseau international compte aujourd’hui 30 pays, 268 villes et 20 réseaux à son actif dont le réseau national Cittaslow Belgium.

D’ailleurs, la ville de Mirande avec laquelle Tubize est jumelé à récemment organisé un congrès mondial des villes cittaslow.

La décennie qui s’est ouverte en 2020 connaîtra à plus d’un titre des changements importants. L’urgence climatique, tout d’abord, est en train d’inscrire la nature dans la ville comme nouvel horizon de résilience à atteindre. L’urgence démographique, ensuite, va entraîner un grand renouvellement des générations qui aura lieu d’ici 2035.

Ce sont ces changements que nous devons préparer. 

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Sabine Desmedt

Sabine Desmedt

Sabine Desmedt

 Mariée et maman de 3 enfants de 27 ans, 22 ans et 16 ans. Cela fait 50 ans, avec une petite pause de 2 ans à Kinshasa (RDC), que j’habite à Clabecq.

J’ai exercé diverses professions mais toujours à Tubize. Depuis 24 ans, maintenant, j’enseigne les sciences dans le secondaire. J’y ai réduit mon horaire depuis 2012 pour assumer mon mandat d’échevine.

Sous cette législature, mes compétences sont l’aménagement du territoire, les affaires patriotiques, les cultes et je suis également Officier d’État civil.

Faits marquants

En arrivant en 2012, nous avons transformé la compétence “Environnement” en une réelle compétence où la biodiversité a trouvé tout son sens, au lieu de se limiter à un simple concours de façades fleuries.

Durant ce second mandat, c’est l’implication des services communaux et des citoyens dans la mise en place du Plan Climat et la révision plan communal d’urbanisme qui m’a marquée. Mais j’ai eu aussi le plaisir de marier plus de 400 couples et de les accompagner lors de ce jour particulier.

 

Mes souhaits

Avoir des femmes et des hommes politiques dignes de diriger une commune en pensant aux intérêts de tous.

Tubize doit rester un des meilleurs élèves dans la non-artificialisation des sols dans son évolution.

Continuer l’amélioration du bien-être de tous dans un cadre de vie où il fait bon vivre tout en dotant la Ville d’outils pour qu’elle soit prête pour affronter les changements climatiques.

 

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