Enquête publique: Prolongation de deux unités d’incinération de déchets à Virginal

Enquête publique: Prolongation de deux unités d’incinération de déchets à Virginal

L’InBW possède deux unités d’incinération de déchets à Virginal (Ittre). L’une d’entre elles arrive en fin de vie. Récemment, certaines voix ont plaidé pour le maintien des deux fours. Ecolo demande de tenir compte des objectifs de réduction des déchets ménagers, qui soulèvent la question de la nécessité du maintien des deux unités. Un four coûte en effet plus de 50 millions d’€, et l’incinération des déchets représente 4 à 5% des gaz à effet de serre émis en Belgique. Sachant cela, n’est-il pas temps d’explorer d’autres pistes ? 

Lors de cette enquête publique, les citoyens peuvent donner leur avis.  Les communes concernées sont Tubize, Ittre, Rebecq, Braine-Le-Chateau et Braine-Le-Comte.  Chaque citoyens de ces communes peuvent se rendre auprès de leur administration communale pour émettre leur avis.  Nous invitons chaque citoyen à donner son avis sur la prolongation de deux fours à Ittre.

Ville de Tubize – 29743 – in BW scrl – Rue de Tubize 16 1460 Ittre – avis denqute publique

 

Réouverture de la gare de Saintes – une nécessité

Réouverture de la gare de Saintes – une nécessité

http://www.dhnet.be/regions/brabant/rebecq-quand-on-l-a-propose-on-nous-a-ri-au-nez-5b2bfadd55326301e7a97c3c

https://www.lavenir.net/cnt/dmf20180621_01187153/rouvrez-la-gare-de-saintes-svp

Suite au problème du manque de parking pour les navetteurs à Enghien, certains se réveillent enfin et proposent la réouverture de la gare de Saintes. C’est un projet qu’Ecolo propose depuis plusieurs années, et qui pourrait améliorer considérablement la mobilité de l’Ouest du BW. Nous sommes heureux de constater que les autres partis mesurent enfin l’importance de régler ce problème.

Suite à l’annonce du plan de parking à Enghien, et suite aux annonces de fermeture des passages à niveaux à Saintes et à Bierghes. Ecolo fait une proposition ambitieuse :

Faire passer les trains venant de Tournai sur la ligne à grande vitesse

Les temps de parcours depuis Mouscron et Tournai vers Bruxelles-Midi sont aujourd’hui assez élevés. Pourtant, il existe des possibilités de faire basculer les trafics IC depuis Mouscron/Tournai vers Bruxelles sur la ligne à grande vitesse Paris-Bruxelles. Entre Ath et Enghien, les lignes courent en parallèle. C’est là que nous proposons de connecter les deux réseaux. Les gains de temps sont estimés à -11 minutes pour le trajet Tournai – Bruxelles, ce qui permettrait d’accroître l’attractivité du train sur cette liaison. Circulant sur les sites TGV, les trains IC provenant de Tournai ne cisailleraient plus les voies de la ligne 96 Mons-Bxl en gare de Halle, ce qui permettrait d’améliorer nettement la ponctualité de la ligne 94, mais également la ligne 96, et d’assouplir la réalisation des horaires de ces deux lignes.

L’utilisation de la ligne à grande vitesse pour le trafic intérieur permettrait de renforcer le trafic RER (offre S) entre Enghien et Halle et d’ouvrir de nouveaux points d’arrêts Saintes et son zoning en priorité, mais aussi Bierghes ou Petit-Enghien. Les investissmeents à prévoir iraient en grande partie dans la signalisation renforcée et les dispositifs de sécurité, avec peu de génie civil. Ce projet a déjà été proposé à Infrabel par la Wallonie, sous l’impulsion de Philippe Henry.

Marcel Cheron (député fédéral) : « Cette solution permettrait de soulager le trafic de la partie Ouest de la Wallonie, et d’envisager la réouverture de la gare de Saintes avec des horaires renforcés entre Enghien et Halle. »

Pour Christian Mahy (tête de liste Ecolo à Rebecq) : Quand nous avions proposé la réouverture de la gare de Bierghes, on nous a rit au nez. Comme quand nous parlons de réouvrir Clabecq pour faire face au développement du projet Duferco. Ce sont pourtant des solutions d’avenir. Il faut un consensus politique sur ces propositions, puis ce sera à Infrabel d’envisager la faisabilité de ces projets. Nous voulons envisager les meilleurs scénarios pour l’Ouest du BW, en plein boom démographique et économique. Cela passe par des solutions innovantes. Il faut oser, et casser la politique du « on a toujours fait comme ça ».

Louise Scutenaire

Louise Scutenaire

J’ai 18 ans, j’habite Tubize et je suis actuellement aux études à la haute école de Braine-le-Comte, dans le but de devenir institutrice primaire.

Je suis membre du mouvement écolo depuis peu sur les traces de mes parents qui en font partie depuis maintenant 7 ans et c’est la première fois que je me propose pour être sur les listes électorales. Derrière cette décision, une volonté de faire changer les choses dans ma ville, entourée par mon parti, des gens de confiance avec qui je partage mes idées politiques.

Mes principales préoccupations sont la jeunesse, les personnes souffrant d’un handicap et la valorisation des producteurs locaux, au détriment des grandes chaînes qui mettent en péril le savoir-faire de nos régions, que ce soit au point de vue culturel, gastronomique ou artisanal.

Je m’engage à cela en tant que jeune habitante de Tubize, afin de rendre notre monde meilleur, pour nous comme pour les générations à venir.

Gilbert Scutenaire

Gilbert Scutenaire

Gilbert Scutenaire – âge: en perpétuelle évolution. Je partage ma vie depuis toujours avec Sandra. Père comblé de deux enfants, Louise 18 ans et Oscar 8 ans.

Je suis enseignant dans la capitale où je tente de transmettre (en plus de la matière) à mes élèves mes valeurs démocratiques à travers un enseignement qui amène chacun à se surpasser pour relever les défis d’une société qui leur est souvent hostile.

Actif depuis 7 ans au sein de la locale écolo de Tubize, j’apporte au mouvement autant que possible mes divers talents.

Motivé par l’élan de mes colistiers, j’espère que Tubize pourra à nouveau pour la future législature bénéficier d’une vision plus verte de l’avenir.

Marcel Jaminon

Marcel Jaminon

En arrivant à Tubize en 1970, j’ai découvert une cité industrielle, porteuse d’emplois, de salaires et d’un certain pouvoir d’achat.  Le plus souvent dépensé, dans les commerces locaux. La commune de Tubize, en voie de fusion, était un pôle attractif pour l’ensemble de la région.

Hélas, bientôt, un vent de “restructuration ” souffle sur l’industrie. La population se mobilise, lutte pour sauver les entreprises, pour sauver l’emploi, pour garantir un avenir. Ces luttes retardent les fermetures et sauvent la dignité des travailleurs en lutte. C’est dans cette tourmente économique et sociale que je situe mes engagements sociaux.

Les pouvoirs, sous la pression des luttes collectives, s’organisent et présentent un plan de reconversion régionale. C’est ce plan qui se réalise actuellement: une cité industrielle devient “autre chose”, une nouvelle ville.

Cette nouvelle ville sera-t-elle au service des citoyens, pour un bon vivre écologique pour tous? Un emploi de qualité pour tous ? L’accès au logement, à l’éducation seront-ils démocratisés ?

Ces derniers objectifs ne vont pas se réaliser par un coup de baguette magique. C’est que les règles du marché et de la rentabilité économique font souvent la nique aux objectifs de bon aménagement du territoire et aux objectifs du bien vivre pour tous.

La ville dispose d’outils importants pour aménager son territoire. Il convient de les activer.

Seule une attention collective, une politique participative, une lutte politique et sociale dans le cadre de l’écologie politique peut garantir la création d’une ville sociale et ouverte.