Sophie Simal : La rentrée de mes enfants en 6 étapes

Sophie Simal : La rentrée de mes enfants en 6 étapes

1. Réutiliser et récupérer

Tout d’abord, il vaut mieux vider tous les tiroirs et faire un bon tri. Ensuite, on fait une liste de tout ce qui nous manque. Avant d’aller acheter en grande surface ou en papeterie, direction magasins de seconde main style Petits Riens ou Oxfam. Solution écologique et bon marché, surtout pour mon petit qui a tendance à perdre ses crayons. Je demande également auprès de ma famille et amis  si quelqu’un possède quelques fournitures.  C’est l’occasion de se voir entre amis avant la rentrée.

2. Privilégier la qualité à la mode

Résistez autant que vous pouvez à l’envie des enfants d’avoir un truc « à la mode ». Dora, Shrek, La Reine des Neiges, les Minions… Chaque année, il y a un nouveau dessin animé qui sort et avec, tout plein de produits publicitaires comme les cartables, les plumiers, les bics, etc. Mais souvent, ces produits sont de très mauvaise qualité et ne durent pas longtemps. En plus, il faudra dans tous les cas acheter autre chose l’année suivante, le dessin animé n’étant plus populaire.

3. Choisir les matières durables, naturelles et écologiques

On choisit des produits en papier ou plastique recyclé, en matières naturelles et durables comme le bois (bois non verni pour les crayons par exemple, et aussi pour les lattes) ou le caoutchouc (pour les gommes) ou encore l’acier (pour les ciseaux). Certains labels permettent de retrouver les produits éco-friendly plus facilement : FSC, PEFC, Ange bleu, NF Environnement.

4. Préférer les produits rechargeables

Il existe pas mal de produits scolaires rechargeables qui permettent de diminuer les déchets : les porte-plume ou stylos à encre, les stylos à bille ou bics, les cahiers style Atoma ou encore les feutres et surligneurs.

5. Exit les grandes surfaces

Non seulement c’est souvent plus cher que dans les papeteries, mais en plus le choix est très limité. Évidemment, vous ne trouverez pas de produits recyclés ou éco-friendly en grande surface. Je vous déconseille aussi d’aller chez Club ou dans une autre chaîne de magasins, qui eux aussi, ne privilégient pas les produits plus sains et naturels (en tout cas, j’ai y été faire tour et je n’ai rien trouvé).

6. Acheter en vrac

En grande surface, vous ne trouverez que des lots suremballés et très peu de choses vendues à la pièce. Pour cela, de nouveau, vaut mieux acheter dans les papeteries. Acheter à la pièce est plus économique (on ne paie plus l’emballage) et plus écologique. En plus ainsi, on n’achète que ce dont on a réellement besoin.

À proscrire :

  • Les colles à base de solvants (style Pritt) → substances toxiques et cancérigènes
  • Les surligneurs traditionnels jetables → métaux lourds, solvants et conservateurs toxiques (bonne alternative 100% écolo, les crayons surligneurs en bois ! )
  • Les correcteurs, surtout les liquides → solvants toxiques (vaut mieux utiliser un correcteur à ruban)
  • Les feutres classiques → solvants pétrochimiques toxiques (choisir les feutres à base d’eau)
  • Les crayons vernis → substances synthétiques polluantes (il existe des crayons en bois non traité)
  • Les gommes colorées ou aromatisées → substances toxiques et cancérigènes (opter pour le caoutchouc naturel non teinté)

Où trouver les fournitures scolaires éco-friendly et saines ?

Outre les papeteries, il existe aussi des webshops spécialisés en fournitures scolaires et bureautiques écologiques :

https://www.kudzu.be/fr/ecole-bureau

http://www.toutallantvert.com/bureau-ecole-c-25.html

http://btobgreen.be/

http://www.greentoschool.be/

 

https://happygreen.me/2017/09/01/la-rentree-ecolo-cest-possible/

Sabine Desmedt : La liste des plantes mellifères

Sabine Desmedt : La liste des plantes mellifères

Que ce soit dans votre jardin, sur votre balcon ou dans un espace public via le permis de végétaliser, pensez à planter des plantes mellifères.  Elles sont utiles pour les abeilles, mais aussi pour ramener de la biodiversité dans notre ville.

Voici une liste de plantes mellifères:

Arbres
  • Aulne glutineux (Aulnus Glutinosa)
  • Bouleau commun (Betula alba)
  • Buis (Buxus sempervirens)
  • Châtaignier (Castanea sativa)
  • Chêne pédonculé (Quercus robur)
  • Érable champêtre (Acer campestre)
  • Frêne à fleur (Fraxinus ornus)
  • Merisier (Prunus avium)
  • Peuplier grisard (Populus canescens)
  • Pommier (Malus sylvestris)
  • Saule (salix)
  • Tilleul (tilia)
Espèces à vocation horticole à utiliser en milieu urbain et périurbain :
  • Cerisier (Prunus)
  • Cytise (Cytisus laburnum)
  • Marronnier d’Inde (Aesculus hippocastanum)
  • Noisetier de Byzance (Corylus colurna)
Arbustes
  • Ajonc commun (Ulex Europaeus)
  • Aubépine (Crataegus)
  • Bourdaine (Rhamnus frangula)
  • Callune (Calluna Vulgaris)
  • Cornouiller males (Cornus mas)
  • Framboisier (Rubus occidentalis)
  • Lierre (Hedera helix)
Espèces à vocation horticole à utiliser en milieu urbain et périurbain :
  • Caryopteris (Caryopteris clandonensis)
  • Ceanothes (Ceanothus)
  • Cotoneaster (Cotoneaster)
  • Laurier tin (Viburnum tinus)
Herbacées
  • Corbeille d’argent (Arabis Alpina)
  • Monnaie du Pape (Lunaria)
  • Lupin (Lupinus polyphyllus)
  • Menthe (Mentha)
  • Phacelie (Phacelia)
  • Salicaire (Lithrum salicaria)
  • Bardane (Lappa major)
  • Bourrache (Borago Officinalis)
  • Campanule (Campanula)
  • Citronelle (Melissa officinalis)
  • Consoude (Symphitium)
  • Epilobe (Epilobium angustifolia)
  • Herbe aux chats (Nepeta mussinii)
  • Lamier (Lamium)
  • Marjolaine (Origanum vulgare)
  • Molènes (Verbascum)
  • Sainfoin (Onobrychis)
  • Sauge des prés (Salvia pratensis)
  • Bleuets (Centaurea)
  • Brunelle (Brunella)
  • Chicorée sauvage (Chicorium intybus)
  • Cleome (Cleoma luttea)
  • Épiaire (Stachys annua)
  • Lierre terrestre (Glechoma hederacea)

 

Luc Schoukens : Voyage en transition anglaise

Luc Schoukens : Voyage en transition anglaise

Cet été magnifique, « trop » magnifique, nous a fait profiter d’un court voyage en Angleterre.
A la découverte de deux lieux emblématiques de la transition et de l’écologie pratique : Todmorden ( au NE de Manchester) et Totnes sur la côte SO(Devon-Dartmoor).
 
Totmorden, la naissance des Incroyables Comestibles ( The Incredible Edible). 
 
Voilà plus de 10 ans que quelques citoyennes créatives et audacieuses ont lancé le concept des légumes et fruits gratuits et accessibles dans l’espace public.
Nous avons rencontré sur place quelques personnes témoins de cette « folle » histoire  dont Estelle Brown, la responsable de la communication.
Retenons tout d’abord qu’il n’y pas de procédé miracle ou procédé type pour mettre en place un concept mobilisateur. Il faut surtout tenir compte de la réalité de sa communauté, de ses forces, de ses talents, de ses besoins.
Totmorden est une petite ville de la zone industrielle de l’Angleterre qui a subi de plein fouet les conséquences de la disparition du tissu industriel. Totmorden avait besoin d’un nouveau souffle, d’une renaissance.
La combinaison de la présence d’une population rencontrant des besoins sociaux d’une part et le sens poussé de l’entraide sociale « anglaise » dopé par la présence de quelques post soixante huitards éclairés, ont créé le contexte pour ce projet « révolutionnaire ».
A partir de ces bacs « de propagande » à légumes présents partout dans la ville, mis en place et entretenus par des dizaines et des dizaines de volontaires, toute une nouvelle dimension a été mise en place poussant à l’autonomie alimentaire, à la relocalisation de l’économie, au développement d’une école secondaire de qualité, à l’implication du tissu associatif … bref elle a redonné une authentique  dynamique à la ville et à ses habitants!
Le processus a recréé un lien social multi »social », trans générationnel, connectant anciens et nouveaux habitants.
Une dynamique économique a été recréée à partir des métiers autour de l’alimentation : maraîchers, agriculteurs, commerçants locaux, horéca … mais aussi développement de structures de formation et de réinsertion, d’accueil touristique,…
L’approche de la nourriture a permis de renouer le lien avec la nature, les saisons, a permis de se reconnecter à la terre,  à prendre du temps pour cultiver sa propre nourriture, à cuisiner, à conserver, à se soigner, à combattre le réchauffement climatique(transports juste de proximité, arrêt des pesticides,…)
Ce travail a permis de reconnecter les enfants et les jeunes aux sources de leur nourriture, à faire de la production des aliments un outil pédagogique, de formation, à remettre une nourriture de qualité et naturelle dans les cantines scolaires.
Tout ce processus a permis de rendre confiance aux gens, de leur redonner un rôle, d’être heureux, d’améliorer la santé mentale publique.
Une sorte de bien-être collectif  se dégage de Todmorden et de ses habitants, et le fait d’avoir mis le mot « KINDNESS » en grand dans la ville, sur le talus surplombant le parking du supermarché,  n’y est certainement pas pour rien.
Totnes, le berceau des villes et villages en transition.
Autre ambiance à Totnes, cette petite ville touristique du Devon, sur la côte Sud-ouest. Au bord d’un estuaire, Totnes se caractérise par sa magnifique rue d’époque qui grimpe la colline, animée par ses commerces, boutiques, restos, bars,…
C’est dans les locaux du réseau de transition que nous avons rencontré Ben, un des fondateurs de l’expérience des villes et villages en transition. Il nous a permis de participer au groupe de travail monnaie locale qui se déroulait ce jour-là en présence de Rob Hopkins, LE Mr. Transition qui arpente Totnes à vélo, et le monde en tant qu’ambassadeur du concept ( on le voit entre autres dans le film Demain)
Et quel était le sujet de la réunion : L’expérience du « Toreke » monnaie locale à .. Gent! Inez Aponté y faisait rapport de sa visite d’étude de l’expérience gantoise.
Le Toreke se caractérise par son approche « sociale » et de « réinsertion ». On obtient des torekes en s’impliquant dans le travail du quartier, en produisant des légumes dans un espace communautaire et on peut acheter des produits alimentaires, mais aussi obtenir des places pour spectacles et cinéma.
Le projet est soutenu par la ville (25.000€) et par le réseau social et associatif.
Résultat: un travail de lien social important.
Le lendemain nous avons participé à une visite guidée de Totnes sous l’angle de la transition. Hall, par ailleurs premier permanent engagé par le réseau à Totnes voici dix ans, nous a montré toute la dimension du concept.
Partant du marché et des producteurs de légumes, de pain, qui ont vu le jour grâce à la dynamique autour de l’alimentation naturelle relocalisée, il a passé en revue les projets, la gestion des énergies renouvelables dans les bâtiments de l’administration communale, la création de deux turbines électriques sur l’étang, tout en soulignant l’importance de relocaliser l’économie avec un espace de coworking.
Autre expérience le concept de « rue en transition » où les voisins se motivent pour isoler leurs maisons, pour cultiver des légumes ensemble, pour se doter d’un réseau d’entraide,…
Un peu plus loin un projet plus ambitieux, reconvertir un site d’usine abandonné pour en faire un espace économique dynamisé par un réseau de PME, entre autres avec l’intégration d’une nouvelle brasserie et en utilisant le concept de Landtrust( mise à disposition du terrain).
Le concept de la transition est à mettre en place en partant des richesses et spécificités du lieu. Il faut trouver  » la corde sensible » de sa population. 
En tout cas la dynamique intéresse, le groupe de 15 visiteurs était composé de citoyens du Japon, Corée, France, Espagne, Israël, Canada, Islande, USA et …Belgique.
Ittre et le Brabant Wallon ont certainement du potentiel pour intensifier le processus de transition!
Quelle belle semaine dans cette angleterre épargnée de la vague de chaleur tropicale sur le continent, avec des anglais tout étonnés de vivre un « vrai » été!
Sonia De Vos et Luc Schoukens
Sandra Dumonceau : Ma recette pour une lessive faite maison

Sandra Dumonceau : Ma recette pour une lessive faite maison

Faire sa lessive présente plusieurs avantages : en plus d’être écologique et économique, fabriquer sa lessive soi-même est très facile. En quelques minutes, vous pouvez préparer de quoi laver votre linge pour plusieurs mois ! Pour celles et ceux qui ne savent pas par où commencer pour devenir autonome, faire de la lessive maison constitue un premier pas facile à réaliser !

Les ingrédients pour 3 litres de lessive

  • 35 à 40 g de savon de Marseille
  • 3 c. à s. de bicarbonate de soude
  • 3 c. à s. de vinaigre blanc
  • 3 litres d’eau

Le matériel nécessaire

  • une râpe
  • une casserole et une plaque ou un feu de cuisson
  • des récipients pour stocker la lessive (bouteilles, bocaux, etc.)
  • éventuellement : un entonnoir

La recette

1. Râpez 40 g de savon de Marseille.

2. Faites-les fondre à feu doux dans 1 litre d’eau très chaude.

3. Mélangez bien.

4. Ajoutez 3 c. à s. de bicarbonate de soude et 3 c. à s. de vinaigre blanc.

5. Laissez reposer pendant 1 heure, puis allongez avec 1 litre d’eau tiède.

6. Le lendemain, allongez de nouveau avec 1 litre d’eau froide et mélangez bien.

7. Facultatif : ajoutez quelques gouttes d’huiles essentielles pour le parfum.

8. Mettez en bouteille.

Enquête publique: Prolongation de deux unités d’incinération de déchets à Virginal

Enquête publique: Prolongation de deux unités d’incinération de déchets à Virginal

L’InBW possède deux unités d’incinération de déchets à Virginal (Ittre). L’une d’entre elles arrive en fin de vie. Récemment, certaines voix ont plaidé pour le maintien des deux fours. Ecolo demande de tenir compte des objectifs de réduction des déchets ménagers, qui soulèvent la question de la nécessité du maintien des deux unités. Un four coûte en effet plus de 50 millions d’€, et l’incinération des déchets représente 4 à 5% des gaz à effet de serre émis en Belgique. Sachant cela, n’est-il pas temps d’explorer d’autres pistes ? 

Lors de cette enquête publique, les citoyens peuvent donner leur avis.  Les communes concernées sont Tubize, Ittre, Rebecq, Braine-Le-Chateau et Braine-Le-Comte.  Chaque citoyens de ces communes peuvent se rendre auprès de leur administration communale pour émettre leur avis.  Nous invitons chaque citoyen à donner son avis sur la prolongation de deux fours à Ittre.

Ville de Tubize – 29743 – in BW scrl – Rue de Tubize 16 1460 Ittre – avis denqute publique

 

Interpellation citoyenne au conseil communal de Tubize ce lundi – Commune Hospitalière

Interpellation citoyenne au conseil communal de Tubize ce lundi – Commune Hospitalière

Ce lundi des citoyens ont voulu interpeller le conseil communal pour rendre notre commune hospitalière.

Voici le texte de l’interpellation citoyenne

Monsieur le Bourgmestre, Mesdames et Messieurs les échevins, Mesdames et Messieurs les conseillers,

Je souhaite me faire ici le porte-parole d’un certain nombre de citoyennes et de citoyens de Tubize interpellés par la situation des personnes migrantes en Belgique et à Tubize. Nous souhaitons que notre commune s’engage en faveur d’un accueil de qualité, d’une égalité de droits pour toutes et tous, condition d’une intégration réussie des migrants. Autrement dit, nous souhaitons que Tubize se déclare « commune hospitalière », ou « ville accueillante », et pour ce faire, s’engage à sensibiliser sa population et à améliorer l’accueil et le séjour des migrantes et des migrants sur son territoire.

La commune de Tubize, comme toute la Belgique, est marquée par l’histoire des migrations. Elle leur doit une partie de sa prospérité. La mobilisation actuelle autour des communes hospitalières, initiée par le CNCD-11.11.11. et ses partenaires, vise à promouvoir une vision positive des migrantes et des migrants. Une vision qui dépasse les peurs et le repli sur soi et invite à aller à la rencontre de celles et ceux qui ont été expulsés de chez eux par les violences et la misère. Une vision où solidarité rime avec rencontres, avec partage, avec dignité.

Il est vrai que les compétences en matière de migration sont principalement fédérales et que l’intégration relève des Régions. Cependant, les collectivités locales ont quelques obligations en matière d’accueil et surtout, des possibilités de jouer un rôle important dans l’hospitalité, le respect des droits et l’intégration des migrants, en particulier à travers l’activité des services communaux. La commune est déjà active, notamment avec les ILA, les Initiatives locales d’accueil, que gère le CPAS, qui assure un accompagnement administratif et social et des rencontres avec des citoyennes et citoyens.

Nous pensons qu’il est possible de renforcer ce qui existe et d’ouvrir de nouveaux chantiers pour que tous les migrantes et les migrants résidant à Tubize, quel que soit leur statut, se sentent citoyennes et citoyens à part entière et respectés dans leurs droits.

Dans ce sens, nous invitons le conseil à voter une motion par laquelle la commune prendrait une série d’engagements, motion dont un projet a été joint à la demande d’interpellation et que je vais maintenant résumer.

Par cette motion, la ville de Tubize s’engagerait à poursuivre les actions déjà entreprises, en particulier par le CPAS, et à prendre le cas échéant des initiatives nouvelles pour réaliser les objectifs suivants :

• En premier lieu, il s’agirait de sensibiliser la population sur les migrations et l’accueil de l’autre, en particulier les élèves des écoles communales ; il s’agirait aussi de sensibiliser les agents communaux aux droits des étrangers, de soutenir les associations et les initiatives citoyennes qui souhaitent venir en aide aux étrangers et primo-arrivants de la commune.

• En deuxième lieu, il s’agirait de garantir l’accueil et le séjour des migrants dans le respect des droits humains, et notamment en matière d’accueil administratif, en matière d’information sur les procédures administratives, en matière de soutien à l’intégration des migrants particulièrement pour la recherche d’un logement, en matière d’accueil spécifique des demandeurs d’asile et des réfugiés et d’intégration scolaire de leurs enfants.

• En troisième lieu, il s’agirait de garantir le respect des droits fondamentaux des personnes sans papiers, notamment en matière sociale et sanitaire et en matière de relation avec la police.

• Enfin, la motion se termine par une déclaration de solidarité envers les communes européennes et les pays confrontés à un accueil de nombreux migrants.

Le conseil peut-il se prononcer en faveur de ce projet de motion et en assurer le suivi, par exemple en mettant en place un groupe de suivi des engagements pris, auquel seraient associés des représentants des associations tubiziennes actives dans l’accueil et de l’intégration des migrants et des citoyennes et citoyens qui s’y impliquent à titre personnel ?

Au nom de celles et ceux qui ont participé à la rédaction de ce projet de motion, je vous remercie de l’attention que vous y avez apportée.

Stéphan Lepoutre