Enquête publique: Prolongation de deux unités d’incinération de déchets à Virginal

Enquête publique: Prolongation de deux unités d’incinération de déchets à Virginal

L’InBW possède deux unités d’incinération de déchets à Virginal (Ittre). L’une d’entre elles arrive en fin de vie. Récemment, certaines voix ont plaidé pour le maintien des deux fours. Ecolo demande de tenir compte des objectifs de réduction des déchets ménagers, qui soulèvent la question de la nécessité du maintien des deux unités. Un four coûte en effet plus de 50 millions d’€, et l’incinération des déchets représente 4 à 5% des gaz à effet de serre émis en Belgique. Sachant cela, n’est-il pas temps d’explorer d’autres pistes ? 

Lors de cette enquête publique, les citoyens peuvent donner leur avis.  Les communes concernées sont Tubize, Ittre, Rebecq, Braine-Le-Chateau et Braine-Le-Comte.  Chaque citoyens de ces communes peuvent se rendre auprès de leur administration communale pour émettre leur avis.  Nous invitons chaque citoyen à donner son avis sur la prolongation de deux fours à Ittre.

Ville de Tubize – 29743 – in BW scrl – Rue de Tubize 16 1460 Ittre – avis denqute publique

 

La zone d’immersion temporaire du Paradis ne fonctionne pas et menace Tubize.

La zone d’immersion temporaire du Paradis ne fonctionne pas et menace Tubize.

Les conseillers communaux Youri Caels (ecolo) et Jean Pierre Fumière (PS) se sont joints pour interpeller le conseil provincial sur l’inefficacité de la ZIT du paradis à Braine L’alleud.  Nous sommes passés près de la catastrophe ce 3 janvier et cette zone d’immersion n’a pas fonctionné.  Le zit du paradis a été financé par la province du Brabant Wallon, nous leur avons demandé de vérifier la bonne utilisation de ce subside et de l’efficacité des travaux. 

Youri Caels, conseiller communal Ecolo, interpellait le conseil communal sur le fonctionnement du zit du paradis à Braine L’alleud. En effet, lors des fortes pluies du 3 janvier dernier, le Hain était à la limite du débordement et nous sommes passés tout près d’une nouvelle catastrophe.

Question préalerte crue Hain

Après analyse de la situation, l’asbl SOS inondations Tubize a constaté que la zone d’immersion du paradis n’a pas fonctionné.

Jean Pierre Fumière (conseiller communal PS) et Youri Caels ont décidé d’interpeller le conseil provincial.  En effet, nous savons via un courrier du 16 mars 2017 adressé par le collège provincial au Président d’SOS-Inondations-Tubize, qu’en date du 1er octobre 2015, la Province a autorisé la commune de Braine l’Alleud à modifier le tracé du cours d’eau « le Hain » à condition d’adapter les ouvrages d’entrée et de sortie du bassin de rétention ainsi que d’aménager le cas échéant, un ouvrage de régulation complémentaire dans le cours d’eau.  Dans le cadre de l’autorisation, la Province du Brabant wallon a donc imposé une obligation de résultat quant aux débits maximums du Hain après l’ouvrage. Nous savons également via ce courrier que le volume de stockage de 77.700 m3 qui sert de tamponnement hydraulique en cas d’orage, a été pris en considération pour la contribution provinciale de 600.000 € devenue il y a peu, une subvention de 800.000 € vu l’intérêt supracommunal du site du Paradis.

Les questions qui ont été posées au Collège provincial sont :

1) Un essai de mise en charge pour vérifier le bon fonctionnement des ouvrages d’entrées et de sortie de la ZIT est techniquement possible. La Province qui est l’autorité subsidiante pourrait-elle insister auprès de la commune de Braine l’Alleud, pour que lorsque le débit du Hain le permettra, la zone de stockage de 77.700 M3 soit mise en charge pour que les experts de la Région walonne et de la Province puissent vérifier l’efficacité des ouvrages d’entrées et de sortie ?

2) Lors de la plateforme inondations du 17/11/2017 organisée à Rebecq par Contrat de rivière, une demande avait été formulée pour que soient installés dans les différentes ZIT des limnimètres afin que les différents intervenants (cellule de crise, province, communes et riverains) puissent connaître en période de crue le niveau des ZIT. Lors de la plate forme, chacun était d’accord avec cette proposition. La Province pourrait-elle insister pour qu’un limnimètre soit installé dans la ZIT du Paradis ?

3) Il serait également important d’installer un limnimètre sur le Hain juste après la zone de stockage et ceci pour vérifier si en aval de la ZIT du Paradis le débit de maximum 2,7 M3/S en période de crise est bien respecté. La Province pourrait-elle insister pour qu’un limnimètre soit installé sur le Hain juste après la zone de stockage ?

4) Pour une question d’efficacité, les ZIT du Paradis à Braine l’Alleud, UCB à Wauthier Braine et future ZIT du Moulin Brancart doivent fonctionner en cascade, sous l’autorité de la cellule de crise. Vu que la ZIT/UCB et que la future ZIT du Moulin Brancart est et sera automatisée et gérée en cas de crise par le Service Public de Wallonie (S.P.W.). Vu que la ZIT du Paradis n’est nullement automatisée et gérée par la commune de Braine l’Alleud et nécessite en cas de crise des interventions manuelles. Nous souhaiterions connaître la procédure qui est actuellement d’application en cas de crise pour que ces ZIT fonctionnent avec efficacité et réellement en cascade ?

5) Ne faudrait-il pas à terme doter la ZIT du Paradis d’une vanne automatisée pour faciliter la mise en charge en cascade de ces ZIT qui pourrait alors être gèrée par un seul opérateur ?

6) Le 16 janvier 2018, le Président de contrat de rivière Senne, s’est dit prêt à jouer un rôle de coordination afin de de faciliter une bonne coopération entre les parties en y associant le département des Cours d’eau non navigables ainsi que de personnes spécialisées. Cette initiative de mettre les intervenants autour d’une même table table est totalement positive. La Province peut-elle appuyer cette proposition ?

En substance les réponses ont été que le conseil provincial à inscrit au budget le placement de limnimètres en amont et en aval de la zit du Paradis. Ainsi on pourra, en cas de problème d’inondation, vérifier la qualité des infrastructures de rétention d’eau.  Ils sont également d’accord pour une meilleure coordination entre tous afin de faire fonctionner les zit en cascades.

Par contre, ils ont évacué l’idée d’automatiser les vannes sur la zit du paradis, arguant que cela n’était pas nécessaire et qu’en outre, cela présente un danger d’effectuer des essais.

A cela, nous leur avons répondu qu’ils l’avaient fait au niveau de la vanne de Lembeek qui contient quand même 200 000 m³ alors que celle du paradis n’est destiné qu’à contenir environ 70 000 m³. De nombreux bourgmestres du BW, également conseillés provinciaux, nous ont d’ailleurs fait part de la faiblesse des arguments du député provincial Marc Bastin pour évacuer les essais de mise en charge de la zit afin d’en vérifier son efficacité.

Lise Jamar (ancienne conseillère communale à Waterloo) : Nous continuons à suivre les dossiers inondations de près car malgré les efforts fournis par la commune de Tubize, nous ne sommes pas à l’abri.  C’est de la responsabilité de tous de continuer les efforts pour la lutte contre les inondations surtout avec les changements climatiques actuels.  Et il est de notre responsabilité de vérifier les dépenses publiques et leur efficacité.

Les communes en recours contre la décision de garder les lignes à haute tension aérienne à Oisquercq

Les communes en recours contre la décision de garder les lignes à haute tension aérienne à Oisquercq

Nous nous trouvons devant le dilemme de décider pour au minimum les 60 ans à venir pour une nouvelle ligne HT aérienne et d’une nouvelle ligne HT souterraine.  C’est-à-dire de conserver pendant les 60 ans à venir une présence visible et impactante pour les riverains d’une ligne aérienne ou de choisir une ligne souterraine qui laisse en phase d’exploitation un environnement intact et plus sain.

Les délégués à la Région Wallonne ont décidé d’octroyer le permis pour une ligne aérienne sur base d’une étude d’Elia.  Depuis le début, les communes (Tubize, Ittre, Nivelles, Seneffe et Courcelles)  impactées via la voix de ces conseillers ou échevins Ecolo contestent cette étude.

L’Etude d’incidence environnementale met en évidence de nombreuses « nuisances » du projet aérien.

  • Ecart par rapport aux recommandations du Schéma de développement du territoire :  En voulant remplacer la ligne à haute tension (2×150 kV) en lieu et place (et donc en conservant notamment le surplomb de zone d’habitat), le projet ne s’inscrit pas entièrement dans la philosophie du SDT
  • Nuisance visuelle et paysage :L’implantation d’une ligne électrique et plus particulièrement de pylônes à proximité d’habitations peut engendrer pour les riverains proches un inconfort visuel lié au sentiment de dominance de la ligne et de ses pylônes.  La ligne électrique traverse majoritairement des zones non-urbanisables au plan de secteur (21,7 km) contre 1,5 km en zones urbanisables. Cependant, la présence paysagère de la ligne est d’autant plus marquée qu’elle est proche de lieux de vie. Plusieurs zones d’habitat et habitations en zones non-urbanisables sont surplombées par la ligne électrique.  Les incidences paysagères de la ligne électrique depuis les habitations découlent plus souvent de la proximité des pylônes qui peuvent engendrer un inconfort visuel résultant du fait que l’observateur doit lever ses yeux pour percevoir le pylône dans son entièreté. Plusieurs situations d’inconfort visuel ont été identifiées,celles-ci sont généralement localisées à moins de 100 m de la ligne et des pylônes.  La pose d’une liaison électrique souterraine, principalement en voirie (ou assimilé), marque un avantage notable par rapport au projet de renouvellement de la ligne aérienne.  Par ailleurs, le démontage de la ligne électrique existante apporterait une amélioration significative de la qualité paysagère de l’environnement dans lequel elle prend place.marque un avantage notable par rapport au projet de renouvellement de la ligne aérienne
  • Nuisance sonore :  Ce bruit est généré par le vent au contact des différents composants des champs électriques et magnétiques.  Le bruit pourrait donc être perceptible pour quelques habitations situées dans des espaces dégagés et à proximité de la ligne.
  • L’effet couronne: Le champ électrique présent à la surface des conducteurs génère dans l’air ambiant des micro-décharges électriques. Concrètement, chacune d’entre elles produit un petit claquement comparable à celui des décharges électrostatiques. Dans le cas des lignes à très haute tension, comme le champ électrique varie à la fréquence de 50 Hz, il peut se produire un tel claquement 100 fois par seconde (puisque le champ passe 2 fois par un maxima pour chaque oscillation).  C’est leur grand nombre sur toute la longueur des câbles et leur répétition dans le temps qui explique le grésillement/crépitement caractéristique.  Dans le cas présent, la ligne étant prévue en 150kV, il est donc très peu probable que l’effet couronne apparaisse.  Notons cependant que le grésillement est perceptible pour la ligne actuelle dans certaines conditions atmosphériques.
  • Champs magnétique : Dans le cas présent, dans la mesure où la ligne à haute tension surplombe et passe à côté de zones habitées, il est recommandé d’opter pour une ligne transposée. Pour une ligne souterraine le champ magnétique décroît très rapidement. Ainsi à 10 mètres de distance de l’axe du câble souterrain,le champ est déjà insignifiant. Alors qu’il faut une trentaine de mètre de part et d’autre de la ligne aérienne pour obtenir des valeurs insignifiantes.
  • Champs électrique : En ce qui concerne les champs électriques, l’alternative n’aura aucune incidence. En effet, dans le cas d’une liaison souterraine, l’entièreté du champ électrique est contenu à l’intérieur des câbles par la gaine métallique qui entoure les conducteurs. Sur ce point, l’alternative marque donc un avantage notable.
  • Contexte climatologique et météorologique:  L’EIE mentionne le contexte climatologique et météorologique général sur la ligne aérienne mais ne mentionne pas les cas exceptionnels de vents tempétueux comme cela s’est produit sur cette ligne en 2016 (6 pylônes endommagés et ligne coupée)
  • Incidences sur les activités agricoles et forestièresLa présence d’une ligne aérienne induira en phase d’exploitation une difficulté d’utilisation des nouvelles technologies pour les agriculteurs (GPS, drones…) à cause des perturbations de signaux et la limitation d’utilisation de drones aux abords de la ligne aérienne.  La réalisation de la ligne souterraine nécessitera l’abattage d’arbres sur le trajet retenu. Notons que les arbres présents le long des berges et chemins de halage du Canal ne sont pas de très grands intérêts botaniques et peuvent être compensés par la plantation de haies le long du trajet. La ligne aérienne a nécessité lors de son installation la réalisation de coupe des arbres dans les bois et forêts survolés par la ligne et donc aussi le maintien de ces « trouées forestières ».
  • La durée du chantier de mise en œuvre pour la ligne aérienne est de 3ans par période de 8 mois.  La période de chantier pour la ligne souterraine est limitée à 4 à 6 semaines par tronçon de 1km. Des chantiers parallèles peuvent être menés à différents endroits pour réduire le temps global du chantier.

Au vu des éléments étudiés dans cette étude, il apparaît clairement que le projet souterrain présente une évolution environnementale non négligeable par rapport à l’aérien en oubliant pas que l’exploitation de la ligne HT est prévue pour 60 ans.  C’est pour cela que les communes ont décidé d’introduire un recours auprès du ministre.

Ligne à haute tension Gouy-Oisquercq “article mis à jour”

Ligne à haute tension Gouy-Oisquercq “article mis à jour”

Pour rappel, Ecolo veillera au point suivant:

  • Préserver la qualité de vie des riverains et leur santé,
  • Eviter un impact dommageable sur les activités agricoles (grandes cultures et élevages),
  • Conserver la qualité paysagère,
  • Maintenir le plaisir d’activités récréatives pour tous et toutes,
  • Protéger la biodiversité des zones naturelles traversées,
  • Ne pas dévaloriser les sites historiques classés et le patrimoine.

Juillet 2017

Après plusieurs mois d’analyses, le bureau d’études, CSD Ingénieurs, a remis à Elia les résultats de son étude des incidences sur l’environnement concernant le projet Gouy-Oisquercq.

A l’heure actuelle, les équipes Elia prennent connaissance des conclusions et des recommandations de ce travail afin d’affiner le projet présenté lors de la Réunion d’Information Publique.

A ce stade, Elia envisage d’introduire la demande de permis auprès du Fonctionnaire délégué de la Région wallonne dans le courant du mois d’août.

Une fois le dossier jugé complet et recevable par l’administration régionale, une enquête publique sera organisée par les communes concernées.

Avril 2017

Projet Gouy-Oisquercq – Etude des Incidences sur l’Environnement en cours de réalisation

Le 08 novembre dernier, lors de la Réunion d’Information Publique (RIP) organisée à Seneffe, Elia présentait aux citoyens son avant-projet de renouvellement de la liaison aérienne à haute tension 2×150 kV qui relie les postes électriques de Gouy et Oisquercq.

Suite à cette RIP et aux deux séances d’information complémentaires organisées à Ittre et Courcelles, Elia a reçu trois courriers de riverains. Les remarques et suggestions formulées par les riverains dans ces courriers ainsi que le soir de la RIP sont pris en compte dans le cadre de l’Etude des Incidences sur l’Environnement (EIE).

Le dossier actuellement entre les mains du bureau d’études

Depuis 5 mois maintenant, le projet Gouy-Oisquercq est en effet sur la table du bureau CSD Ingénieurs, groupe européen de conseil et d’ingénierie de l’environnement. Il s’agit d’un bureau d’études indépendant et agréé par la Région wallonne. Celui-ci analyse actuellement les incidences potentielles du projet et de son chantier sur l’environnement au sens large : sol, air, eaux, climat, milieu biologique, paysage et patrimoine, urbanisme et aménagement du territoire, mobilité, déchets, santé et sécurité, aspects socio-économique, acoustique, cadre de vie et voisinage… L’EIE analyse également les alternatives raisonnablement envisageables au projet.

CSD proposera à Elia une série de recommandations permettant d’éviter, de réduire ou décompenser les éventuelles incidences sur l’environnement.

Une enquête publique prévue en octobre

Sur base des conclusions et des recommandations de l’EIE, Elia préparera son dossier de demande de permis d’urbanisme et devrait l’introduire auprès du Fonctionnaire Délégué de la Région Wallonne à la fin de l’été.

Une enquête publique sera alors organisée par les administrations communales. Lors de celle-ci, l’ensemble du dossier et de l’EIE  ainsi qu’un résumé non technique seront consultables par les citoyens au sein de leur administration communale. L’Enquête publique est actuellement envisagée en octobre.

En attendant notre équipe reste à votre écoute pour toute question via le 0800 18 002 ou l’adresse E-mail riverains@elia.be.

Novembre 2016

A l’horizon 2020, nous prévoyons le renouvellement de la liaison aérienne à haute tension 2×150 kV qui relie les postes électriques de Gouy et Oisquercq.

Cette liaison qui arrive aujourd’hui en fin de vie est composée de 64 pylônes en treillis métalliques et traverse les territoires de Courcelles, Seneffe, Nivelles, Ittre et Tubize sur une longueur de 23 km.

Ce dossier de renouvellement de la liaison est aujourd’hui toujours au stade de projet. Avant de le réaliser, Elia doit obtenir, de la part des autorités, un permis d’urbanisme.

Comme la législation le prévoit, Elia a présenté le projet à la population concernée lors de la Réunion d’Information Préalable (RIP) organisée le 8 novembre dernier à Seneffe.

Cette RIP a officiellement lancé l’Etude d’Incidence sur l’Environnement (EIE) qui durera minimum 3 mois. Cette étude est réalisée par un bureau indépendant qui dispose d’un agrément délivré par la Région wallonne. Il s’agit ici du bureau CSD Ingénieurs.

A dater de ce 8 novembre, la population dispose de 15 jours pour formuler ses questions et émettre ses remarques. Celles-ci seront ensuite prises en compte dans la réalisation de cette étude.
En plus de la réunion officielle et obligatoire qu’est une RIP, nous organisons dans ces 15 jours, deux permanences d’information supplémentaires afin que les riverains puissent venir s’informer de manière moins formelle.

http://www.elia.be/fr/projets/projets-reseau/Gouy-Oisquercq

Présentation du plan inondation à Tubize bilan après 3 ans

Présentation du plan inondation à Tubize bilan après 3 ans

Lors du conseil communal de ce mois d’octobre.  Bruno Soudan échevin de la lutte contre les inondations a présenté le bilan de trois ans de travail.  Nous ne pouvons qu’applaudir ce travail d’équipe qui a été réalisé.  Toute la majorité avait fait de la lutte contre les inondations une priorité et il est clair que le travail est fait.  Pour cela, nous pouvons que remercier tous les acteurs de cette lutte dont Mr Soudan, le collège communal, la région Wallonne, la province du brabant Wallon, le contrat de rivière Senne, SOS inondation, et nous oublions certainement plein de personnes qui œuvrent tous les jours pour la lutte contre les inondations.

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