18 Avr 2018 | Elections 2018
Agée de 46 ans, native de Tubize, je partage ma vie avec Gilbert et suis l’heureuse maman de Louise et d’un petit Oscar.
En 2012 lorsque Sabine Desmedt m’a proposé d’être son adjointe. J’ai sauté sur l’occasion pour me mettre au service des tubiziens. Je travaille depuis près de 6 ans au service de l’Administration communale de Tubize. J’assiste Sabine Desmedt dans son rôle d’Echevine. J’organise avec elle, l’aide aux aînés, l’aide aux handicapés et la protection de l’environnement. Le travail de collaboration avec le conseil consultatif des aînés est un bel exemple de ce qui doit se faire. Permettre aux citoyens de s’organiser en fonction de leur besoin, tout en les soutenant. On peut citer dans leur réussite le salon des aînés, les journées sport et détente. Nous avons des aînés actifs, et nous faisons en sorte qu’ils le soient le plus longtemps possible.
Dans la protection de l’environnement, la priorité a été la lutte contre les inondations. Il était important de penser à l’environnement dans ce combat. Hormis cette priorité nous avons essayé de trouver des subsides régionaux pour faire de la prévention de manière plus large et nous pouvons nous féliciter de l’action Be wapp par exemple qui est un vrai succès.
J’ai une bonne connaissance des équipes de la commune. J’ai pu les côtoyer et me rendre compte de certaines difficultés, mais j’ai surtout rencontré des personnes très motivées par leur travail.
Je souhaite mettre toutes cette expérience au service des tubiziens. Ma priorité est la consommation locale. Il faut pouvoir mettre en avant les producteurs locaux. Il faut sensibiliser les citoyens à la consommation locale et les circuits courts. Je suis bien sûr motivée à continuer notre travail avec les aîné e s pour qu’il puisse continuer à s’organiser au mieux.
Sandra Dumonceau
9 Avr 2018 | Elections 2018
Je suis impliquée au niveau communal depuis de nombreuses années. Je fais partie du conseil consultatif communal des aînés. Depuis 2012 avec tous les membres nous avons su prouver que nous pouvons organiser de nombreuses activités pour les aînés. On peut dire que la politique mise en place avec Sabine Desmedt Echevinne des aînés est une réussite. Elle nous a fait confiance et nous lui en sommes reconnaissants.
Mes priorités pour Tubize sont bien sûr la reconnaissance des aînés comme acteur actif de notre commune, mais aussi une reconnaissance des jeunes pour leur préparer un avenir serein dans notre commune.
18 Déc 2017 | Elections 2018
Dernier thème, notre commune amie des aînées. Répondez à ces questions et donnez nous vos idées.
Est-ce que vous vous voyez vieillir à Tubize ?
Comment vivez-vous à Tubize en étant un senior ?
Comment voyez-vous une ville accueillante pour les aînés ?
Voici ce qui se passe ailleurs:
- Brive-la-Gaillarde (France) a lancé le dispositif “Mon fauteuil, mon café, mon journal”. En ouvrant un espace de convivialité ouvert à toutes et tous, on tire les personnes âgées de leur isolement et de leur solitude. Prendre une tasse de thé ou de café, s’asseoir autour d’une table et discuter, jouer aux cartes, prendre un goûter, etc. sont des activités possibles quotidiennement. En outre, des actions culturelles ciblées telles que ciné-débats ou encore conférences sont organisées avec succès.
- À Namur, «la Centrale des moins mobiles» permet à des centaines de personnes à mobilité difficile d’aller à l’hôpital, de rendre des visites, de faire leurs courses, etc.
- À Trébovant, commune bretonne de moins de 1000 habitants, on organise régulièrement un séjour de vacances d’une semaine regroupant des lycéen-ne-s et des résident-e-s d’une maison de retraite. Deux lycéens sont référents d’un-e- résident-e. Permettre un autre regard sur les aînés, développer du lien social, consolider la solidarité, sont des objectifs le plus souvent rencontrés.
11 Déc 2017 | Elections 2018
Une semaine, un thème : Notre commune en santé. 2016 fût marqué par la menace de fermeture de l’hôpital. La santé est un enjeu majeur pour notre ville. Plusieurs acteurs doivent se concerter. Mais vous comment voyez vous la santé dans votre commune ? Répondez à ces questions.
Qu’avez-vous besoin en termes de santé pour vous sentir en sécurité ?
Etes-vous satisfaits de l’offre de soins à Tubize ?
Comment voyez-vous l’accès à la santé dans une ville ?
Voici ce qui se passe ailleurs:
- Frigo gratuit à Schaerbeek. Une asbl a installé deux “frigos ouverts” de façon permanente. Les habitant-e-s et professionnel-le-s de l’Horeca qui le souhaitent peuvent y déposer leur surplus alimentaire, nourriture et des boissons (les bouteilles ouvertes, les boissons alcoolisées et la nourriture périmée n’étant pas autorisées). Et ceux qui le souhaitent viennent s’y fournir. Un responsable de l’association vérifie tous les jours les dépôts. Le lieu d’installation a été discuté avec la population précaire du quartier. Il fallait en effet trouver un lieu à la fois accessible aisément, mais permettant la discrétion à celles et ceux qui vont se servir. Ce frigo public participe à l’amélioration de la cohabitation des différentes populations dans le quartier et a créé un réel mouvement de solidarité.
- Maison Médicale à Trooz. La commune a fait le constat d’un trop faible accès aux soins de santé de première ligne par pénurie de médecins. Elle a alors soutenu dès 2012 le projet d’une Maison Médicale qui a ouvert ses portes en 2014. Elle propose des services en lien avec la santé : médecine générale, service infirmier, service de kinésithérapie, service de psychologie, santé communautaire, comité de patients, prises de sang, etc. Si ces services s’adressent prioritairement aux personnes en situation psycho médico-sociale précaire, la maison médicale est ouverte à tous les habitants et toutes les habitantes de la zone. La commune, avec la collaboration de l’équipe médicale et le soutien de la Région wallonne et de l’Inami, s’est fortement impliquée dans ce projet qui répond à un réel besoin de la population.
1 Déc 2017 | Elections 2018
Une semaine, un thème: Notre ville énergétique
Quelle énergie voulez-vous à Tubize ? Répondez à cette question.
Voici ce qui se passe ailleurs:
- En 2012 à Raeren, la commune décide l’engagement sur fonds propres d’une Manager Energie. Les actions sont auto-financées par les économies générées. Pour la première fois, Raeren dispose d’un concept énergétique : Audits des consommations énergétiques, régulation en partenariat avec les utilisateurs, isolation thermique, développement de production photovoltaïque, changement d’éclairages. La commune s’est fixée l’indépendance énergétique à l’horizon 2030.
- Namur s’est engagée dans un Plan Climat – Énergie et dans la Convention des Maires. Deux exemples concrets:
- Un des plus gros chantiers d’éclairage concernera la Citadelle en 2017 et 2018. L’éclairage patrimonial sera entièrement renouvelé au profit d’un dispositif LED moins énergivore, modulable, plus adapté à une mise en valeur patrimoniale et touristique. Suivra l’éclairage des cheminements piétons allant du Grognon au sommet de l’esplanade, lui aussi, modulable et intelligent, ne s’allumant qu’au besoin, diffusant de l’information et sécurisant le site.
- La ville s’est également engagée dans la rénovation énergétique du patrimoine communal, spécialement au CPAS (en particulier les nouvelles MRS), à la Citadelle et à la Régie foncière en exécutant des rénovations exemplaires de bâtiments pourtant très vieux.
- Schaerbeek a lancé en 2014 son Plan Climat 2. Axé sur les ambitions de «mieux acheter, mieux produire, mieux consommer, mieux piloter», il vise à diminuer drastiquement les consommations de la commune en tant que PME. L’argent ainsi économiser peut être réinvesti dans d’autres politiques au service du grand public. Schaerbeek produira, dès mi-2017, un quart de l’électricité consommée par les bâtiments communaux grâce aux panneaux photovoltaïques installés sur les toitures communales. Ces installations ont été réalisées via le système de tiers investisseurs.
- À Chaumont-Gistoux, l’école communale de Corroy-le-Grand a été réalisée sous Agenda 21. Un magnifique bâtiment, très basse énergie, accueillera prochainement quelques centaines d’élèves.
- À Fléron, la commune a adhéré à la Convention des Maires, a engagé un conseiller énergie et se fournit avec 100 % d’électricité verte.
27 Nov 2017 | Elections 2018
Une semaine, un thème : Comment se déplacer dans notre ville. Répondez à ces questions pour nous donner votre avis.
Comment aimeriez-vous vous déplacer dans Tubize ?
Quelle sorte de déplacement effectuez-vous ?
Voulez-vous vous déplacer autrement à Tubize ?
Voici ce qui se passe ailleurs :
- Un Groupe de Travail Mobilité a, depuis de nombreuses années, été instauré à Schaerbeek. Il réunit Service Voirie, Mobilité et Police. Il travaille sur l’aménagement des voiries prenant en compte les aspects mobilité et sécurité des installations. C’est ainsi que l’installation d’oreille de trottoirs sécurisant les carrefours a pu être systématisée et que les voiries communales sont en passe de devenir intégralement zone 30. Y sont aussi traitées les interpellations riveraines afin de placer radars préventifs ou aménagements de sécurisation.
- Les villes d’Enghien et de Namur viennent de former leurs équipes de stewards urbains en leur donnant aussi la possibilité de constater les incivilités. Sur le terrain, ceux-ci peuvent dialoguer avec la population, mais aussi sanctionner les incivilités telles les voitures garées sur les trottoirs ou les passages piétons.
- À Fléron, chaque nouveau permis d’urbanisme fait l’objet d’une vérification systématique de son accessibilité aux PMR.
- Dans la région bruxelloise, plusieurs communes organisent des formations « Brevet du cycliste » à l’attention des élèves de 5ème primaire avec l’appui d’une association cycliste.
- À Gand, la mise en place de « rues scolaires » vise à limiter la circulation aux abords directs des écoles une demi-heure le matin et une demi-heure le soir aux heures d’entrées et de sorties afin d’offrir un environnement sécurisé aux élèves.
- À Schaerbeek, entre 500.000 et 1 million € sont chaque année consacrés à un Plan Trottoir ambitieux. Le même montant est consacré à un Plan Asphalte, non moins important.
- À Watermael-Boitsfort, la création d’un réseau piétonnier sécurisé pour les personnes à mobilité réduite (PMR) dans la commune de Watermael-Boitsfort est un nouvel exemple de notre volonté d’inverser la conception de la mobilité au profit des « usagers faibles », en donnant la priorité à la sécurisation des déplacements piétons, des PMR, des cyclistes, etc….
- En se dotant, en 2009, d’un Plan Vélo fixant les priorités en matière d’infrastructure, d’organisation et de promotion, la Ville de Namur a précédé la dynamique du Plan Wallonie Cyclable. En parallèle, elle a développé avec succès les vélos partagés ‘Li Bia Vélo’.
- Namur a développé deux «Pedibus» (bus piétons collectifs), l’un à Malonne, l’autre à Loyers. Le Pédibus c’est un moyen écologique et économique de se rendre à l’école, c’est bon pour la santé, ça permet de découvrir la nature, de discuter avec les copains, les habitants, ça réduit le nombre de voitures aux heures d’arrivée à l’école, ça permet aux enfants de mieux maîtriser les règles de sécurité à proximité des routes… Bref, c’est un bel outil de mobilité.
- À Raeren, la commune réinvestit les sentiers ruraux et villageois et recrée des cheminements piétons et cyclistes.
- À Ottignies Louvain-la-Neuve, la ville n’a pas cessé d’augmenter les emplacements pour les vélos : emplacements de parkings libres sur l’espace public. L’offre en parkings couverts à contrôle d’accès et en parking vélo réservé a également été renforcée à la Maison des cyclistes de la gare d’Ottignies, mais aussi à Louvain-la-Neuve avec l’implantation de 27 boxes. Depuis 2011, ce sont près de 25km de pistes cyclables, bandes cyclables, rues cyclables, SUL, qui se sont ajoutés aux aménagements existants, soit 30% de plus, pour un total de plus de 1 million €.
- À Fléron, on encourage l’utilisation du vélo au quotidien grâce à la mise en place systématique de SUL, une signalisation des impasses traversantes, la valorisation du RAVEL qui traverse toute la commune pour les déplacements intra-communaux, la mise en place de consignes pour la remontée des files de voitures à l’arrêt,etc. Par ailleurs, la commune montre l’exemple en achetant des vélos électriques pour les agents communaux, en utilisant des vélos et un triporteur pour le nettoyage du Ravel, etc. La commune a aussi créé de nouvelles venelles d’accès au Ravel.
- À Namur, les voitures partagées bénéficient de carte offrant le stationnement gratuit sur le territoire.
- Schaerbeek a mis 3 voitures communales à disposition d’une plate-forme de voitures partagées entre particuliers. Il s’agit là d’une phase test afin d’étudier la possibilité de rendre disponibles d’autres voitures communales inutilisées le week-end.
- À Fléron, la commune a étudié des nouveaux tracés des accès des bus au centre ville pour éviter qu’ils restent calés dans les embouteillages.
- À Namur, la Ville soutient le TEC dans l’amélioration de la fiabilité et le confort des bus : aménagement de bandes bus sur voiries communales, innovation avec la création de bandes bus “dynamiques” c’est à dire qui peuvent soit être empruntées dans les deux sens (vers la ville le matin et vers la sortie de ville le soir) soit qui ne sont actives que pendant les heures de pointes. La ville a rénové en priorité les voiries communales où passent les bus. La ville crée des liaisons cyclables et piétonnes vers les arrêts de bus.
- À Philippeville, le Philibus circule le samedi matin et permet aux habitant-e-s de rejoindre le centre de la ville où ils peuvent avoir accès aux services communaux, au marché hebdomadaire ainsi qu’aux commerces et services. Le Philinoctambus circule lors des grandes fêtes de l’été, organisées par les jeunesses des différents villages. Il couvre actuellement 5 soirées. Ce service gratuit permet aux jeunes de se rendre en soirée et d’en revenir en toute sécurité.
- À Havelange, la commune s’est lancée dans le projet Flexi-TEC, un système de mobilité à la demande qui permet de combler la couverture limitée de certaines zones rurales par le TEC.
- Les communes du Sud de l’Entre-Sambre-et-Meuse se sont fédérées dans la centrale de mobilité MOBILESEM.
- Profondeville et Ecaussinnes ont réussi à faire rouvrir leur gare, et ce en collaboration avec la SNCB et un concept de gare vivante». À Écaussinnes, la commune a mis les locaux à disposition de la Croix-Rouge et de l’ADL et le Gracq a installé des abris-vélos sécurisés et dans le hall, les navetteurs peuvent attendre au chaud. Tout le monde est gagnant.