9 Avr 2018 | Elections 2018
Je suis impliquée au niveau communal depuis de nombreuses années. Je fais partie du conseil consultatif communal des aînés. Depuis 2012 avec tous les membres nous avons su prouver que nous pouvons organiser de nombreuses activités pour les aînés. On peut dire que la politique mise en place avec Sabine Desmedt Echevinne des aînés est une réussite. Elle nous a fait confiance et nous lui en sommes reconnaissants.
Mes priorités pour Tubize sont bien sûr la reconnaissance des aînés comme acteur actif de notre commune, mais aussi une reconnaissance des jeunes pour leur préparer un avenir serein dans notre commune.
5 Avr 2018 | Environnement, La locale Ecolo Tubize
Les conseillers communaux Youri Caels (ecolo) et Jean Pierre Fumière (PS) se sont joints pour interpeller le conseil provincial sur l’inefficacité de la ZIT du paradis à Braine L’alleud. Nous sommes passés près de la catastrophe ce 3 janvier et cette zone d’immersion n’a pas fonctionné. Le zit du paradis a été financé par la province du Brabant Wallon, nous leur avons demandé de vérifier la bonne utilisation de ce subside et de l’efficacité des travaux.
Youri Caels, conseiller communal Ecolo, interpellait le conseil communal sur le fonctionnement du zit du paradis à Braine L’alleud. En effet, lors des fortes pluies du 3 janvier dernier, le Hain était à la limite du débordement et nous sommes passés tout près d’une nouvelle catastrophe.
Question préalerte crue Hain
Après analyse de la situation, l’asbl SOS inondations Tubize a constaté que la zone d’immersion du paradis n’a pas fonctionné.
Jean Pierre Fumière (conseiller communal PS) et Youri Caels ont décidé d’interpeller le conseil provincial. En effet, nous savons via un courrier du 16 mars 2017 adressé par le collège provincial au Président d’SOS-Inondations-Tubize, qu’en date du 1er octobre 2015, la Province a autorisé la commune de Braine l’Alleud à modifier le tracé du cours d’eau « le Hain » à condition d’adapter les ouvrages d’entrée et de sortie du bassin de rétention ainsi que d’aménager le cas échéant, un ouvrage de régulation complémentaire dans le cours d’eau. Dans le cadre de l’autorisation, la Province du Brabant wallon a donc imposé une obligation de résultat quant aux débits maximums du Hain après l’ouvrage. Nous savons également via ce courrier que le volume de stockage de 77.700 m3 qui sert de tamponnement hydraulique en cas d’orage, a été pris en considération pour la contribution provinciale de 600.000 € devenue il y a peu, une subvention de 800.000 € vu l’intérêt supracommunal du site du Paradis.
Les questions qui ont été posées au Collège provincial sont :
1) Un essai de mise en charge pour vérifier le bon fonctionnement des ouvrages d’entrées et de sortie de la ZIT est techniquement possible. La Province qui est l’autorité subsidiante pourrait-elle insister auprès de la commune de Braine l’Alleud, pour que lorsque le débit du Hain le permettra, la zone de stockage de 77.700 M3 soit mise en charge pour que les experts de la Région walonne et de la Province puissent vérifier l’efficacité des ouvrages d’entrées et de sortie ?
2) Lors de la plateforme inondations du 17/11/2017 organisée à Rebecq par Contrat de rivière, une demande avait été formulée pour que soient installés dans les différentes ZIT des limnimètres afin que les différents intervenants (cellule de crise, province, communes et riverains) puissent connaître en période de crue le niveau des ZIT. Lors de la plate forme, chacun était d’accord avec cette proposition. La Province pourrait-elle insister pour qu’un limnimètre soit installé dans la ZIT du Paradis ?
3) Il serait également important d’installer un limnimètre sur le Hain juste après la zone de stockage et ceci pour vérifier si en aval de la ZIT du Paradis le débit de maximum 2,7 M3/S en période de crise est bien respecté. La Province pourrait-elle insister pour qu’un limnimètre soit installé sur le Hain juste après la zone de stockage ?
4) Pour une question d’efficacité, les ZIT du Paradis à Braine l’Alleud, UCB à Wauthier Braine et future ZIT du Moulin Brancart doivent fonctionner en cascade, sous l’autorité de la cellule de crise. Vu que la ZIT/UCB et que la future ZIT du Moulin Brancart est et sera automatisée et gérée en cas de crise par le Service Public de Wallonie (S.P.W.). Vu que la ZIT du Paradis n’est nullement automatisée et gérée par la commune de Braine l’Alleud et nécessite en cas de crise des interventions manuelles. Nous souhaiterions connaître la procédure qui est actuellement d’application en cas de crise pour que ces ZIT fonctionnent avec efficacité et réellement en cascade ?
5) Ne faudrait-il pas à terme doter la ZIT du Paradis d’une vanne automatisée pour faciliter la mise en charge en cascade de ces ZIT qui pourrait alors être gèrée par un seul opérateur ?
6) Le 16 janvier 2018, le Président de contrat de rivière Senne, s’est dit prêt à jouer un rôle de coordination afin de de faciliter une bonne coopération entre les parties en y associant le département des Cours d’eau non navigables ainsi que de personnes spécialisées. Cette initiative de mettre les intervenants autour d’une même table table est totalement positive. La Province peut-elle appuyer cette proposition ?
En substance les réponses ont été que le conseil provincial à inscrit au budget le placement de limnimètres en amont et en aval de la zit du Paradis. Ainsi on pourra, en cas de problème d’inondation, vérifier la qualité des infrastructures de rétention d’eau. Ils sont également d’accord pour une meilleure coordination entre tous afin de faire fonctionner les zit en cascades.
Par contre, ils ont évacué l’idée d’automatiser les vannes sur la zit du paradis, arguant que cela n’était pas nécessaire et qu’en outre, cela présente un danger d’effectuer des essais.
A cela, nous leur avons répondu qu’ils l’avaient fait au niveau de la vanne de Lembeek qui contient quand même 200 000 m³ alors que celle du paradis n’est destiné qu’à contenir environ 70 000 m³. De nombreux bourgmestres du BW, également conseillés provinciaux, nous ont d’ailleurs fait part de la faiblesse des arguments du député provincial Marc Bastin pour évacuer les essais de mise en charge de la zit afin d’en vérifier son efficacité.
Lise Jamar (ancienne conseillère communale à Waterloo) : Nous continuons à suivre les dossiers inondations de près car malgré les efforts fournis par la commune de Tubize, nous ne sommes pas à l’abri. C’est de la responsabilité de tous de continuer les efforts pour la lutte contre les inondations surtout avec les changements climatiques actuels. Et il est de notre responsabilité de vérifier les dépenses publiques et leur efficacité.
29 Jan 2018 | Environnement, La locale Ecolo Tubize
Nous nous trouvons devant le dilemme de décider pour au minimum les 60 ans à venir pour une nouvelle ligne HT aérienne et d’une nouvelle ligne HT souterraine. C’est-à-dire de conserver pendant les 60 ans à venir une présence visible et impactante pour les riverains d’une ligne aérienne ou de choisir une ligne souterraine qui laisse en phase d’exploitation un environnement intact et plus sain.
Les délégués à la Région Wallonne ont décidé d’octroyer le permis pour une ligne aérienne sur base d’une étude d’Elia. Depuis le début, les communes (Tubize, Ittre, Nivelles, Seneffe et Courcelles) impactées via la voix de ces conseillers ou échevins Ecolo contestent cette étude.
L’Etude d’incidence environnementale met en évidence de nombreuses « nuisances » du projet aérien.
- Ecart par rapport aux recommandations du Schéma de développement du territoire : En voulant remplacer la ligne à haute tension (2×150 kV) en lieu et place (et donc en conservant notamment le surplomb de zone d’habitat), le projet ne s’inscrit pas entièrement dans la philosophie du SDT
- Nuisance visuelle et paysage :L’implantation d’une ligne électrique et plus particulièrement de pylônes à proximité d’habitations peut engendrer pour les riverains proches un inconfort visuel lié au sentiment de dominance de la ligne et de ses pylônes. La ligne électrique traverse majoritairement des zones non-urbanisables au plan de secteur (21,7 km) contre 1,5 km en zones urbanisables. Cependant, la présence paysagère de la ligne est d’autant plus marquée qu’elle est proche de lieux de vie. Plusieurs zones d’habitat et habitations en zones non-urbanisables sont surplombées par la ligne électrique. Les incidences paysagères de la ligne électrique depuis les habitations découlent plus souvent de la proximité des pylônes qui peuvent engendrer un inconfort visuel résultant du fait que l’observateur doit lever ses yeux pour percevoir le pylône dans son entièreté. Plusieurs situations d’inconfort visuel ont été identifiées,celles-ci sont généralement localisées à moins de 100 m de la ligne et des pylônes. La pose d’une liaison électrique souterraine, principalement en voirie (ou assimilé), marque un avantage notable par rapport au projet de renouvellement de la ligne aérienne. Par ailleurs, le démontage de la ligne électrique existante apporterait une amélioration significative de la qualité paysagère de l’environnement dans lequel elle prend place.marque un avantage notable par rapport au projet de renouvellement de la ligne aérienne
- Nuisance sonore : Ce bruit est généré par le vent au contact des différents composants des champs électriques et magnétiques. Le bruit pourrait donc être perceptible pour quelques habitations situées dans des espaces dégagés et à proximité de la ligne.
- L’effet couronne: Le champ électrique présent à la surface des conducteurs génère dans l’air ambiant des micro-décharges électriques. Concrètement, chacune d’entre elles produit un petit claquement comparable à celui des décharges électrostatiques. Dans le cas des lignes à très haute tension, comme le champ électrique varie à la fréquence de 50 Hz, il peut se produire un tel claquement 100 fois par seconde (puisque le champ passe 2 fois par un maxima pour chaque oscillation). C’est leur grand nombre sur toute la longueur des câbles et leur répétition dans le temps qui explique le grésillement/crépitement caractéristique. Dans le cas présent, la ligne étant prévue en 150kV, il est donc très peu probable que l’effet couronne apparaisse. Notons cependant que le grésillement est perceptible pour la ligne actuelle dans certaines conditions atmosphériques.
- Champs magnétique : Dans le cas présent, dans la mesure où la ligne à haute tension surplombe et passe à côté de zones habitées, il est recommandé d’opter pour une ligne transposée. Pour une ligne souterraine le champ magnétique décroît très rapidement. Ainsi à 10 mètres de distance de l’axe du câble souterrain,le champ est déjà insignifiant. Alors qu’il faut une trentaine de mètre de part et d’autre de la ligne aérienne pour obtenir des valeurs insignifiantes.
- Champs électrique : En ce qui concerne les champs électriques, l’alternative n’aura aucune incidence. En effet, dans le cas d’une liaison souterraine, l’entièreté du champ électrique est contenu à l’intérieur des câbles par la gaine métallique qui entoure les conducteurs. Sur ce point, l’alternative marque donc un avantage notable.
- Contexte climatologique et météorologique: L’EIE mentionne le contexte climatologique et météorologique général sur la ligne aérienne mais ne mentionne pas les cas exceptionnels de vents tempétueux comme cela s’est produit sur cette ligne en 2016 (6 pylônes endommagés et ligne coupée)
- Incidences sur les activités agricoles et forestières : La présence d’une ligne aérienne induira en phase d’exploitation une difficulté d’utilisation des nouvelles technologies pour les agriculteurs (GPS, drones…) à cause des perturbations de signaux et la limitation d’utilisation de drones aux abords de la ligne aérienne. La réalisation de la ligne souterraine nécessitera l’abattage d’arbres sur le trajet retenu. Notons que les arbres présents le long des berges et chemins de halage du Canal ne sont pas de très grands intérêts botaniques et peuvent être compensés par la plantation de haies le long du trajet. La ligne aérienne a nécessité lors de son installation la réalisation de coupe des arbres dans les bois et forêts survolés par la ligne et donc aussi le maintien de ces « trouées forestières ».
- La durée du chantier de mise en œuvre pour la ligne aérienne est de 3ans par période de 8 mois. La période de chantier pour la ligne souterraine est limitée à 4 à 6 semaines par tronçon de 1km. Des chantiers parallèles peuvent être menés à différents endroits pour réduire le temps global du chantier.
Au vu des éléments étudiés dans cette étude, il apparaît clairement que le projet souterrain présente une évolution environnementale non négligeable par rapport à l’aérien en oubliant pas que l’exploitation de la ligne HT est prévue pour 60 ans. C’est pour cela que les communes ont décidé d’introduire un recours auprès du ministre.
17 Jan 2018 | La locale Ecolo Tubize, Mobilité
Depuis un an, nous mettons tout en oeuvre pour que la gare de Tubize devienne une priorité. L’annonce de certains aménagements est une bonne nouvelle qui va dans le bon sens, mais il en faudra plus.
Début d’année 2017, nous étions alertés par les travailleurs que les négociations entre les autorités communales et la SNCB ne se déroulait pas bien.
Rétrospective 2017 : La gare de Tubize
Aujourd’hui nous apprenons que la gare de Tubize aura quelques nouveaux aménagements.
http://www.dhnet.be/regions/brabant/la-police-sur-le-site-de-la-gare-de-tubize-5a5e3651cd70b09cefaf47ea
C’est un premier pas vers un mieux et nous pouvons nous en réjouir. Mais ce n’est pas un coup de peinture et des fleurs qui feront revenir les navetteurs. Le projet d’installation de la police locale dans la gare n’est pas un projet neuf. Il avait été enterré suite au coût de réaménagement. Si cette solution est envisagée par la SNCB et la zone de police, nous pensons que cela sera un plus pour la sécurité autour de la gare. Cette présence policière pourra améliorer le sentiment de sécurité.
Pour une gare efficace, il en faudra plus souligne Youri Caels conseiller communal et navetteurs journaliers
Le premier point est l’offre. Nous avons travaillé avec les travailleurs de la SNCB sur un plan concret de trains supplémentaires. Le prochain plan de transport aura lieu en 2020, nous espérons que la SNCB et les autorités communales pourront offrir plus de trains aux navetteurs.
La fiabilité est aussi importante, on ne compte plus les retards journaliers note Dimitri Stevens “navetteur”
L’accès à la gare
Les navetteurs sont souvent pointés du doigt pour les problèmes de parking. Il est vrai que chaque tubizien pourrait être à 10 minutes de la gare soit à pied, soit en vélo, soit en transport en commun. Mais pour cela, il faudrait que l’offre soit satisfaisante. Aucun parking vélo surveillé n’est prévu. Les navetteurs qui osent venir en vélo à la gare doivent d’abord combattre l’insécurité routière et prient chaque jour pour que leur vélo soit toujours présent à leur retour. Nous espérons que les réaménagements de la gare tiendront compte de cela. Pour les transports publics (tec), il faut que l’offre soit plus élargie. Il n’est pas normal que les Clabecquois, les Oisquercquois et les Saintois ne puissent pas compter sur des bus pour rejoindre le centre de Tubize.
L’accès des Personnes à mobilité réduite pourrait être risible si la situation n’était pas aussi grave. On ne sait pas s’il existe encore une personne vivante qui a pu voir l’escalator fonctionné. Il est tout à fait possible de créer une rampe d’accès en amont des quais qui pourrait permettre aux PMR, aux mamans avec des poussettes ou tout simplement à des personnes âgées d’accéder aux quais.
Tout ces points, nous continuerons à les mettre sur la table et bien après 2018.
18 Déc 2017 | Elections 2018
Dernier thème, notre commune amie des aînées. Répondez à ces questions et donnez nous vos idées.
Est-ce que vous vous voyez vieillir à Tubize ?
Comment vivez-vous à Tubize en étant un senior ?
Comment voyez-vous une ville accueillante pour les aînés ?
Voici ce qui se passe ailleurs:
- Brive-la-Gaillarde (France) a lancé le dispositif “Mon fauteuil, mon café, mon journal”. En ouvrant un espace de convivialité ouvert à toutes et tous, on tire les personnes âgées de leur isolement et de leur solitude. Prendre une tasse de thé ou de café, s’asseoir autour d’une table et discuter, jouer aux cartes, prendre un goûter, etc. sont des activités possibles quotidiennement. En outre, des actions culturelles ciblées telles que ciné-débats ou encore conférences sont organisées avec succès.
- À Namur, «la Centrale des moins mobiles» permet à des centaines de personnes à mobilité difficile d’aller à l’hôpital, de rendre des visites, de faire leurs courses, etc.
- À Trébovant, commune bretonne de moins de 1000 habitants, on organise régulièrement un séjour de vacances d’une semaine regroupant des lycéen-ne-s et des résident-e-s d’une maison de retraite. Deux lycéens sont référents d’un-e- résident-e. Permettre un autre regard sur les aînés, développer du lien social, consolider la solidarité, sont des objectifs le plus souvent rencontrés.
11 Déc 2017 | Elections 2018
Une semaine, un thème : Notre commune en santé. 2016 fût marqué par la menace de fermeture de l’hôpital. La santé est un enjeu majeur pour notre ville. Plusieurs acteurs doivent se concerter. Mais vous comment voyez vous la santé dans votre commune ? Répondez à ces questions.
Qu’avez-vous besoin en termes de santé pour vous sentir en sécurité ?
Etes-vous satisfaits de l’offre de soins à Tubize ?
Comment voyez-vous l’accès à la santé dans une ville ?
Voici ce qui se passe ailleurs:
- Frigo gratuit à Schaerbeek. Une asbl a installé deux “frigos ouverts” de façon permanente. Les habitant-e-s et professionnel-le-s de l’Horeca qui le souhaitent peuvent y déposer leur surplus alimentaire, nourriture et des boissons (les bouteilles ouvertes, les boissons alcoolisées et la nourriture périmée n’étant pas autorisées). Et ceux qui le souhaitent viennent s’y fournir. Un responsable de l’association vérifie tous les jours les dépôts. Le lieu d’installation a été discuté avec la population précaire du quartier. Il fallait en effet trouver un lieu à la fois accessible aisément, mais permettant la discrétion à celles et ceux qui vont se servir. Ce frigo public participe à l’amélioration de la cohabitation des différentes populations dans le quartier et a créé un réel mouvement de solidarité.
- Maison Médicale à Trooz. La commune a fait le constat d’un trop faible accès aux soins de santé de première ligne par pénurie de médecins. Elle a alors soutenu dès 2012 le projet d’une Maison Médicale qui a ouvert ses portes en 2014. Elle propose des services en lien avec la santé : médecine générale, service infirmier, service de kinésithérapie, service de psychologie, santé communautaire, comité de patients, prises de sang, etc. Si ces services s’adressent prioritairement aux personnes en situation psycho médico-sociale précaire, la maison médicale est ouverte à tous les habitants et toutes les habitantes de la zone. La commune, avec la collaboration de l’équipe médicale et le soutien de la Région wallonne et de l’Inami, s’est fortement impliquée dans ce projet qui répond à un réel besoin de la population.