Tendre vers une alimentation durable …. c’est possible

Tendre vers une alimentation durable …. c’est possible

Tendre vers une alimentation durable…

Oui, c’est possible !

Lors du conseil communal de 12 juin, le Président du CPAS de Tubize a présenté ses comptes.  Après des années de boni, le CPAS se trouve en difficulté financière. 

On parle même de mesure de gestion, c’est-à-dire potentiellement de mesures d’économie. 

Pour Ecolo Tubize, il ne faut pas se laisser abattre mais se retrousser les manches pour trouver des solutions. 

La Wallonie a initié plusieurs projets dans le but d’avoir une alimentation durable. 

Tubize doit saisir cette opportunité !

Dans sa présentation des comptes, le Président du CPAS a fait l’état des lieux des services en difficulté. Épicerie sociale, préparation des repas, maison de repos sont les services épinglés.  Cependant, le restaurant « Parfum du monde », service de réinsertion socioprofessionnelle se porte bien.

Notre conseillère a suggéré au Président de réfléchir autrement la gestion des repas. 

En effet, la Wallonie s’est dotée d’une stratégie « manger demain ».  Avec les acteur.trice.s de l’agriculture, les cantines, restaurants, consommateur.trice.s… La Wallonie souhaite que chaque acteur.trice puisse s’inscrire dans une alimentation durable, locale et accessible financièrement.

 
 

Depuis des années, le CPAS a pris des initiatives sur le thème de l’alimentation.

Epicerie sociale, projet vache et bourrache, restaurant d’insertion socioprofessionnelle, préparation des repas pour les collectivités…

Toutes ces initiatives sont nécessaires.

Elles doivent aujourd’hui s’inscrire dans une vision durable. 

Sophie Simal

conseillère communale , Ecolo Tubize

Quand le plan de gestion sera discuté au CPAS, les conseiller.ères viendront avec des propositions pour inscrire ces initiatives dans le cadre wallon de l’alimentation durable.

Les initiatives de « manger demain » proposent par exemple la mise en place de cantines durables, une caisse de solidarité au sein de certains points de vente, la lutte contre le gaspillage alimentaire, ….

Il nous semble nécessaire de pouvoir travailler du champ à l’assiette pour tous !

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Schéma de développement territorial : Tubize comme pôle d’ancrage.

Schéma de développement territorial : Tubize comme pôle d’ancrage.

Schéma de Développement Territorial…

Tubize comme pôle d’ancrage.

Introduction

Le territoire de la Wallonie est un patrimoine commun qui doit être géré de façon à lui assurer un développement durable et attractif, dans la recherche d’un équilibre entre les dimensions sociales, économiques, démographiques, énergétiques, patrimoniales, environnementales et de mobilité. De la pertinence des choix opérés et de la qualité de son aménagement dépendent la prospérité, le bien-être de ses habitants, la qualité de son environnement et la résilience de son territoire.

La Région, les communes et les autres autorités publiques, chacune dans le cadre de ses compétences et en coordination avec la Région, veillent à assurer un développement durable et attractif du territoire dans le respect de l’optimisation spatiale. L’optimisation spatiale vise à préserver au maximum les terres et à assurer une utilisation efficiente et cohérente du sol par l’urbanisation.

Elle comprend la lutte contre l’étalement urbain. Le développement durable et attractif du territoire rencontre ou anticipe de façon équilibrée les besoins sociaux, économiques, démographiques, énergétiques, patrimoniaux, environnementaux et de mobilité de la collectivité, en tenant compte, sans discrimination, des dynamiques et des spécificités territoriales, et de la cohésion sociale.

Le Schéma de développement du territoire (SDT) est le document stratégique qui formalise la politique du Gouvernement wallon pour gérer l’évolution de son territoire.

Il s’inscrit au sommet de la hiérarchie des outils du Code du développement territorial(CoDT). Les révisions des plans de secteur doivent s’en inspirer. Il est conçu pour être décliné dans les guides d’urbanisme et dans les schémas communaux et pluricommunaux, en fonction des spécificités de chaque territoire

C’est la raison pour laquelle le SDT donne des lignes de conduite pour permettre aux autorités communales de concevoir une stratégie territoriale à leur niveau. Ses objectifs s’appliquent également aux permis et aux certificats d’urbanisme dans certaines conditions déterminées par le CoDT.

Sur le plan juridique, le schéma de développement du territoire a valeur indicative. Il est possible de s’en écarter moyennant le respect des conditions et selon les modalités procédurales fixées par le CoDT.

Le SDT s’appuie sur une analyse contextuelle réalisée et mise à jour à la demande du Gouvernement wallon par la Conférence permanente de développement territorial (CPDT). Cette analyse synthétise un diagnostic territorial de la Wallonie. Elle permet de replacer dans leur contexte la vision, les objectifs régionaux de développement territorial et d’aménagement, les principes de mise en œuvre de ces objectifs et la structure territoriale du SDT.

Tubize comme pôle d’ancrage

Le développement du territoire se structure autour des pôles qui rayonnent. Ceux-ci concentrent des services et des équipements ou atteignent un niveau d’intensité économique important.

En Wallonie, quarante-neuf pôles rencontrent ces critères.

La structure territoriale n’établit pas de hiérarchie entre les pôles, mais fixe les bases d’un maillage couvrant l’ensemble du territoire qui tient compte de leurs spécificités.

Le développement des pôles répond aux principes suivants :

Optimiser & favoriser les synergies

Optimiser et consolider le développement socio-économique en favorisant les synergies entre activités et services, en tenant compte de leurs atouts (accessibilité multimodale, équipements, services, offre culturelle, relation et coopération, etc.) et en limitant l’étalement urbain.

Coordonner & structurer

Coordonner et structurer le développement des équipements et services en maximisant leur utilisation, en minimisant leurs coûts, en évitant les concurrences entre communes et en valorisant leurs spécificités. C’est notamment le cas pour les bipôles et les pôles constitués de plusieurs communes

Améliorer

Améliorer la cohésion sociale en offrant à tous des services et des équipements de qualité, accessibles en des temps de déplacement raisonnables principalement en modes actifs, collectifs, partagés ou à la demande.

Les autorités locales sont invitées à prendre les initiatives appropriées pour structurer et développer les pôles en coordination avec la Wallonie, et en concertation avec les communes voisines quand elles font partie d’un même pôle ou d’un bipôle.

Quatre types de pôles sont identifiés dans la structure territoriale : 

Les pôles d’ancrage

Ils accueillent des activités et des services pour l’ensemble du territoire desservi. Ils consolident le développement des activités économiques qui ne sont pas directement liées à l’exploitation raisonnée des ressources primaires et locales du territoire qu’ils polarisent. Ils prévoient et renforcent dans leur centralité des services et des équipements destinés à la population desservie par le pôle.

Les pôles régionaux

Outre les caractéristiques des pôles d’ancrage, ils consolident et développent les services et équipements de niveaux supérieurs de même que les activités économiques complémentaires, dont celles à haute valeur ajoutée, à fortes interconnexions régionales et pourvoyeuses de nombreux emplois

La capitale régionale

Elle rencontre les caractéristiques des pôles régionaux tout en assumant le rôle de capitale institutionnelle de la Wallonie

Les pôles majeurs

Ils rencontrent les caractéristiques des pôles régionaux et assurent la
consolidation des services et équipements permettant des échanges internationaux
dans différents secteurs et le développement des activités métropolitaines (siège
d’entreprises internationales, d’institutions et des centres de décision).

Enquête publique

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EXPLICATIONS SUR LE PROJET DE SCHÉMA

Toute personne peut obtenir des explications relatives au schéma de développement du territoire auprès de la Direction du développement territorial.

  • par téléphone, 081/32 26 00
  • par mail, enquetepublique.sdt@spw.wallonie.be
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RÉCLAMATIONS ET OBSERVATIONS :

Les réclamations et observations doivent être adressées au collège communal. Elles peuvent être écrites ou verbales.

Les réclamations et observations écrites peuvent être envoyées :

  • par courrier ordinaire, daté et signé.
  • par télécopie, datée et signée.
  • par courrier électronique, daté et identifié.

L’enveloppe, la télécopie ou le courrier électronique portera la mention « Révision du schéma de développement du territoire ».

Les réclamations et observations écrites doivent être envoyées ou remises avant la clôture de l’enquête ou le jour de la séance de clôture de l’enquête.

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Artificialisation des sols : Le cas de Tubize

Artificialisation des sols : Le cas de Tubize

Comment allier fin de l’artificialisation des sols et besoins de logements pour tous ?

 

 

La fin de l’artificialisation des sols (stop béton) est l’enjeu des prochaines décennies.  Le schéma de développement territorial (SDT) qui sera débattu dans les conseils communaux est un outil essentiel pour permettre d’atteindre les objectifs du stop béton pour 2050 et une diminution dès 2025.

Le cas de Tubize permettrait d’apporter des solutions

Pour commencer… quelques chiffres

A Tubize, 70 % du territoire n’est pas bâti et est consacré au terrain agricole, prairie, parc, espace vert,….  Alors qu’en 1990, c’était 77 %.  En 32 ans, Tubize a perdu 7 % d’espace naturel. 

Depuis 2012, la perte s’est ralentie

  • En moyenne, entre 1990 et 2000, nous perdions 11 hectares par an. 
  • Entre 2000 et 2010, c’était 5 hectares par an. 
  • Et de 2010 à 2020,  2 hectares par an.  

Ce choix de ne plus artificialiser les sols et de préserver les espaces verts, place Tubize 5ème des villes wallonnes où nous avons le moins utilisé des espaces verts pour construire des logements pour la période 2011-2021.  Nous avons artificialisé 0,9 % de terrains en 10 ans.  

Augmentation de la population

Parallèlement la population de Tubize a augmenté. 

Nous sommes passé de 20 000 habitants en 1990 à 27 774 habitants en 2022.

Cette augmentation a commencé dès 2002.  En effet, alors qu’avant les années 2000, la population tubizienne augmentait d’une centaine d’habitants par an. Dès les années 2000, l’augmentation est passée à une moyenne de 400 nouveaux habitants par an.

L’augmentation des logements disponibles a permis de garder des prix d’achats abordables pour les jeunes ménages.  

Aujourd’hui, Tubize offre une mixité de logements.  On peut retrouver des petits logements dans les anciennes maisons ouvrières, des logements sociaux, des appartements, des maisons 4 façades.  Ce qui offre différentes possibilités de logement.  Cette mixité de logements amène  une mixité de population.

Comment Tubize est arrivé à garder ses espaces naturels, tout en gardant des logements accesibles ?

Il faut trouver la réponse dans le passé de Tubize et dans ses choix politiques. 

Tubize a été un fleuron industriel du Brabant Wallon pendant des décennies avec de nombreuses industries.  Dans les années 70, les conditions économiques ont changé considérablement. En effet, si l’industrialisation a augmenté rapidement depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, après le premier choc pétrolier, cette croissance s’est quelque peu ralentie.  Et de nombreuses industries ont commencé à faire faillite.

Ces faillites ont été des chocs sociaux pour les habitants, et ont laissé de nombreuses friches industrielles à l’abandon.

Dès 2012, il y a eu un choix politique de réaménager ces friches industrielles et de ne plus étendre la ville sur des terrains naturels.
 
 La disponibilité de friches industrielles et le choix de ne plus construire sur des zones naturelles, sont les 2 facteurs qui ont permis à Tubize de continuer à être accessible tout en préservant un cadre de vie agréable.

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Schéma de Développement du Territoire

Schéma de Développement du Territoire

Schéma de Développement du Territoire

Qu’est-ce que c’est ?

Stratégie territoriale

Le Schéma de développement du territoire (SDT) définit la stratégie territoriale pour la Wallonie.

Il oriente les décisions régionales et communales en matière d’aménagement du territoire et d’urbanisme en fixant des objectifs et des modalités de mise en œuvre. 

Prospectif

Il se fonde sur une vision choisie du territoire à l’horizon 2050. Il tient compte des tendances, des phénomènes émergents et des défis qui s’imposent au territoire. Il projette son développement à court, moyen et long terme avec pour horizon l’année 2050.

Tranversal

Il intègre de manière décloisonnée les défis auxquelles la Wallonie doit faire face et y répond sous l’angle du territoire. Il rencontre les trois dimensions du développement durable en conjuguant les aspects sociaux, économiques et environnementaux. Il respecte les obligations internationales de la Région et s’inscrit en cohérence et en complémentarité avec les plans et les outils stratégiques régionaux déjà adoptés.

Mobilisateur

Il s’adresse aux habitants et aux acteurs, publics ou privés, de l’amé- nagement du territoire. Il les sensibilise à la réalisation de la stratégie territoriale et les engage à s’impliquer chacun à leur niveau dans sa mise en œuvre.

Opérationnel

 

Il propose des mesures concrètes susceptibles de faire l’objet d’un suivi pour que ses ambitions deviennent réalité à l’horizon 2050.

Quelques explications supplémentaires …

Qu’est-ce que le SDT?

Vision , centralités et structure territoriale

Objectifs

Artificialisation des sols : La cas de Tubize

La fin de l’artificialisation des sols (stop béton) est l’enjeu des prochaines décennies.  Le schéma de développement territorial (SDT) qui sera débattu dans les conseils communaux est un outil essentiel pour permettre d’atteindre les objectifs du stop béton pour 2050 et une diminution dès 2025.

Mais comment allier la fin de l’artificialisation des sols et le besoin de logements pour tous ?

Le cas de Tubize pourrait permettre d’éclairer les solutions….  
pour lire plus …

SDT : Tubize comme pôle d'ancrage.

 

Le territoire de la Wallonie est un patrimoine commun qui doit être géré de façon à lui assurer un développement durable et attractif, dans la recherche d’un équilibre entre les dimensions sociales, économiques, démographiques, énergétiques, patrimoniales, environnementales et de mobilité. De la pertinence des choix opérés et de la qualité de son aménagement dépendent la prospérité, le bien-être de ses habitants, la qualité de son environnement et la résilience de son territoire…

pour lire plus …

Schéma de développent territorial : Déterminer les centralités de Tubize

 

Le territoire de la Wallonie est un patrimoine commun qui doit être géré de façon à lui assurer un développement durable et attractif, dans la recherche d’un équilibre entre les dimensions sociales, économiques, démographiques, énergétiques, patrimoniales, environnementales et de mobilité. De la pertinence des choix opérés et de la qualité de son aménagement dépendent la prospérité, le bien-être de ses habitants, la qualité de son environnement et la résilience de son territoire…

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Service citoyen

Service citoyen

Qu’est-ce que le service citoyen ?

Un programme

C’est un programme pour les jeunes de 18 à 25 ans qui sont prêts à s’engager, pendant 6 mois, dans un projet solidaire

Choix de missions

C’est plus de 1000 missions dans les domaines de la culture, de l’éducation, de l’environnement, de l’aide aux personnes et de l’éducation par le sport. Ces missions te sont proposées par des organismes d’accueil tels que parcs naturels, fermes pédagogiques, centres d’accueil pour réfugiés, maisons de repos, bibliothèques, centres culturels, …

Formations

Formations autour de l’interculturalité, de la démocratie, de l’éco-citoyenneté et de la communication interpersonnelle ; brevet européen de premiers secours (BEPS), consommation responsable, éducation aux média, handicap, enjeux européens, climatiques, migratoires, de genre…

Projet climat

Activités axées sur les enjeux climatiques telles que :

  • Ateliers et formations;
  • Visites de lieux en transition écologique;
  • Co-création d’outils de sensibilisation;
  • Echanges et rencontres inspirantes avec des professionnel·les du climat;
  • Développement de compétences en communication et en sensibilisation.

Volontariat européen

La Plateforme pour le Service Citoyen accueille ponctuellement des jeunes volontaires européens à travers le programme du Corps Européen de Solidarité.

Les communes participent aussi …

Niveau 1 : Signer la Charte du Service Citoyen

C’ est la proposition d’un engagement moral et symbolique en faveur du projet de société que représente le Service Citoyen : le Collège et le Conseil communal signent une Charte défendant les grands principes du Service Citoyen et se positionnant en faveur de son institutionnalisation au niveau fédéral.

Niveau 2 et 3 : Faire connaitre et développer un réseau

La ville s’engage à jouer le rôle de facilitateur afin que le projet puisse s’enraciner sur le territoire communal : que ce soit en mettant en place des actions d’information auprès de sa population ou du secteur associatif.

Niveau 4 : Accueillir un jeune en Service Citoyen

Développer des missions pour les jeunes en Service Citoyen au sein même de services communaux (maison de repos gérée par le CPAS, crèche ou école communale, bibliothèque, centre culturel, Plan de Cohésion Sociale, Service environnement, …).

Niveau 5 : Financer un jeune en Service Citoyen

les villes et communes peuvent également s’engager à financer la mission en Service Citoyen d’un jeune, financer des journées de formation dispensées aux promotions de jeunes en Service Citoyen (formation du BEPS par exemple) ou encore des matinées d’information auprès des classes de rhéto.

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économies d’énergie

économies d’énergie

Consommation énergétique…

Qu’est-ce qui est mis en place par les pouvoirs publics ?

Dispositions visant à réduire la consommation d’énergie et à tendre vers la consommation responsable.

Les mesures concrètes de la Ville de Tubize

Comportements individuels
  • Eviter les courants d’air, éteindre les appareils électriques, limiter les impressions, favoriser le réemploi et la réutilisation….
  • Il est demandé à chacun de réduire la température des bureaux à 19°C (à l’exception des écoles maternelles dont la température sera limitée à 20°C).
  • Mise à disposition des agents de vélos électriques de fonction.
Gestion des bâtiments
  • Renforcement de l’entretien et la réparation des différentes installations, monitoring régulier des compteurs et l’installation de compteurs dynamique.
  •  Vérification d’étanchéité à l’air des portes et fenêtres, ’isolation des tuyaux de chauffage.
  • Travaux d’isolation de toiture sur l’ancienne maison communale de Clabecq, au CPAS, à l’école de Oisquercq et de Clabecq et de l’Hôtel de Ville.
  • Le remplacement des chaudières atmosphériques par des chaudières à condensation. A terme, la bibliothèque, le CPAS, l’académie, les écoles et le dépôt communal bénéficieront de ces remplacements.
Eclairage public
  •  Extinction l’éclairage public de minuit à 5h  de novembre à mars.
  • utilisation des décorations de Noël lumineuses LED qui sont les moins énergivores.
  • Elaboration du projet de relamping qui s’étale de 2020 à 2029 pour changer à terme tout l’éclairage public.
Economies d'énergie

L’installation des panneaux photovoltaïques a permis de diminuer la consommation globale des différentes écoles communales ;

  • économie de  33% d’électricité à l’école de Clabecq,
  • économie de 99% à l’école de Oisquercq,
  • économie de 20% à l’école de Saintes. (Les chiffres de Saintes peuvent paraitre moins ambitieux mais les panneaux photovoltaïques de cette école permettent d’alimenter le chauffage qui est un système de pompe à chaleur contrairement aux autres écoles.)

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