La Direction des Routes du Brabant wallon projette de créer une voie de contournement à Tubize (pont de Clabecq – chaussée d’Hondzocht).
Dans le cadre de l’étude d’incidences sur l’environnement, une réunion d’information préalable sera organisée le mardi 23 janvier 2018 à partir de 19h30 au Centre culturel de Tubize (boulevard Georges Deryck 124).
Cette réunion a pour objet :
– de permettre à l’auteur de projet de présenter son projet ;
– de permettre au public de s’informer et d’émettre ses observations et suggestions concernant le projet ;
– de mettre en évidence des points particuliers qui pourraient être abordés dans l’étude d’incidences ;
– de présenter des alternatives pouvant raisonnablement être envisagées par le demandeur afin qu’il en soit tenu compte lors de la réalisation de l’étude d’incidences.
Toute personne peut émettre ses observations et suggestions destinées à la réalisation de l’étude d’incidences, avant le 6 février 2018, en les adressant par écrit au Collège communal de Tubize.
Fin d’année 2016, nous étions alertés par des travailleurs de la SNCB que les négociations entre les autorités communales et la SNCB se déroulaient mal. En effet, les seules discussions portaient sur le parking de la gare et aucunement sur la fréquence ou sur les commodités.
Avec l’aide des navetteurs, nous avons commencé à mettre un plan de communication pour que la gare de Tubize devienne un enjeu pour les autorités communales et pour la SNCB. Il était urgent car le plan de transport 2017-2020 devait être annoncé au printemps.
Rapidement, nous apprenions la volonté du ministre Bellot de fermer les guichets de la gare. Marcel Cheron prit rapidement la balle au bond et interrogea le ministre au parlement.
Ces nouveaux horaires sont arrivés sur les bureaux de la SNCB qui sont en train de les examiner. Ca permettra aux autorités communales d’avoir une base de travail pour améliorer la fréquence des trains.
En 2018, nous continuerons notre combat pour l’avenir de la gare. Malgré, l’impression que nous avons que la gare est pour certains plutôt un frein qu’une possibilité de développement. Comme la justification des nouvelles zones bleues qui est mis sur le dos des navetteurs. On comprend qu’il faut un parking, mais les autorités communales doivent bien comprendre qu’ils sont en train de dégoûter les navetteurs. Qui iront ailleurs et qui aggraveront les problèmes de mobilité à Tubize.
Une semaine, un thème : Comment se déplacer dans notre ville. Répondez à ces questions pour nous donner votre avis.
Comment aimeriez-vous vous déplacer dans Tubize ?
Quelle sorte de déplacement effectuez-vous ?
Voulez-vous vous déplacer autrement à Tubize ?
Voici ce qui se passe ailleurs :
Un Groupe de Travail Mobilité a, depuis de nombreuses années, été instauré à Schaerbeek. Il réunit Service Voirie, Mobilité et Police. Il travaille sur l’aménagement des voiries prenant en compte les aspects mobilité et sécurité des installations. C’est ainsi que l’installation d’oreille de trottoirs sécurisant les carrefours a pu être systématisée et que les voiries communales sont en passe de devenir intégralement zone 30. Y sont aussi traitées les interpellations riveraines afin de placer radars préventifs ou aménagements de sécurisation.
Les villes d’Enghien et de Namur viennent de former leurs équipes de stewards urbains en leur donnant aussi la possibilité de constater les incivilités. Sur le terrain, ceux-ci peuvent dialoguer avec la population, mais aussi sanctionner les incivilités telles les voitures garées sur les trottoirs ou les passages piétons.
À Fléron, chaque nouveau permis d’urbanisme fait l’objet d’une vérification systématique de son accessibilité aux PMR.
Dans la région bruxelloise, plusieurs communes organisent des formations « Brevet du cycliste » à l’attention des élèves de 5ème primaire avec l’appui d’une association cycliste.
À Gand, la mise en place de « rues scolaires » vise à limiter la circulation aux abords directs des écoles une demi-heure le matin et une demi-heure le soir aux heures d’entrées et de sorties afin d’offrir un environnement sécurisé aux élèves.
À Schaerbeek, entre 500.000 et 1 million € sont chaque année consacrés à un Plan Trottoir ambitieux. Le même montant est consacré à un Plan Asphalte, non moins important.
À Watermael-Boitsfort, la création d’un réseau piétonnier sécurisé pour les personnes à mobilité réduite (PMR) dans la commune de Watermael-Boitsfort est un nouvel exemple de notre volonté d’inverser la conception de la mobilité au profit des « usagers faibles », en donnant la priorité à la sécurisation des déplacements piétons, des PMR, des cyclistes, etc….
En se dotant, en 2009, d’un Plan Vélo fixant les priorités en matière d’infrastructure, d’organisation et de promotion, la Ville de Namur a précédé la dynamique du Plan Wallonie Cyclable. En parallèle, elle a développé avec succès les vélos partagés ‘Li Bia Vélo’.
Namur a développé deux «Pedibus» (bus piétons collectifs), l’un à Malonne, l’autre à Loyers. Le Pédibus c’est un moyen écologique et économique de se rendre à l’école, c’est bon pour la santé, ça permet de découvrir la nature, de discuter avec les copains, les habitants, ça réduit le nombre de voitures aux heures d’arrivée à l’école, ça permet aux enfants de mieux maîtriser les règles de sécurité à proximité des routes… Bref, c’est un bel outil de mobilité.
À Raeren, la commune réinvestit les sentiers ruraux et villageois et recrée des cheminements piétons et cyclistes.
À Ottignies Louvain-la-Neuve, la ville n’a pas cessé d’augmenter les emplacements pour les vélos : emplacements de parkings libres sur l’espace public. L’offre en parkings couverts à contrôle d’accès et en parking vélo réservé a également été renforcée à la Maison des cyclistes de la gare d’Ottignies, mais aussi à Louvain-la-Neuve avec l’implantation de 27 boxes. Depuis 2011, ce sont près de 25km de pistes cyclables, bandes cyclables, rues cyclables, SUL, qui se sont ajoutés aux aménagements existants, soit 30% de plus, pour un total de plus de 1 million €.
À Fléron, on encourage l’utilisation du vélo au quotidien grâce à la mise en place systématique de SUL, une signalisation des impasses traversantes, la valorisation du RAVEL qui traverse toute la commune pour les déplacements intra-communaux, la mise en place de consignes pour la remontée des files de voitures à l’arrêt,etc. Par ailleurs, la commune montre l’exemple en achetant des vélos électriques pour les agents communaux, en utilisant des vélos et un triporteur pour le nettoyage du Ravel, etc. La commune a aussi créé de nouvelles venelles d’accès au Ravel.
À Namur, les voitures partagées bénéficient de carte offrant le stationnement gratuit sur le territoire.
Schaerbeek a mis 3 voitures communales à disposition d’une plate-forme de voitures partagées entre particuliers. Il s’agit là d’une phase test afin d’étudier la possibilité de rendre disponibles d’autres voitures communales inutilisées le week-end.
À Fléron, la commune a étudié des nouveaux tracés des accès des bus au centre ville pour éviter qu’ils restent calés dans les embouteillages.
À Namur, la Ville soutient le TEC dans l’amélioration de la fiabilité et le confort des bus : aménagement de bandes bus sur voiries communales, innovation avec la création de bandes bus “dynamiques” c’est à dire qui peuvent soit être empruntées dans les deux sens (vers la ville le matin et vers la sortie de ville le soir) soit qui ne sont actives que pendant les heures de pointes. La ville a rénové en priorité les voiries communales où passent les bus. La ville crée des liaisons cyclables et piétonnes vers les arrêts de bus.
À Philippeville, le Philibus circule le samedi matin et permet aux habitant-e-s de rejoindre le centre de la ville où ils peuvent avoir accès aux services communaux, au marché hebdomadaire ainsi qu’aux commerces et services. Le Philinoctambus circule lors des grandes fêtes de l’été, organisées par les jeunesses des différents villages. Il couvre actuellement 5 soirées. Ce service gratuit permet aux jeunes de se rendre en soirée et d’en revenir en toute sécurité.
À Havelange, la commune s’est lancée dans le projet Flexi-TEC, un système de mobilité à la demande qui permet de combler la couverture limitée de certaines zones rurales par le TEC.
Les communes du Sud de l’Entre-Sambre-et-Meuse se sont fédérées dans la centrale de mobilité MOBILESEM.
Profondeville et Ecaussinnes ont réussi à faire rouvrir leur gare, et ce en collaboration avec la SNCB et un concept de gare vivante». À Écaussinnes, la commune a mis les locaux à disposition de la Croix-Rouge et de l’ADL et le Gracq a installé des abris-vélos sécurisés et dans le hall, les navetteurs peuvent attendre au chaud. Tout le monde est gagnant.
Ce mardi, Marcel Cheron a posé la question sur la réouverture de la gare de Clabecq. En effet, il y a quelques semaines nous apprenions qu’Infrabel envisageait le remplacement des rails à Clabecq. Avec le risque enterrer le projet de réouverture à jamais.
Le ministre nous a rassuré sur le choix des rails envisagés qui pourrait permettre une réouverture. Mais ce projet n’est pas à l’ordre du jour de la SNCB. Autant dire que les arguments de la SNCB ne sont pas corrects.
Ils disent que la réouverture se ferait au détriment d’Hénnuyères ou de Tubize et que cela n’est pas possible à cause de la congestion du réseau vers Bruxelles. Nous avons proposé la réouverture de la gare de Clabecq avec un train qui prendrait la ligne 26 c’est à dire la ligne qui passe par Saint Job et qui rejoint Schumann. Ce qui ferait une connexion entre Clabecq et le quartier européen. Nous demandons à la SNCB d’envisager ce trajet avant de se prononcer.
Nous déplorons que la SNCB utilise toujours la peur de la perte pour d’autres pour ne pas réfléchir à Tubize.
Ci dessous un commentaire pertinent sur les options envisagées:
Une fois encore, la SNCB ne veut pas prendre pas en compte le projet de réouverture de la gare de Clabecq en justifiant le manque de capacité de la Jonction Nord-Midi et le détournement des trains S2 Braine – Bruxelles par Clabecq. Ce n’est pas cela qui avait été envisagé, mais bien la réutilisation d’un train Hal – Schuman qui stationne pendant 40′ en gare de Hal, qui ne passe pas par la Jonction Nord-Midi et qui influence pas les trains S2 Braine -Louvain. Ce temps de 40′ était mis à profit pour effectuer un aller-retour Hal – Clabecq (environ 18 minutes avec arrêt à Lembeek) en maintenant toutefois un arrêt suffisant à Clabecq pour les opérations de changement de sens. Pour éluder le problème et affirmer que ce n’est pas possible, la SNCB, dès le 10 décembre prochain, utilise le temps de stationnement de 40′ à Hal pour effectuer un aller-retour Hal – Enghien, qui dispose déjà de 5 relations par heure… Les arguments du ministre – et donc ceux de la SNCB – ne tiennent pas la route.
Ci dessous l’intervention complète au parlement
Marcel Cheron (Ecolo-Groen): Monsieur le président, monsieur le ministre, ma question porte sur la possible réouverture de la gare de Clabecq située dans la commune de Tubize, dans le Brabant wallon, région très belle et accueillante.
Selon mes informations, Infrabel serait en passe de réaliser des travaux de renouvellement de voies sur le tronçon environnant l’ancienne gare de Clabecq. Pourquoi vous interroger à ce sujet? Pour avoir votre point de vue quant à une éventuelle réouverture de l’arrêt de Clabecq en lien avec une évolution dans le quartier. En effet, cette zone autour de l’ancien arrêt de Clabecq fait l’objet de développements immobiliers. Il est ici question de l’aménagement de l’ancien site Duferco, de la métallurgie brabançonne bien connue. Sont ainsi annoncés 2 000 logements, des entreprises, des commerces et d’autres services qui mériteraient d’être accessibles via la meilleure mobilité qui soi, à savoir la mobilité douce et, en particulier, le train. La question de la réouverture de la gare est donc essentielle. Je ne dois pas faire ici l’apologie des transports en commun auprès du ministre de tutelle.
Monsieur le ministre, pensez-vous qu’il soit trop tard pour intégrer cette réflexion dans le cadre des travaux envisagés par Infrabel? Selon moi, ce genre de travaux devrait s’inscrire dans une vision à moyen, voire à long terme, en tenant compte de ce qui pourrait résulter d’un arrêt de Clabecq totalement ou partiellement utilisé. Infrabel a-t-elle déjà effectué des choix techniques définitifs concernant la réfection des voies autour de la gare de Clabecq, avec la possibilité ou non d’intégrer, un jour, la réouverture de l’arrêt? Le cas échéant, interviendrez-vous pour éviter que ces choix empêchent une potentielle réouverture de l’arrêt ou de la gare dont question?
François Bellot, ministre: Monsieur le président, cher collègue, je me réjouis avec vous de la reconversion du site de Duferco, avec la construction de 2 000 logements. Aujourd’hui est d’ailleurs un jour un peu particulier, si on se réfère à ce qui s’est passé à Clabecq, il y a vingt ans. Infrabel m’informe que les travaux de renouvellement sur la ligne 106 ne portent pas préjudice à la possibilité théorique de faire encore circuler des trains de voyageurs sur cette ligne à l’avenir. Cependant, cela n’entre pas dans les projets, pas plus que de rouvrir la gare de Clabecq et d’organiser, au niveau de cette gare, des départs et des arrivées de liaisons ferroviaires avec Bruxelles. Cela ne les compromet pas. Même si tel devait être le souhait, la SNCB évoque alors, de façon générale, le manque de capacité en lignes, notamment dans la jonction Nord-Midi, qui empêche de mettre encore plus de trains en service entre Halle et Bruxelles. La seule possibilité, dans l’état actuel des choses, pourrait consister à faire passer les trains S reliant Bruxelles et Braine-le-Comte par Clabecq mais cela pourrait uniquement se faire, si cela se faisait, au détriment de la desserte des gares de Tubize et Hennuyères. La question se pose dès lors de savoir si, pour les voyageurs, une telle alternative est souhaitable. La réponse est donc claire. Les aménagements actuels ne compromettent en rien la capacité de faire encore un jour un arrêt à Clabecq. Par ailleurs, si on devait faire passer des trains par Clabecq, ce serait, selon la vision de la SNCB, peut-être au détriment de Tubize et Hennuyères. Le tout est une question d’offre de trains, de nombre de trains, etc. Je ferai une dernière remarque. On prend souvent la Suisse comme modèle pour ce qui est des chemins de fer. Il faut savoir que, dès qu’un promoteur construit plus de 150 logements en un seul bloc, il a la charge d’urbanisme d’aménager la connexion par voie de chemins de fer. C’est évidemment une toute autre logique. Nous ne sommes pas dans celle-là. N’en concluez pas que nous allons demander à Clabecq d’assurer la connexion. Il s’agit simplement d’une petite réflexion à ce sujet-là, tout comme, quand on aménage un stade de foot, il faut deux lignes de chemins de fer.
Marcel Cheron (Ecolo-Groen): Monsieur le ministre, je vous remercie. Aujourd’hui, je suis positif. Je retiens que cela ne compromet pas. Je regrette simplement que cela ne soit pas intégré dans les travaux. Pour ce qui est du restant de la réponse, j’avais déjà entendu une certaine argumentation de la SNCB lors du débat sur le plan de transport. Je ne suis pas totalement convaincu mais je note bien que la fermeture n’est pas totale. J’essaierai donc de revenir avec des éléments et certains arguments. J’entends bien l’argument de la jonction Nord-Midi mais c’est un argument récurrent. J’espère qu’un jour, on trouvera une solution pérenne par rapport à cela et pas seulement par la technologie. Et, en lien avec l’offre S, il s’agit de vérifier si effectivement cela se ferait ou pas au détriment des gares que vous avez citées. Je retiens en tout cas que rien n’est compromis à ce stade mais que, malheureusement, ce n’est pas intégré dans les travaux qui vont se dérouler.
Depuis quelques mois la locale Ecolo de Tubize a réuni les travailleurs de la SNCB pour organiser un nouvel horaire de la gare de Tubize. Ce jeudi, ils ont voulu le présenter aux navetteurs.
Ils étaient présents dès 7h00 en gare de Tubize pour présenter des flyers avec le nouvel horaire. Après une petite discussion avec le sous chef de gare, on se rend compte des difficultés que les navetteurs subissent chaque jour. Train en retard, manque de communication (sur 10 minutes deux annonces non faites et un train annoncé après son départ). Ils nous expliquent aussi les mésaventures de la semaine passée quand tout le système informatique de vente de la SNCB a planté pendant plusieurs heures. Ils comprennent et subissent la frustration des navetteurs. C’est pour cela qu’ils ont voulu participer et montrer qu’ils peuvent aussi apporter des solutions.
Début de la distribution des flyers et premier commentaire
Les premiers flyers sont distribués et assez rapidement les premiers commentaires se font. Marie navetteuse : « Ce serait extra ! Horaire beaucoup plus logique et cohérent et des trains plus tard ! » « Angela : C’est pour quand ? » Alexis : « Si cela pouvait se faire ».
L’engouement est certain, on voit même des personnes revenir sur leur pas pour demander des flyers. Des discussions s’engagent sur la possibilité de réaliser ce plan.
Laurent Heyvaert de la locale Ecolo de Tubize : « Ce plan a été conçu avec les travailleurs, on s’est mis comme objectif que ça ne coûte rien. Et on voulait que Hal ne soit pas pénalisé car on aurait perdu face à un conflit communautaire. Tous les aspects techniques ont été pris en compte qui est souvent l’argument invoqué par la SCNB. »
Les managers pas content
Après une demi heure de présence sur les quais, le sous chef de gare vient nous prévenir qu’il a reçu un coup de téléphone de sa hiérarchie pour nous bloquer l’accès aux quais. Il ne savait pas nous dire d’où ça venait, mais on se rend compte que cet horaire réaliste dérange. Nous continuons donc la distribution à l’entrée de la gare.
Virginie navetteuse quotidienne : « J’étais toute heureuse, l’horaire idéal, et puis…..ce n’est qu’un souhait qui doit encore passer »
Youri Caels conseillé communal de Tubize : « Nous avons voulu rendre ce plan public maintenant car on sait que les réflexions et réunions pour les horaires se font entre septembre et décembre. Ensuite ils sont proposés à la direction et au ministre. Avec ce plan, on ne doit pas attendre le prochain plan de transport 2020 car on ne demande pas de trains supplémentaires mais une autre cadence. Donc ce plan est tout à fait réalisable pour sa mise en place en décembre 2018. »
L’action se finit à 8h avec l’affichage des flyers sur les arrêts de la Tec car on sait que les prochains week ends vont être dure pour les navetteurs de la ligne 96 avec les travaux prévus.
L’horaire complet est disponible sur le site internet https://tubize.ecolo.be/nouvelle-proposition-dhoraire-pour-la-gare-de-tubize/ ou sur les réseaux sociaux.