Sandra Dumonceau

Sandra Dumonceau

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sandra Dumonceau

Echevine de la Ville de Tubize

 Compétences

 

Environnement

Développement durable

Ainés

Famille

Santé

Bien être animal

 

 

Pour me contacter

 

sandra.dumonceau@tubize.be

02/391.39.95

0476/64.12.51.

Adresse bureau

 

Grand Place, 1

1480 Tubize

 

 

 

Une vie locale

” Sandra Dumonceau, 48 ans native de Tubize. Fille de parents ouvriers et fière de l’être. Papa travaillait chez Bates ensuite les forges de Clabecq et maman a travaillé chez Fabelta.

Je suis l’épouse de Gilbert enseignant, maman comblée de Louise, 20 ans qui se destine au métier de coiffeuse et Oscar, 10 ans dont l’avenir nous dira vers quoi il se destine entre pompier, chercheur, avocat ou … Bourgmestre J

J’ai effectué des études de secrétariat qui m’ont menée vers beaucoup d’horizons (banquière, secrétaire dans le milieu de la formation professionnelle pour adultes, assistante d’échevine et actuellement je suis assistante de direction dans une école maternelle à Anderlecht).

Ayant travaillé dans le milieu de l’Administration Communale, le travail m’a énormément plu.  Je me suis tout de suite retrouvée dans les domaines de l’environnement, de la culture, et encore bien d’autre comme le handicap. 

Cette dernière compétence me tient particulièrement à cœur. Comment les accueillir, les intégrer dans la société actuelle.  Mon objectif est d’amener les personnes en situation de handicap à vivre et travailler comme tout un chacun et de leurs permettre de mettre leurs compétences et leur capital humain au service de la société.

Il y a du travail en la matière et j’en suis consciente. La création de la Commission de la personne porteuse de handicap à la Ville de Tubize qui se met tout doucement en place va m’y aider.”

 

Ancrée

Thématiques qui me parlent

le vivre ensemble,

l’intergénérationnel,

la jeunesse,

 la mobilité,

le cadre de vie.

Actions

Une Ville  où il fait bon vivre

Nous devons réapprendre à connaître notre rue, notre quartier, nos voisins de quelque manière que ce soit. 

Je souhaiterais privilégier les moments de rencontre, entre jeunes, adolescents, adultes et aînés dans divers lieux et éviter ainsi l’isolement social, économique et culturel tout en bougeant en sécurité.

Nous devons réfléchir à un cadre de vie durable et penser à Demain.  Le terme “Cadre de Vie ” est vaste !  Il faut veiller à une urbanisation et à un aménagement du territoire adéquat et durable.

Convivial

Une Ville durable

Il faut également être attentif au maintien et au transfert vers nos générations futures de notre patrimoine matériel et immatériel mais aussi de notre biodiversité.

Il est également important de penser à nos Aînés et nos futurs Aînés en développant des projets divers afin de pouvoir répondre à leurs demandes en fonction de leur situation, de leur vécu à tout à chacun.

Quand c’est possible, nous devons promouvoir nos commerces, nos artisans locaux et démontrer qu’il est possible de travailler en circuit court au sein du Brabant wallon Ouest.

Notre Ville doit être une Ville où il fait bon vivre. “

Participation

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Sophie Simal

Sophie Simal

Sophie Simal

Conseillère communale

” Résumer en quelques lignes 48 ans de vie n’est pas chose aisée. En très bref, je suis la maman de deux jeunes filles de 11 et 13 ans, Thémis et Zia et l’épouse d’un chercheur fou. Je suis en général quelqu’un d’heureux. Disons que je cherche souvent le moyen de voir les choses de leur bon point de vue et trouve souvent des solutions grâce aux contacts que j’entretiens avec plaisir et à l’appel à la créativité que je travaille immodérément.

Psychologue et communicatrice de formation, je travaille au SPF Intérieur en tant que responsable de projets divers et variés : diversité et inclusion, gendermaintreaming, intégrité et déontologie ainsi que le suivi psychosocial. Je suis aussi coach de carrière.

J’ai rejoint avec enthousiasme l’équipe d’Ecolo Tubize parce que leur dynamisme et leurs valeurs intègres peuvent réellement faire la différence au sein de notre ville et nos villages. Je suis actuellement conseillère communale. Je me suis engagée dans cette voie en tant que citoyenne concernée par son environnement qui est et sera aussi celui de nos enfants.”

Sophie

En charge de …

  • Commission du Conseil communal des Travaux, du Cadre de vie, de la Mobilité et de la Lutte contre les inondations (Présidence)
  • Commission Conseil communal de l’Urbanisme, de l’Aménagement du territoire, du Développement durable, de la Citoyenneté et des Affaires patriotiques
  • Commission du Conseil communal de l’Enseignement, du Développement économique, de l’Emploi, du Commerce, de la Communication et des Nouvelles technologies
  • Conseil de police

Pour me contacter  …

sophie.simal@tubize.be

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Lise Jamar

Lise Jamar

Lise Jamar

Conseillère communale

” Assistante sociale, psychotérapeute, retraité depuis peu. 

Conseillère communale à Waterloo pendant 15 ans et tubizienne depuis quelques années. 

La politique sociale et de santé me tient à cœur, mais aussi la mobilité et les travaux. “

Lise

En charge de …

  • Commission du Conseil communal de l’environnement, des ainées, de la famille, de la santé, du bien être animal.

Pour me contacter  …

lise.jamar@tubize.be

Laurent Heyvaert

Laurent Heyvaert

Laurent Heyvaert

Député Wallon

” Assistant social de formation, j’ai été confronté très tôt aux politiques déshumanisantes de notre système, j’ai voulu m’engager professionnellement auprès des victimes de ce système. Mais en dix ans, j’étais de plus en plus confronté au sentiment d’impuissance et à une impression d’écrasement.

Pour moi, la seule offre politique qui remet en question le fonctionnement de notre société c’est le projet de l’écologie politique. Ce sentiment d’écrasement, est autant valable pour les êtres humains, les animaux que pour la nature. Depuis longtemps, Ecolo dénonce ce système et propose des solutions.

Si les générations futures nous regardent agir avec attention , c’est aussi le cas aussi des générations précédentes qui dénonçaient déjà ce système. C’est parce que nous sommes engagés avec nos des militants depuis presque 40 ans que nous arrivons avec des solutions.

Nous faisons face à deux urgences, climatique et sociale . Si nous ne faisons rien, nous serons confrontés à une crise sans précédent.Les causes de ces crises sont connues et prouvées scientifiquement. Nous ne pouvons plus faire semblant et continuer comme avant. Nous sommes a un moment critique… nous sommes la dernière génération a avoir le pouvoir de changer les choses. “

Laurent

En charge de …

  • Commission de l’emploi, de l’action sociale et de la santé
  • Commission de l’énergie, du climat et de la mobilité
  • Comité “Mémoire et Démocratie”
  • Commission du Budget, de la Fonction publique, de l’Égalité des chances, de la Tutelle sur Wallonie-Bruxelles Enseignement et des Bâtiments scolaires (suppléant)
  • Commission de l’Enseignement supérieur, de l’Enseignement de promotion sociale, de la Recherche, des Hôpitaux universitaires, des Sports, de la Jeunesse, de l’Aide à la jeunesse, des Maisons de justice et de la Promotion de Bruxelles (suppléant)

Pour me contacter  …

laurent.heyvaert@ecolo.be

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Projet d’enfouissement des déchets hautement radioactifs … Parlons-en !

Projet d’enfouissement des déchets hautement radioactifs … Parlons-en !

Introduction

Qu’est-ce que L’ONDRAF ?

L’ONDRAF est l’organisme national des déchets radioactifs et des matières fissiles enrichies. Il est responsable, depuis 1980, de la gestion des déchets radioactifs en Belgique.

Un déchet radioactif est un déchet qui émet des rayonnements susceptibles de causer des dommages à l’homme et à l’environnement. Ils sont issus de la production d’électricité dans les centrales nucléaires, du démantèlement d’installations nucléaires ou encore de l’utilisation de substances radioactives dans le cadre de la recherche, de la médecine, de l’agriculture et de certaines activités industrielles.

Enfouissement des déchets

Projet d’enfouissement des déchets hautement radioactifs de l’ONDRAF

Sous le couvert du confinement, période durant laquelle l’attention de l’opinion publique est légitimement focalisée sur la gestion de la pandémie du COVID-19 et ses conséquences sanitaires, économiques et sociales, l’Organisme National des déchets radioactifs et des matières fissiles enrichies (ONDRAF) a proposé au gouvernement fédéral d’adopter  le projet intitulé « Une destination finale pour les déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie en Belgique ».

 

L’enquête.

Cette consultation publique1 qui se tiendra entre le 15 avril et le 13 juin 2020  nous est présentée comme visant à définir la méthode de stockage « définitif » par enfouissement géologique de la quantité actuelle de nos déchets nucléaires, soit les déchets de type B (soit 8 900m3) et de type C (soit 2 100 à 4 700 m3 ).

Par deux fois, les députés fédéraux en charge de ce dossier Samuel Cogolati (Ecolo) et Malik Ben Achour (PS) ont réclamé un allongement du délai, comme l’ont fait les Régions pour les autres enquêtes publiques. Par deux fois, la demande a été refusée par le MR et la droite flamande, malgré l’appui de tous les autres partis.

Un large débat sociétal doit pourtant  répondre à toutes les garanties démocratiques et doit être étayé de toutes les connaissances techniques et scientifiques actuelles et à venir.

Ladite consultation, par ailleurs, pose question. Elle définitivement tournée vers une simplification abusive de la situation. Les questions sont automatiquement tournées de manière  à faire accepter leur solution comme LA seule solution.

Tout le dossier nous détourne des vraies questions pour ne se focaliser que sur la question technique, sans jamais prendre en compte les sphères sociales et environnementales.

La Belgique n’a pas encore de plan concret pour ses déchets nucléaires. Mais cette décision (à laquelle la population doit participer) doit porter sur un système de gestion précis à long terme des déchets nucléaires (on parle de MILLIONS d’années)

Or, nous ne rencontrons que principes et propositions abstraites. Le projet de plan qui fait l’objet de cette consultation ne répond pas non plus aux exigences européennes.

ll est à relever que l’avis de l’Agence Fédérale de Contrôle Nucléaire (AFCN) sur le contenu de la consultation publique était attendu sur ce projet pour le 13/06, au même titre que celui des citoyens. Comment est-il possible qu’on demande l’avis du citoyen lambda sur une problématique aussi importante et dangereuse avant d’ avoir au minimum pu être éclairés par l’avis de l’AFCN ?

1 https://www.ondraf.be/

« La consultation publique en cours n’est qu’un épisode de l’habile stratégie que pratique l’organisme depuis le milieu des années 2000 : le saupoudrage de démarches qui donnent l’illusion d’une démocratie participative, mais qui sont en réalité détournées au profit de la fabrique du consentement. » 

https://pour.press/author/isabelle-masson-loodts/

 

Isabelle Loodts

Pour écrire la liberté, 25/04/2020

Mais que propose l’ONDRAF ?

L’ONDRAF propose de stocker en profondeur, quelque part sur le territoire belge, les déchets hautement radioactifs à long terme.

Le projet de l’ONDRAF est basé sur son Plan Déchets présenté en 2010, qui fut remis en question à trois reprises par l’AFCN en 2011, 2016 et 2017. Aucune mesure substantielle préconisée par l’AFCN n’a été prise en compte par l’ONDRAF. Les principaux aspects du présent projet restent inconnus, aucune information quant aux modalités concrètes du stockage de ces déchets (lieu, moment et méthodes) n’étant à ce stade spécifiée.

Stockage par enfouissement :

 L’enfouissement à 200m sous terre n’offre aucune possibilité d’intervention a posteriori. Il s’agit d’une solution irréversible !

De nombreux accidents ont déjà eu lieu sur ce type de site : incendies, explosions et rejets de gaz radioactifs dans l’environnement,  contamination des eaux, corrosion des conteneurs de stockage, etc.

 Il est impossible de s’assurer que la solution de « stockage géologique » proposée par l’ONDRAF soit totalement sécurisée, notamment parce que les aléas sismiques sont imprévisibles sur des échelles de temps aussi longues que de l’ordre du million d’années et sera à terme irréversible. Même sans tremblement de terre, les exemples d’accidents se multiplient après seulement quelques dizaines d’années de ce type de stockage.

 

  • Le Waste Isolation Pilot Plan au Nouveau-Mexique3 où plusieurs centaines de milliers de fûts peuvent être stockés dans des cavernes de sel à 640 mètres de profondeur  a connu un incendie avec dégagement radioactif.
  • La Stocamine4, en Alsace où un incendie s’est déclaré à proximité du site d’enfouissement. La seule solution trouvée lorsque l’incendie s’est déclaré était de fuir le site et de le sacrifier
  • En 2017, à Hanford (USA)5, des milliers d’employés ont été confinés après l’effondrement d’un tunnel rempli de substances contaminées
  • L’ancienne mine de sel d’Asse en Allemagne6 a vu ses eaux contaminées. 

En 20 ans, les exemples se multiplient démontrant que la solution d’enfouissement n’est ni sécure ni efficace. Mais surtout, elle génère des catastrophes dont nous n’avons encore vu que les prémisses.

La Suède a prononcé son opposition7 au projet d’enfouissement à 460 mètres de profondeur dans le granit par manque de sûreté et vu les risques de dysfonctionnements graves, mais aussi au vu des problèmes de méthodes et de choix du site

Le gouvernement des Pays-Bas a lui aussi décidé le 29 janvier 2018 de reporter toute décision définitive à l’an 21008.

L’ONDRAF n’a pas encore mené d’étude approfondie sur les solutions alternatives au «stockage géologique », comme exigé par l’AFCN et la population belge.

Pourtant des solutions existent. Sachant qu’ un éventuel site de stockage géologique ne sera pas pleinement opérationnel avant 2100, l’enfouissement sub-surface, est une alternative. Certes temporaire, cette méthode permet au moins de garder un œil sur le stockage et de pouvoir réagir de manière opportune lorsqu’un élément terrestre l’exigera. Il permet pour les 100 ans à venir de garder une surveillance de tous les instants sur le stockage, en attendant que la technologie puisse trouver une solution plus durable et moins sale.

  1. https://www.npr.org/sections/thetwo-way/2015/03/26/395615637/official-report-nuclear-waste-accident-caused-by-wrong-kitty-litter
  2. https://www.usinenouvelle.com/article/les-chantiers-maudits-que-faire-de-stocamine-et-ses-encombrants-dechets.N864845
  3. https://abcnews.go.com/Health/hanford-nuclear-site-incident-raises-questions-health-cancer/story?id=47327495
  4. https://www.sortirdunucleaire.org/Scandaleuse-contamination
  5. https://www.michele-rivasi.eu/politique/dechets-nucleaires-le-choix-de-lenfouissement-en-couche-geologique-profonde-nest-pas-acceptable
  6. https://lenergeek.com/2018/12/06/pays-bas-nucleaire/
Zones de stockage :

Les zones de stockage sont à l’étude. Ils concernent les sols composés de schiste (argile peu indurée).

La couche d’argile est donc, jusqu’à nouvel ordre, le lieu privilégié pour l’enfouissement des déchets B et C. Certains sites sont envisagés : Florenville, Chiny, Virton ou encore Neufchâteau, Vaux-sur-Sûre, Fauvillers, Namur, Dinant, Stavelot et Boom9.

Or, il n’a jamais été démontré quant à la stabilité et l’imperméabilité de ces sols. Il n’existe aucune étude comparative de sûreté.

9. https://www.lavenir.net/cnt/dmf20200512_01474276/des-dechets-radioactifs-stockes-par-la-belgique-au-sud-du-pays

Conclusion

Passer sous silence une consultation publique de cet ordre est une escroquerie.

Actuellement, aucune mesure sécure à hauteur de cet enjeu social, sanitaire et environnemental n’existe. L’enfouissement préconisé met en danger notre humanité pour les générations voire les civilisations à venir. L’impact direct et indirect de telles mesures non contrôlées est incommensurable.

L’énergie produite par les centrales nucléaires se veut la moins chère sur le marché.

C’est sciemment omettre le coût de la gestion de ses déchets.  Cette gestion par enfouissement engagerait la Belgique sur une durée d’au-moins 300.000 ans et coûterait au moins 10,7 milliards € ! Montant qui retombera immanquablement à court terme sur le citoyen, quelle qu’en soit la forme. Ce n’était pas à l’ordre du jour lors de la construction des centrales nucléaires.

 

Un enfouissement pleinement opérationnel ne pourra voir le jour avant le siècle prochain par manque de moyens techniques. La recherche dans ce domaine n’en est qu’à ses balbutiements.

Il n’y a donc aucune urgence. A part celle d’Engie-Electrabel… et de l’ONDRAF. Seul le lobby nucléaire peut trouver un avantage réel à faire passer un plan de cette ampleur à l’agenda politique de manière à assurer le monopole de l’énergie atomique comme seule solution au dérèglement climatique. Le Greenwashing fait partie intégrante de leur communication.

L’enfouissement n’est pas une méthode de gestion, il s’agit d’un abandon… Nous devons fermement nous y opposer quel que soit le lieu.

Enfouissement des déchets nucléaires: une enquête publique ridicule

 

A VOIR :

Un héritage empoisonné