7 Mar 2018 | Historiques de la Ville de Tubize, Master plan des Forges
Ce jeudi 22 mars à 19h30 au centre culturel de Tubize aura lieu la réunion d’information du Master Plan. Elle est accessible à tous les citoyens soucieux de prendre part aux nouveaux projets urbanistiques de la Ville de Tubize.
Mais qu’est-ce que le « Master Plan » ?
Il s’agit d’un plan d’ensemble de réhabilitation d’un site industriel, en l’occurrence les anciennes Forges de Clabecq. Ce plan a été négocié et accepté par les différents acteurs chargés de cette réhabilitation.
Historique
Les activités sidérurgiques sur ce site ont été arrêtées en 2002.
En 2006, la société Duferco – Développement en devient le propriétaire. Le groupe Duferco voulant en assurer lui-même la reconversion, a commencé à le dépolluer.
Le 8 mai 2009, le ministre Henry chargé du Développement territorial, statue sur le périmètre du site à réaménager.
Le 16 novembre 2010, une convention est passée entre la région wallonne, la commune de Tubize et Duferco Développement.

Atelier urbain
Dans cette convention, on retrouve, en autre, un arrêté qui stipule la création d’une convention entre Duferco et un bureau d’étude (JNC International s.a) pour « l’élaboration du Master Plan pour la reconversion du site des Anciennes Forges de Clabecq » mais aussi la mise en place d’un processus participatif qui, lui, est confié a l’association Tr@me S.C.R.L.
Ce processus de participation et de concertation avec les tiers concernés par le projet (propriétaires, riverains, communes, intercommunales, instances consultatives, administrations,…) est mis en œuvre sous la forme d’un « atelier Urbain » qui associe les membres participants et le bureau d’étude urbanistique dans une démarche interactive.
Le 15 février 2011, Tr@m et Duferco déposent la synthèse des éléments à prendre en compte dans la définition du MasterPlan.
Le projet de « Masterplan » est déposé le 24 mai 2011.

Ce Plan vise le réaménagement d’une friche industrielle de 80 hectares. Il prévoit la construction de 2.000 logements dont 200 individuels et la promotion de l’activité économique par l’implantation de commerces, PME, espaces de bureaux, établissements HORECA. 2 hectares pour l’implantation d’équipements communautaires tels que crèches, écoles, centres médicaux, parkings publics et 20 hectares d’espaces paysagers.
Ce Masterplan est le fruit d’une collaboration et de la réflexion d’une septantaine de personnes: experts, citoyens, comités d’accompagnement, pouvoirs locaux, Province, Région,…
Marcel Jaminon,
1 Mar 2018 | Espace citoyens, Master plan des Forges
REUNION D’INFORMATION PREALABLE DU PUBLIC
AVIS A LA POPULATION
DEMANDEUR : La société DUFERCO WALLONIE, dont le siège social est établi rue Anna Boch, 34 à 7100 La Louvière.
OBJET : L’introduction d’une demande de permis intégré avec ouverture de voiries dans le cadre du réaménagement du site de Duferco-Clabecq – Rue de la Déportation, 221 à 1480 Tubize – sur une superficie d’environ 11,5 hectares en bordure de canal principalement située sur les parcelles cadastrées Tubize, 1ère Division, section B, 126r et 88d, pour le développement d’un quartier mixte comprenant les fonctions de logements, de commerces, de loisirs, d’équipements communautaires ainsi que l’aménagement d’un boulevard urbain d’entrée de ville, de voiries internes, de larges espaces publics et des équipements accessoires.
Conformément à la législation en vigueur, ce projet doit faire l’objet d’une étude d’incidences sur l’environnement et ce, préalablement à l’introduction de la demande de permis. Dans le cadre des dispositions légales relatives à la participation du public en matière d’environnement, toute personne intéressée est invitée à participer à la réunion d’information préalable qui aura lieu :
le jeudi 22 mars 2018 à 19h30
au Centre culturel de Tubize,
Boulevard Georges Deryck, 124
à 1480 Tubize.
Cette réunion d’information a pour objet :
1) de permettre au demandeur de présenter son projet ;
2) de permettre au public de s’informer et d’émettre ses observations et suggestions concernant le projet ;
3) de mettre en évidence des points particuliers qui pourraient être abordés dans l’étude d’incidences ;
4) de présenter des alternatives techniques pouvant raisonnablement être envisagées par le demandeur afin qu’il en soit tenu compte lors de la réalisation de l’étude d’incidences. Toute personne peut, dans un délai de quinze jours à dater du jour de la tenue de la réunion précitée, émettre ses observations et suggestions destinées à la réalisation de l’étude d’incidences, en les adressant par écrit, avec ses nom et adresse, au Collège communal de Tubize (Grand Place, 1 à 1480 Tubize). Une copie de ce courrier est aussi envoyée à la société Duferco Wallonie (rue de la Déportation, 221 à 1480 Tubize).
Des informations complémentaires peuvent être obtenues auprès de François Halbardier : f.halbardier@ariesconsultants.be ou par courrier rue des Combattants, 96 à 1301 Bierges ou au 010 / 430 122
projet_de_reamenagement_du_site_des_forges_de_clabecq_-_juin_2012
Présentation du nouveau quartier des anciennes forges de Clabecq
13 Fév 2018 | Espace citoyens
Chers membres du conseil communal de Tubize,
je vous écris cette lettre pour vous remercier de cette motion signée ce lundi contre les visites domiciliaires.
Je suis travailleur social à Bruxelles, je m’occupe tous les jours de victimes de guerres, de génocides, d’attentats, de personnes ayant subies les pires barbaries que l’homme puisse faire.
Dans le cadre de mon travail, j’ai pu rencontrer des personnes qui ont été cachées pendant la guerre. Ces « enfants cachés » ont aujourd’hui en moyenne 82 ans. Pour la plupart ils étaient ‘juifs », à l’époque cette étiquette était signe de dangers. Je ne vais pas vous raconter ici toutes les souffrances que ces personnes ont dû subir. Par contre, je peux vous expliquer la peur que ces personnes m’adressent aujourd’hui en voyant toutes ces lois crées. Cela les replongent dans leur souffrance d’enfance.
Par contre, ils sont encore plus fières aujourd’hui des personnes qui les ont cachés. Toutes ces personnes qui, au péril de leur vie, ce sont dit « Non, on ne peut pas arrêter des personnes juste sur base de leur origine ». Parce que oui, à l’époque on ne connaissait pas les camps de la mort. On les cachait juste pour les empêcher de se faire arrêter. Aujourd’hui, ces mêmes personnes (parfois même les petits enfants de ces justes parmi les nations) sont de nouveaux criminalisés.
On ne peut pas comparer les époques, cela serait injuste pour toutes les victimes. A travers notre époque contemporaine, nous avons eu beaucoup de personnes qui ont souffert de ne pas être dans la bonne case ou bien qui n’avait pas le bon papier. Les juifs, les tziganes, les tutsis, les minorités de l’ex Yougoslavie,… Toutes ces personnes n’ont jamais rien demandé à part la liberté, ils n’étaient juste pas dans la bonne case.
Les visites domiciliaires sont les premiers pas vers cette souffrance de ne pas avoir le bon papier ou la bonne origine. Ne pas avoir le bon papier ou la bonne origine ne doit jamais être un crime. On peut avoir de nombreux débats démocratiques sur le sujet : Comment doit-on les accueillir ? Qui peut-on garder ? Qui peut-on accueillir ? Mais jamais au grand jamais, nous ne pouvons criminaliser une origine car c’est le début des pires cauchemars de notre époque.
Je voulais aussi féliciter les libéraux de Tubize qui ont réussi à dépasser la vision électoraliste ou de leur partie et qui ont réussi à revenir à la philosophie libérale comme elle devrait être. Avec, un petit bémol, je ne comprends l’abstention de celle qui aurait été le plus à même de comprendre cette motion. Elle fût quelques années échevin des affaires patriotiques. Elle a été, à de nombreuses reprises, en contact direct avec nos anciens combattants qui se sont battus pour notre liberté. Elle s’est recueillie de nombreuses fois sur les tombes des soldats tombés pour notre liberté. Avoir été si proche d’eux et préférée une position d’ambition personnelle, est pour moi une incompréhension.
Malgré ce bémol, vous avez été tous dignes de notre confiance, vous avez réussi à dépasser les clivages.
Je tenais à vous féliciter.
Un citoyen tubizien, fier de vivre dans une ville qui est rentrée en résistance.
29 Jan 2018 | Environnement, La locale Ecolo Tubize
Nous nous trouvons devant le dilemme de décider pour au minimum les 60 ans à venir pour une nouvelle ligne HT aérienne et d’une nouvelle ligne HT souterraine. C’est-à-dire de conserver pendant les 60 ans à venir une présence visible et impactante pour les riverains d’une ligne aérienne ou de choisir une ligne souterraine qui laisse en phase d’exploitation un environnement intact et plus sain.
Les délégués à la Région Wallonne ont décidé d’octroyer le permis pour une ligne aérienne sur base d’une étude d’Elia. Depuis le début, les communes (Tubize, Ittre, Nivelles, Seneffe et Courcelles) impactées via la voix de ces conseillers ou échevins Ecolo contestent cette étude.
L’Etude d’incidence environnementale met en évidence de nombreuses « nuisances » du projet aérien.
- Ecart par rapport aux recommandations du Schéma de développement du territoire : En voulant remplacer la ligne à haute tension (2×150 kV) en lieu et place (et donc en conservant notamment le surplomb de zone d’habitat), le projet ne s’inscrit pas entièrement dans la philosophie du SDT
- Nuisance visuelle et paysage :L’implantation d’une ligne électrique et plus particulièrement de pylônes à proximité d’habitations peut engendrer pour les riverains proches un inconfort visuel lié au sentiment de dominance de la ligne et de ses pylônes. La ligne électrique traverse majoritairement des zones non-urbanisables au plan de secteur (21,7 km) contre 1,5 km en zones urbanisables. Cependant, la présence paysagère de la ligne est d’autant plus marquée qu’elle est proche de lieux de vie. Plusieurs zones d’habitat et habitations en zones non-urbanisables sont surplombées par la ligne électrique. Les incidences paysagères de la ligne électrique depuis les habitations découlent plus souvent de la proximité des pylônes qui peuvent engendrer un inconfort visuel résultant du fait que l’observateur doit lever ses yeux pour percevoir le pylône dans son entièreté. Plusieurs situations d’inconfort visuel ont été identifiées,celles-ci sont généralement localisées à moins de 100 m de la ligne et des pylônes. La pose d’une liaison électrique souterraine, principalement en voirie (ou assimilé), marque un avantage notable par rapport au projet de renouvellement de la ligne aérienne. Par ailleurs, le démontage de la ligne électrique existante apporterait une amélioration significative de la qualité paysagère de l’environnement dans lequel elle prend place.marque un avantage notable par rapport au projet de renouvellement de la ligne aérienne
- Nuisance sonore : Ce bruit est généré par le vent au contact des différents composants des champs électriques et magnétiques. Le bruit pourrait donc être perceptible pour quelques habitations situées dans des espaces dégagés et à proximité de la ligne.
- L’effet couronne: Le champ électrique présent à la surface des conducteurs génère dans l’air ambiant des micro-décharges électriques. Concrètement, chacune d’entre elles produit un petit claquement comparable à celui des décharges électrostatiques. Dans le cas des lignes à très haute tension, comme le champ électrique varie à la fréquence de 50 Hz, il peut se produire un tel claquement 100 fois par seconde (puisque le champ passe 2 fois par un maxima pour chaque oscillation). C’est leur grand nombre sur toute la longueur des câbles et leur répétition dans le temps qui explique le grésillement/crépitement caractéristique. Dans le cas présent, la ligne étant prévue en 150kV, il est donc très peu probable que l’effet couronne apparaisse. Notons cependant que le grésillement est perceptible pour la ligne actuelle dans certaines conditions atmosphériques.
- Champs magnétique : Dans le cas présent, dans la mesure où la ligne à haute tension surplombe et passe à côté de zones habitées, il est recommandé d’opter pour une ligne transposée. Pour une ligne souterraine le champ magnétique décroît très rapidement. Ainsi à 10 mètres de distance de l’axe du câble souterrain,le champ est déjà insignifiant. Alors qu’il faut une trentaine de mètre de part et d’autre de la ligne aérienne pour obtenir des valeurs insignifiantes.
- Champs électrique : En ce qui concerne les champs électriques, l’alternative n’aura aucune incidence. En effet, dans le cas d’une liaison souterraine, l’entièreté du champ électrique est contenu à l’intérieur des câbles par la gaine métallique qui entoure les conducteurs. Sur ce point, l’alternative marque donc un avantage notable.
- Contexte climatologique et météorologique: L’EIE mentionne le contexte climatologique et météorologique général sur la ligne aérienne mais ne mentionne pas les cas exceptionnels de vents tempétueux comme cela s’est produit sur cette ligne en 2016 (6 pylônes endommagés et ligne coupée)
- Incidences sur les activités agricoles et forestières : La présence d’une ligne aérienne induira en phase d’exploitation une difficulté d’utilisation des nouvelles technologies pour les agriculteurs (GPS, drones…) à cause des perturbations de signaux et la limitation d’utilisation de drones aux abords de la ligne aérienne. La réalisation de la ligne souterraine nécessitera l’abattage d’arbres sur le trajet retenu. Notons que les arbres présents le long des berges et chemins de halage du Canal ne sont pas de très grands intérêts botaniques et peuvent être compensés par la plantation de haies le long du trajet. La ligne aérienne a nécessité lors de son installation la réalisation de coupe des arbres dans les bois et forêts survolés par la ligne et donc aussi le maintien de ces « trouées forestières ».
- La durée du chantier de mise en œuvre pour la ligne aérienne est de 3ans par période de 8 mois. La période de chantier pour la ligne souterraine est limitée à 4 à 6 semaines par tronçon de 1km. Des chantiers parallèles peuvent être menés à différents endroits pour réduire le temps global du chantier.
Au vu des éléments étudiés dans cette étude, il apparaît clairement que le projet souterrain présente une évolution environnementale non négligeable par rapport à l’aérien en oubliant pas que l’exploitation de la ligne HT est prévue pour 60 ans. C’est pour cela que les communes ont décidé d’introduire un recours auprès du ministre.

25 Jan 2018 | Contournement de Tubize
Ce mardi était présenté aux tubiziens l’avant projet de contournement nord. Cette présentation se faisait dans le cadre de l’étude d’incidence. C’est à dire que la présentation était un avant projet et qu’il pourrait être modifié en fonction des remarques de la population. Voici les éléments essentiels de cette soirée très intéressante déjà par la présence de 400 citoyens, une présentation claire et un échange avec la salle très bien mené.
Le projet
Il s’agit d’une route à deux bandes, une dans chaque sens (3.5M de large) qui part du pont de Clabecq, rive droite, qui passe à l’Est du Vraimont (centre de traitement des boues du canal), qui traverse ensuite en trois ouvrages d’art différent : le canal, la senne et la ligne de chemin de fer, qui arrive au rond-point à la N6 en dessous du TGV avec un rond point dédoublé), qui passe à gauche du complexe de l’Union belge pour aboutir à un rond point à construire pour le zoning Saintes2.
A l’entrée, au pont de Clabecq, un double feu rouge « synchronisé » ( et pas de rond point !) afin de favoriser le fait d’utiliser le contournement et de ne pas traverser Tubize.
Le but, désengorger le centre de Tubize au niveau de la circulation routière, il est vrai très dense à certains moments. Cette route enlèverait 30% de véhicules rue de Clabecq, 10% Chée de Mons et 25% chée d’Hondzocht.
Un budget de 11M prévu par le SPW. Longueur de 3.9km. Vitesse de circulation prévue : entre 50 et 90 selon l’endroit.
Nous nous trouvons dans le cadre de la séance d’information à l’étude d’incidence. Les habitants peuvent exprimer leurs attentes et avis dans les 15 jours en envoyant leurs remarques au Collège Communal de Tubize, grand place 1 à 1480 Tubize.
La réalisation démarrera au plus tôt en 2019, avec un chantier de 2 ans.

Les remarques exprimées par la population :
- Pourquoi ne pas passer par la rive gauche à travers la zone industrielle ? Réponse du SPW : trop compliqué techniquement.
- Pourquoi ne pas être novateur : au niveau de l’éclairage et en permettant la production d’énergie à partir de la circulation des véhicules sur la bande de circulation. (CO2, climat) Réponse du SPW : Les techniques ne sont pas encore assez mûr et trop coûteux. Il n’y a pas d’éclairage prévu.
- Pourquoi ne pas longer plus le canal et ainsi éviter de couper des champs ? Réponse du SPW : On ne peut pas couper le Centre du Vraimont et il y a des normes pour les courbures de route pour arriver tout droit pour traverser le canal.
- Pourquoi ne pas élargir le chemin de remembrement qui part du TGV et qui abouti près du site « de la briqueterie». Réponse du SPW : Nous nous trouvons là en Flandre , il n’y a pas d’accord politique !
- Les agriculteurs n’ont pas été concertés, ni associés !!!! Ils ont retrouvé des géomètres dans leur champ sans avertissement.
- Pourquoi ne pas favoriser l’intégration de la route dans la Zone d’enfouissement du Vraimont. Réponse du SPW : Le site est toujours actif et ont un permis d’exploitation.
- Mesures concernant les risques d’inondations :Une ZIT sera installée à l’est du Vraimont et deux bassins « d’orages » sont également prévus sur le circuit. (SOS Inondations Tubize semblait satisfait).
- Les Cyclistes : semblaient globalement satisfaits en faisant remarquer le blocage temporaire actuel du RAVEL côté Vraimont.
- Préoccupation de « l’habillage » en terme d’arbres plantations.
- Préoccupations en terme d’écrans antibruit.
- Le lien entre la zone Sofinpro et le contournement, entre la ville et le canal ??? Réponse : pas encore prêt.
Et le contournement sud ??? Plusieurs réactions : Michel Januth (bourgmestre de Tubize) : le contournement Nord est une est une première étape, Mr Jadot (SPW) : le plan n’est pas enterré, n’est pas à l’ordre du jour, pas de budget prévu, nous faisons nos rapports,..Dimitri Legasse (bourgmestre de Rebecq) : pas de subsides européen, pas à l’ordre du jour. Une partie de contournement « sud » serait envisagé entre l’A8 et la N6 au niveau de Quenast
- Les futurs développements de Tubize (site des Forges) et son accroissement de maisons, d’habitants, de voitures, est il intégré ? Réponse : oui, le Master Plan est d’ailleurs mis en suspend en attendant ce contournement nord (Michel Januth)
Voici une partie des questions qui ont été posé. Nous invitons chaque citoyen à faire parvenir leur remarque au collège communal.
Les éléments à creuser pour Ecolo :
- Le peu de considération des agriculteurs dans le traitement du dossier : pas de contacts préalables, pas prévenus de la visite des géomètres,…
- La question de la traversée du Vraimont : annoncée comme impossible, qu’en est-il vraiment, utilisation réelle?, besoins futurs? On sentait bien que le SPW n’avait pas creusé le sujet bien loin.
- La question du double feu rouge à Clabecq : Pas certains de l’efficacité du système.
- Le blocage avec la Flandre : les Bourgmestres de l’ouest pourrait prendre l’initiative de rencontrer les bourgmestres flamands dans le cadre du KunstenBo(i)s des arts et vérifier la faisabilité de l’adaptation du Chemin de remembrement.
- Quid aussi des feux de Halle et du risque de détournement du trafic ?
http://www.tvcom.be/video/info/mobilitye-/voici-l-avant-projet-de-contournement-nord-de-tubize_21266_89.html