Dossier presse: « Présentation des candidats pour les prochaines élections »

Dossier presse: « Présentation des candidats pour les prochaines élections »

Ecolo Tubize présente ce mercredi 30 mai 2018 celles et ceux qui mèneront les projets écologiques à Tubize . Des hommes et des femmes prêt.e.s à travailler pour les habitants de Tubize,  pour assurer un cadre de vie de qualité, soutenir les initiatives citoyennes dans le respect de la bonne gouvernance et de l’intérêt général. En travaillant de façon collective, avec les citoyens, nous voulons mettre Tubize sur la voie du progrès, de l’écologie, de la transparence et de l’implication des citoyens. 

Ecolo Tubize souhaite un programme axé sur l’avenir.  Nous pensons que Tubize est à un tournant de son avenir et que ces 6 prochaines années seront déterminantes pour plusieurs décennies.  Tubize a mis du temps pour se relever de son passé industriel.  Aujourd’hui plusieurs projets vont faire revivre la ville, mais pour cela il faut qu’ils soient bien menés.   

Nous ne voulons pas que ces projets touchent à l’âme de Tubize et à celle de ses villages.  Nous voulons que ces projets forgent l’avenir de Tubize en continuité avec son histoire.  Pour cela, il ne faut pas perdre son identité.  Tubize doit garder son âme de village où chacun trouve sa place et puisse s’épanouir dans un environnement sain et en toute sécurité.  

Néanmoins, Tubize est devenu une ville. Nous avons soutenu ce passage car les besoins des Tubiziens correspondent plus aux équipements d’une ville (hôpital, clubs sportifs, activités culturelles, activités scolaires et extra scolaires,…), mais on peut répondre à ces besoins tout en gardant un cadre rural ou semi rural.    

Il est important de garder un lieu de vie où on se sente bien tout en bénéficiant des services d’une ville.  Cela passe aussi par la qualité et la préservation du lien social.  Il s’agit de préserver et de soutenir les relations entre les habitants de la Ville.  

Dans un village, les solidarités entre les personnes sont vivantes.  On se soucie de son voisin, on surveille les enfants des autres, on aide les aînés quand ils commencent à avoir des difficultés.  Tout cela peut paraître naturel, mais il faut l’entretenir et l’encourager car d’autres villes ont perdu cet esprit solidaire. Quand on naît ou que l’on vient habiter à Tubize, l’ambition des politiques doit être que chaque citoyen souhaite continuer à y vivre.  Pour que ces citoyens se sentent bien, la Ville va devoir offrir des services divers.  Notre objectif devrait être que chaque Tubizien puisse y trouver ce dont il a besoin et ne jamais quitter sa ville.  Cela commence au plus jeune âge par un accueil suffisant et de qualité des tout-petits.  Ensuite il faut pouvoir choisir son école.  Pendant les temps hors cadres scolaires, les enfants, les jeunes doivent avoir accès à des activités variées.  Les adultes doivent pouvoir trouver un travail à proximité de chez soi, quel que soit leur niveau d’étude.  Il faut pouvoir avoir accès à un logement de qualité sans se ruiner. Engager des indépendants locaux quand des travaux doivent être réalisés.  Il faut avoir accès à des commerces sans avoir à se déplacer et avoir des activités socioculturelles et sportives multiples et accessibles. Il est également important que les services de santé soient accessibles à tous les âges et à toutes les bourses.  Ceci est peut-être une utopie, mais cela doit être notre objectif . 

Nos candidats proviennent d’horizons différents. Ces hommes et ces femmes, connus ou moins connus, jeunes et moins jeunes (ou jeunes depuis plus longtemps) ont comme dénominateur commun une même énergie pour construire et porter un projet durable d’avenir pour Tubize. Ce mercredi, nous sommes fiers de vous les présenter. 

Ils se nomment Sabine (échevine et enseignante), Lise (psychothérapeute au Service de Santé mentale provincial de Tubize), Sophie (psychologue),  Louise (étudiante), Manon (étudiante),  Jacqueline (retraitée active), Sandra (employée), Youri (psychologue et conseiller communal), Michel (infirmier et conseiller CPAS), Jules (éducateur spécialisé), Laurent (assistant social), Thomas (étudiant), Jacques (ingénieur à la retraite) mais aussi Patricia, Dimitri, Gilbert, Irena, Janaina, Carlos, Christiane, Francis, Mauro, Michael,… 

Un groupe de femmes et d’hommes motivés et animés par la même énergie 

Nous porterons une liste avec le nom Ecolo et nous en sommes fiers!  Nous faisons de la politique avec les citoyens depuis nos débuts. La participation de la population n’est pas pour nous une formule rhétorique.  

5 propositions pour mille idées c’est… 

Depuis le mois de novembre, nous sommes allées à la rencontre des Tubiziens.  Nous avons discuté avec eux de leurs envies, de leurs rêves.  Nous en avons tiré 5 priorités : l’économie locale, la préservation des villages, plus de participation citoyenne, bouger plus en sécurité et continuer le travail que nous avons entamé.  Au vu de ces priorités, nous avons déjà fait des propositions concrètes qui peuvent se mettre en place en 6 ans.  Ces propositions nous continuerons à les faire.  Car nous pensons que les citoyens attendent des projets concrets et non des paroles ronflantes. 

Proposition 1 : consommons local 
  • créer une monnaie locale 
  • promouvoir nos artisans locaux lors chaque manifestation organisée par la Ville 
Proposition 2 : préservons les âmes de nos villages 
  • ouvrir sur chaque entité une maison de village.  Lieu de rassemblement citoyen intergénérationnel, possibilité pour les associations de se réunir,…. 
 Proposition 3 : permettons à chacun d’être acteur dans sa ville
  • ouvrir un guichet citoyen.  Le guichet citoyen permettrait au citoyen de mettre des projets en place (permis de végétaliser, budget participatif, transparence des document conseil communal,)Le politique doit être un relais, une aide pour tout citoyen qui veut développer un projet. 
Proposition 4 : bougeons-nous-en toute sécurité/

Créer des axes de mobilité douce 

  • Créer un axe piéton de Brenta vers côté Senne et les axes des commerces 
  • Intérêt plus de passage, développement du commerce et plus de sécurité 
  • Pistes cyclable 
  • Remise en ordre de tous les sentiers, mobilité douce des villages vers le centre et inversement 
 Proposition 5 : le vert vous va si bien  
  • continuer et améliorer nos projets et actions 

Ecolo dans la majorité tubizienne c’est….

Ecolo Tubize est entré en majorité pour la première fois à Tubize. Notre locale a pris progressivement toute sa place dans cette majorité.  La locale Ecolo avait invité les partis actifs à un « colloque » qui a réunis les partis qui deviendront la majorité actuelle. L’objectif était de débattre d’une méthodologie ayant pour but de réduire les tensions politiques qui existaient par le passé. Un des points de réussite est l’activation de commissions actives du conseil communal pour permettre à l’opposition de participer à l’élaboration des enjeux importants.  De fait, le climat politique s’est largement apaisé, l’opposition remplissant sa mission de contrôle de l’exécutif. 

Durant cette législature, la Ville de Tubize s’est déclarée ville hors TTIP/CETA. Si cette déclaration est surtout symbolique, elle marque l’envie de Tubize de s’engager sur la voie environnementale.  En effet, si la lutte contre les inondations était un objectif principal, elle ne peut être dissociée d’actions et de projets environnementaux. 

Voici les actions et projets qui ont été menés durant cette législature. https://tubize.ecolo.be/bilan-de-sabine-desmedt-echevine-de-lenvironnement-developpement-durable-aines-bien-etre-animal-famille-agriculture-sante/

https://www.tvcom.be/video/info/vendredi-1er-juin-2018_22138_214.html

http://brabant-wallon.lacapitale.be/238201/article/2018-06-01/tubize-ecolo-veut-garder-son-identite

 

Dossier presse: « Présentation des candidats pour les prochaines élections »

Revue de presse « Présentation des candidat e s pour les prochaines élections »

http://brabant-wallon.lacapitale.be/238201/article/2018-06-01/tubize-ecolo-veut-garder-son-identite

https://www.tvcom.be/video/info/vendredi-1er-juin-2018_22138_214.html

http://www.dhnet.be/regions/brabant/tubize-ecolo-met-au-point-un-programme-axe-vers-l-avenir-5b140eef5532160896005a1a

https://www.lavenir.net/cnt/dmf20180604_01179892/ecolo-en-ordre-de-marche

Nous vous parlions dans notre édition de ce jeudi, la section Écolo de Tubize a officiellement lancé sa liste pour les élections
communales. Une campagne qui se base sur quelques points importants qui ont tous en commun les services aux personnes
et la proximité. Le tout avec de réelles ambitions.

Dans la majorité depuis 2012, Écolo était vu au départ comme le Petit Poucet du Collège, avec pour seule échevine Sabine Desmedt. Une élue qui a su tirer son épingle du jeu pour porter différents projets et qui a su profiter de la cohésion des trois partis au pouvoir. Elle sera d’ailleurs tête de liste Écolo en octobre prochain. Fort d’une première expérience au pouvoir, Écolo veut désormais s’imposer dans la durée, tout en gardant son identité. « Nous n’avons pas peur de nous présenter sous notre vrai noms, contrairement à d’autres partis , sourit Michael Savoldi, co-président de la section. Nous travaillons depuis longtemps dans l’intérêt du citoyen et nous continuons sur cette voie avec une campagne axée sur cinq propositions . »

1. La consommation locale et la création d’une monnaie locale
Le parti mettra évidemment en avant sa nature écologiste en misant sur des projets de consommation de produits locaux et
plus largement sur le soutien aux petits commerçants. Dans cet ordre d’idée, le projet de création d’une monnaie locale, à
l’instar de Genappe ou Ottignies-Louvain-la-Neuve, par exemple, est sur les rails. « Le projet n’est pas neuf mais présente une
réelle alternative , explique Laurent Heyvaert, qui sera quatrième sur la liste. C’est aussi une initiative qui permet de rassembler le politique et les citoyens . »

2. Préserver les âmes des villages de Tubize
Tubize est devenue une Ville il y a un an, mais ce n’est pas pour autant que les Verts veulent oublier les plus petites entités
que sont Saintes, Clabecq et Oisquercq. L’idée serait par exemple d’ouvrir une maison de village dans chaque entité qui
pourrait servir de lieu de rassemblement pour des associations mais aussi servir de relais avec les autorités communales.

3. Rendre le citoyen acteur de sa ville
C’est un élément qu’on retrouve dans tous les programmes pour ces élections communales. La confiance étant rompue avec
une partie de la population, des idées existent pour renouer le contact. Parmi les propositions du groupe Écolo, on retrouve
l’installation de guichets citoyens dans chaque village de Tubize, et la création d’un budget participatif avec l’ambition de
développer et d’encourager de vrais projets citoyens. « Le politique doit être un relais, une aide pour tout citoyen qui veut
développer un projet. » Le futur des sites industriels et bien entendu celui des Forges de Clabecq sera aussi un point sur lequel Sabine Desmedt et son équipe seront attentives. « On veut préserver le commerce local et surtout voir un projet durable s’établir sur le site. Les plans présentés sont séduisants, mais il faut que cela se confirme dans les mois et années à venir . »

4. Des projets en toute sécurité
On parle souvent de sécurité à Tubize, notamment sur le plateau de la gare, mais Écolo pense aussi aux usagers faibles. Des
projets existent pour densifier le réseau cyclable, mais aussi des liens piétons pour connecter les différents villages au centre
de Tubize.

5. Un bilan positif des six années dans la majorité
Les nombreux projets présentés et imaginés pour le futur ne font pas oublier ce qui a déjà été fait depuis 2012. La majorité a
en effet planché sur de nombreux dossiers. « J’avais un panel de compétences assez large, avec l’Environnement, le
Développement Durable, les Aînés, le Bien-Être Animal, la Culture, Énergie et le Patrimoine , rappelle Sabine Desmedt. Les
choses prennent parfois du temps à se mettre en place et c’est ce qui est le plus frustrant. Ce dont je suis très contente, c’est
que nous avons réussi à travailler en équipe après toutes les guéguerres du passé . »

Thibaut Van Hoof

Rendre hommage aux anciens travailleurs des forges de Clabecq

Rendre hommage aux anciens travailleurs des forges de Clabecq

La reconversion des forges avance, il faudra bientôt choisir le nom des nouvelles voiries qui seront sur le site.  Ecolo Tubize propose que le nom de ces rues portent le nom des anciens travailleurs des forges pour leur rendre hommage.  Nous demandons aussi au gouvernement fédéral d’indemniser les travailleurs avant la pose des premières pierres pour que Tubize puisse regarder l’avenir, mais en pensant à ces travailleurs qui ont fait la richesse de Tubize.

Les 87 hectares des Forges de Clabecq sont en pleine reconversion : démolition des bâtiments, assainissement des sols et permis d’urbanisme. C’est un enjeu capital pour la reconversion de la région.  Le 22 mars dernier, Duferco propriétaire des terrains présentaient la deuxième phase du projet (logement, centre commercial outlet, loisirs,….).  D’ailleurs une exposition se déroulera à partir du 7 avril et jusqu’au 23 avril au centre culturel pour présenter le projet.

exposition au centre culturel

Mais cette vision d’avenir ne doit pas nous faire oublier le passé du site.

On trouve les premières traces des forges à Clabecq en 1752.  Il s’agit véritablement de la première forge de Clabecq. À l’origine, elle se développe à partir d’un moulin à battre le fer, construit à côté même d’un moulin à farine.

En 1828, au bord de la faillite, Edouard Goffin (1796-1858) reprit la société, et sauva l’usine et l’orienta vers la transformation de produits de haut fourneau et l’utilisation de la mitraille. En 1832, c’est-à-dire 20 ans plus tard, le canal est créé, ce qui modifie considérablement le paysage économique et social de la région. Le véritable fondateur des « Forges de Clabecq, dont la statue est érigée sur la place du village, est Josse-Philippe-Edouard Goffin (1830-1887), qui développa l’entreprise.

Mais la vraie croissance des Forges arrive en 1850 et de là, on peut véritablement la considérer comme une usine. Son frère Charles-Henri Goffin (1827-1861) l’aida dans sa tâche et installa un laminoir et un raccordement au chemin de fer.

Ce qui a favorisé le développement à cet endroit est donc le canal Bruxelles-Charleroi, la présence d’un début de forge mais aussi la présence de la chaussée allant de Mons à Paris. La présence du chemin de fer a aussi favorisé l’agrandissement des Forges. Malgré l’absence de matière première sur place, elle peut arriver grâce aux moyens de communication et tout de suite repartir pour le reste de la Belgique, vers la France, et vers le monde grâce à Anvers qui est un des plus grands ports mondiaux.

Le complexe sidérurgique, qui comprend des hauts-fourneaux, des laminoirs, une coulée continue, une fonderie et une aciérie électrique, a compté jusqu’à 5324 travailleurs en 1975. Mais la faillite qui suivit fut inévitable.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Forges_de_Clabecq#Historique_des_Forges_de_Clabecq

Rendre hommage à tous les travailleurs

Dans les encyclopédies, nous parlons toujours des patrons qui ont investi souvent beaucoup d’argent dans ces grandes usines.  D’ailleurs, ils obtiennent même les hommages en ayant des noms de rue ou des statues comme la famille Goffin. Comme ils ont déjà des noms de rue.  Nous proposons que les futurs rues du site des forges soient réservées aux anciens travailleurs pour qu’eux aussi restent dans nos mémoires.  Ils nous semblent important de les mettre à l’honneur.

Voici les recommandations du service toponymie pour les noms de rue:

S’il s’agit de personnes décédées depuis plus de cinquante ans, il n’y a normalement aucune objection à formuler.
On n’accepte pas les noms de personnes vivantes, sauf ceux des chefs d’État. Notons que pour les personnes de la famille royale, l’autorisation doit être demandée au Roi par l’intermédiaire du ministre de l’Intérieur.
Quand il s’agit de personnes décédées depuis moins de cinquante ans, il faut s’assurer que leur nom mérite effectivement d’être rappelé, dans cinquante ans et davantage, au souvenir des générations futures, parce que l’œuvre de ces personnes ou leur rôle ont été particulièrement remarquables.

Fermeture partielle des guichets de la gare de Tubize

Fermeture partielle des guichets de la gare de Tubize

Nouveau coup dur pour la gare de Tubize.  L’annonce de la fermeture partielle des guichets de la gare.  La SNCB annonce que les guichets seront ouverts en semaine uniquement en matinée.

C’est de nouveau une attaque de la vision libérale sur les services aux citoyens.  La SNCB justifie ces fermetures par un changement d’habitude des navetteurs qui achètent de plus en plus de tickets via les automates.  Autant dire que ce changement est forcé par la SNCB.

Le ministre Bellot en février avait répondu à une question parlementaire de Marcel Cheron sur l’inquiétude de fermeture des guichets de la gare de Tubize.  Il avait assuré que les changements seront analysés sur les ventes de billets annuels et que les autorités communales seraient tenus informées de ces changements. https://tubize.ecolo.be/interpellation-complete-du-ministre-bellot/

Qui a été tenu au courant de ces changements ? Qui a les chiffres de vente de billets pour cette année ? Qui est venu interroger les personnes sur le terrain pour voir les meilleures solutions ? Qui se préoccupe de la sécurité ?

Nous savons qu’elle sera la prochaine étape, la fermeture complet des guichets en 2020 et ensuite la fermeture des salles suite à des problèmes de sécurité.

Ce que nous demandons c’est une vision à long terme et tenant compte d’autres paramètres que celui des ventes.

Par exemple, au Pays Bas il est donné aux usagers la possibilité de contacter gratuitement un call center qui peut s’occuper à distance de l’achat sur les automates.  Cela permet aux personnes en difficulté devant des machines de parler à un humain.  Ça permet aussi aux touristes perdus de pouvoir comprendre le fonctionnement.

Nous demandons une réflexion sur les alternatives à la fermeture des guichets.  Nous savons que moins de présence humaine entraînera plus d’insécurité.  Si les services guichets et renseignements des voyageurs ne sont pas des activités rentables pour la SNCB.  Les espaces laissés doivent pouvoir être repris par des commerçants à moindre prix.  Il est primordial d’avoir des gares vivantes pour plus de sécurité.  Et quel indépendant ne serait content d’avoir 3000 clients potentiels chaque jour.

Nous regrettons la gestion libérale et archaïque de la SNCB.  Où la seule vision est la diminution du coût.  Si les entreprises devaient gérer leur business comme cela, ça ferait longtemps qu’il n’y aurait plus aucune entreprise.  3000 voyageurs tous les jours plus d’autres qui pourraient se rajouter, il n’y a que les libéraux pour ne pas voir le potentiel d’investissement.

http://www.lavenir.net/cnt/dmf20170901_01048536/les-heures-d-ouverture-des-guichets-reduites-dans-33-gares

http://www.sudinfo.be/1924930/article/2017-09-01/la-sncb-reduit-les-heures-d-ouverture-des-guichets-dans-33-gares

 

Papeterie de Virginal : Y a t-il un pilote dans l’avion ?

Papeterie de Virginal : Y a t-il un pilote dans l’avion ?

Désintérêt de la région wallonne…


Les discussions au conseil communal du 8 août, à Ittre ont largement porté sur l’impact négatif de la faillite d’Idempapers au niveau des finances communales, obligeant la majorité en place à réaliser une série d’économies pour compenser la perte de 1.2millions d’€ engendrée par cette faillite.

La discussion à huis-clos,( au fait pourquoi pas en séance publique ?) , et les informations qui circulent  permettent à ECOLO Ittre de faire les constats suivants :

La Région wallonne semble se désintéresser totalement du sort de l’usine et de ses travailleurs. En effet après les interpellations au parlement wallon du 2 juin, notamment par la député ECOLO Hélène Ryckmans, le ministre wallon  de l’économie avait annoncé un contact rapide avec la curatelle afin de favoriser une reprise des activités.
Nous venons d’apprendre que le premier contact entre la SOGEPA ( le relais industriel de la RW) et la curatelle s’est déroulé ce mercredi 9/8, plus de 2 mois après la faillite !
La région wallonne semble plus tabler sur un assainissement du site en vue d’y installer de nouvelles entreprises, plutôt que de rechercher une solution pour le tissu industriel papetier en place !

Le Collège communal quant à lui, semble se contenter d’ « écrire » une lettre par ci par là et se limiter à  un rôle d’observateur, plutôt que de mettre sur pied une véritable cellule de travail . Il manque un pilote dans l’avion, puisque ni la curatelle, ni la région wallonne ne semblent  chercher un repreneur !

La piste des cadres de l’entreprise  appelée “machine 4 “ semble se dissiper.

 Espoir suédois ?

Réel espoir un papetier suédois qui pourrait compter sur l’un ou l’autre investisseur. Des pistes de plan industriel existent. Les choix entre machine 3 et/ou machine 4 doivent être tranchés.

ECOLO Ittre soutien le travail mené par le seul cadre « rescapé », à notre connaissance, Jean Bernard, qui avait par ailleurs démontré la capacité de production « rentable » durant les derniers mois d’existence de Idempapers et qui avec quelques anciens collègues planche sur le sujet.


Ecolo ittre dénonce la passivité à la fois de la région wallonne et du collège communal et réclame le « pilote dans l’avion ».


A cet effet, Ecolo Ittre estime qu’il est nécessaire de réunir une cellule d’appui comprenant des gestionnaires industriels, des gestionnaires de relance d’entreprise. Nous suggérons un appel aux citoyens Ittrois qui ont des compétences dans ces domaines et même plus largement aux habitants de la région.


La papeterie de Virginal et ses travailleurs méritent un « demain ».

Pour Ecolo Ittre
Luc Schoukens
Paul Perniaux.

http://m.lavenir.net/login-premium?goto=/cnt/dmf20170824_01044856/idempapers-ecolo-pointe-le-desinteret-de-la-region-wallonne&articleid=dmf20170824_01044856

Ecolo Tubize souhaite répondre à l’appel d’Hassan Idrissi.

Ecolo Tubize souhaite répondre à l’appel d’Hassan Idrissi.

Hassan Idrissi a souhaité mettre la problématique de la consommation de drogues chez les jeunes en avant http://brabant-wallon.lacapitale.be/95115/article/2017-06-21/de-plus-en-plus-de-jeunes-tubiziens-consomment-de-la-cocaine

Il souhaite interpeller le conseil de police ainsi que le conseil communal sur le sujet.

Voici la réponse de Youri Caels conseiller communal Ecolo: « Le conseil de police ayant eu lieu le 20 juin, je m’étonne de ne pas avoir entendu cette interpellation annoncée avec force et fracas dans la presse. Dommage, car le sujet mériterait un vrai débat et pas seulement quelques effets de manche. Pour info, il existe 2 centres spécialisés en assuétudes en BW. Patchwork pour l’alcool à Ottignies et le ressort à Tubize pour les assuétudes. Le Ressort est sous statut communal. je le dis car c’est donc la seule ville du BW qui finance en partie ce service aux bénéfices des personnes en difficultés avec certains produits illicites. Delphine Tancrez, qui coordonne ce service ne compte d’ailleurs pas ses heures pour œuvrer au mieux et trouver des réponses idoines aux fragilités que ce genre de dépendance génère.
Par ailleurs, Modus vivendi a développé depuis de longue date, différents projets permettant d’aborder la question des drogues en milieu festif.  Que je sache, aucun des événements organisés dans l’ouest du BW n’a fait appel à eux pour mettre en place une action permettant d’apporter une réponse, même minimale au problème énoncé par Hassan. D’ailleurs est-ce que « Event for all » ou « sky event » ou le « concerto à 5€ » ou le « Webi » ont pris contact avec le Ressort et ou modus Vivendi sur le sujet ? J’aime beaucoup Hassan, mais je trouve ce type d’annonce particulièrement déplacé et irrespectueuse pour les nombreuses personnes qui travaillent dans le domaine et qui œuvrent concrètement à améliorer les choses. Hassan, je t’invite donc à concrètement réunir la commission jeunesse que tu présides pour aborder le sujet (elle ne s’est pour l’instant réunie qu’une fois en 4 ans et demi) et mettre en place un projet qui semble te tenir à cœur. Tu pourras compter sur moi, s’il y a du solide derrière ».
Nous pensons qu’Hassan a toutes les cartes en main pour faire bouger les choses. Nous lui demandons de convoquer la commission jeunesse, d’inviter les acteurs de terrain, les jeunes, les parents, les autorités,… De rendre les débats ouverts au public et ensemble trouvons des idées pour une autre politique, pour sauver les jeunes. Prouvons qu’il est possible de faire de la politique autrement sans effet d’annonce.