29 Juin 2017 | Actualités, Hôpital de Tubize, La locale Ecolo Tubize
Ce jour, Sabine Desmedt échevinne Ecolo est passée devant la Commission. Elle était accompagnée de deux avocates pour défendre l’intérêt des tubiziens. Sabine aurait pu laisser les avocates gérées le dossier, mais elle a souhaité être présente pour défendre l’intérêt des tubiziens.
Sabine Desmedt: “Nous sommes restées 1h30 devant la commission des recours. Nos 2 avocates ont présenté leur mémoire. Ensuite c’était au tour de l’AVIQ. Entre temps, je pouvais parler à nos avocates. L’objectif était de leur donner des arguments du terrain. Par exemple, lorsqu’un citoyen nous a expliqué qu’il avait eu des problèmes de procédure lorsqu’il a du être transporter par le Smur.”
Les arguments défendus étaient que cette décision du ministre Maxime Prévôt (CDH) mettait en danger les citoyens. Que toutes personnes avaient le droit à être prises en charge en moins d’un quart d’heure en cas d’urgence. Que sur le territoire du brabant Wallon Ouest, nous avons des usines à risque, des autoroutes, une prison et de nombreux habitants. Que le Smur et les lits d’hospitalisation étaient indispensables à Tubize.
Sabine Desmedt: “Nous devons attendre maintenant leur réponse. Notre avocate me dit que le risque est que nous, ville, ne sommes pas les destinataires de ces arrêtés. Mais toutes les 2, qui ont l’habitude de ce genre de situation, m’ont dit que les questions posées par les autres membres leur fait penser que même cette instance ne sait pas trop comment se placer..cad si on est considéré comme tiers ou pas, apte ou pas à introduire un recours.”
Nous savons depuis le début que Tubize n’a rien à dire dans ce dossier. Nous ne sommes pas compétents. Tubize a cédé son hôpital en 2000 au groupe Jolimont et a repris les dettes à son compte. C’était la seule solution à l’époque pour garder un hôpital à Tubize. L’erreur a été faite lors de la cession de l’hôpital au groupe Jolimont. Il aurait été préférable d’imposer des représentants de Tubize dans le conseil d’administration du groupe Jolimont. Pas pour toucher des jetons de présence, mais pour veiller à l’intérêt des tubiziens qui payent encore les dettes de cet hôpital.
Il fallait tenter le coup de cette commission, même si nous savons que cela à peu de chances d’aboutir.
28 Juin 2017 | Actualités, Communiqués, La locale Ecolo Tubize
Hassan Idrissi a souhaité mettre la problématique de la consommation de drogues chez les jeunes en avant http://brabant-wallon.lacapitale.be/95115/article/2017-06-21/de-plus-en-plus-de-jeunes-tubiziens-consomment-de-la-cocaine
Il souhaite interpeller le conseil de police ainsi que le conseil communal sur le sujet.
28 Avr 2017 | Communiqués
11 Avr 2017 | Actualités, Espace citoyens, La locale Ecolo Tubize
Le conseil Communal a décidé de répondre à l’appel de candidature du projet “Commune zéro déchet” de la Région Wallonne.
Mais c’est quoi une “commune zéro déchet” ?
Pour pouvoir l’expliquer quoi de mieux que de prendre l’exemple de la ville précurseur dans ce domaine : Roubaix.
Roubaix a plus ou moins les mêmes caractéristiques socio économique que Tubize. Ville en transition économique et sociale. Qui essaye de se reconstruire après plusieurs faillites.
En 2014 suite aux élections, une liste citoyenne se dégage pour gérer la ville. Rapidement, ils se lancent dans le projet de “commune zéro déchet” qui était un thème fort de la campagne. Ils ont décidé de prendre le problème à l’envers: plutôt que de chercher des solutions pour traiter plus de déchets ou nettoyer davantage, ils se sont attaqués à la source du problème: les déchets trop nombreux.
Projet ambitieux à l’échelle d’une ville
Le bon point de départ, c’étaient les familles. Ils ont commencé par une première action en 2015, avec un appel aux familles volontaires de participer à un défi de réduction des déchets de 50 % en un an.
100 familles se sont ainsi engagées à tenter l’expérience. Ils leur ont fourni de quoi peser leurs déchets, afin de leur faire prendre conscience du volume qu’ils jetaient. Ensuite, ils ont organisé des ateliers sur 14 thématiques différentes qu’elles choisissent librement.
Pour quel résultat
En trois ans, ce sont 1000 habitants, sur une ville de 100.000, qui s’y sont mises. Ils constatent un réel engouement populaire: les familles en parlent autour d’elles, au travail, à leurs amis, dans les écoles; d’autres organisent des ‘soirées Zéro déchets’ pour partager leurs expériences, et leurs trucs et astuces. Il y a actuellement environ 10 % de la population de Roubaix qui est touchée de près ou de loin, c’est très inspirant et motivant. En partant des familles, c’est maintenant tout un mouvement qui s’est lancé. Des commerces de produits en vrac se sont par exemple lancés, tandis que d’autres ont adapté leur offre. Ils atteindront bientôt 6 % des commerçants qui auront le label Zéro déchet. 20 % des écoles se sont déjà engagées dans la réduction de leurs déchets et ils constatent que les entreprises sont demandeuses.
Tubize peut faire la même chose
C’est possible avec un réel soutien, il y a moyen de mettre cela en place. Certaines familles sont déjà demandeuses, nous avons un magasin d’achat en vrac qui a vu le jour récemment à Tubize et une clabecquoise s’occupe d’un magasin en vrac à Braine Le Château. Il y a moyen d’inciter les écoles à participer ainsi que les entreprises pour créer une véritable dynamique nouvelle à Tubize.
http://www.roubaixzerodechet.fr/
http://creonsdemain.be/2017/04/10/roubaix-ville-zero-dechet-de-lutopie-a-la-realite/
http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/03/13/a-roubaix-des-pionniers-du-zero-dechet-citoyen_5093708_3244.html
https://www.facebook.com/epiceriemeltingpot/
https://www.facebook.com/au.petit.poids/
30 Mar 2017 | Actualités, La locale Ecolo Tubize
Aujourd’hui les curateurs ont identifié toutes les personnes (travailleurs, veuve,..) qui doivent encore recevoir de l’argent. Après de longues procédures, il reste 18 millions dans les caisses à distribuer aux derniers créanciers qui sont les travailleurs et l’Etat belge.
Pourquoi l’Etat belge ne donne pas la priorité aux travailleurs ?
Les faits remontent à il y a trente ans, avant la faillite, les banques (BNP Paribas) ont prêté de l’argent à l’entreprise avec une garantie d’État. Considérée quelques années plus tard comme illégale par la Commission européenne. En 2015, l’état a, par un tour de passe-passe, récupéré la dette de la banque (pour rappel déclaré illégal).
Ce tour de passe-passe donne le droit à l’état belge, de faire un recours pour récupérer les derniers 18 millions qui restent dans les caisses.
Aujourd’hui, les travailleurs doivent encore recevoir 20 millions d’euros et ce paiement est bloqué parce que l’État fédéral a entamé une procédure pour récupérer cet argent. L’audience aura lieu en novembre mais risque encore de durer 5 ans avec tous les recours.
Les travailleurs demandent à l’État de renoncer, pour mettre un terme à la plus longue procédure de remboursement des travailleurs d’une entreprise faillie en Belgique, et pour ne pas priver les travailleurs de leur droits sociaux.
Charles Michel estime que nous sommes face à une situation juridique «complexe» et craint de créer un «précédent».
” Monsieur Charles MICHEL, vous dites que le dossier est dans les mains de la justice, mais ce n’est pas vrai. C’est VOUS qui avez remis ce dossier dans les mains de la justice. Vous ne voulez pas créer un précédent, mais nous espérons que vous fassiez le nécessaire pour qu’une faillite qui date de 20 ans ne soit pas réglée après autant de temps. Nous espérons que les prochaines faillites puissent être réglé plus vite. c’est vous qui créer une situation sans précédent. Nous savons que vous êtes spécialistes des tours de magie comme vous venez de le faire en reprenant des créances déclarées illégales à votre compte. Et vous osez demander aux travailleurs d’encore attendre de savoir si votre tour de magie était légal. Nous sommes repartis pour un tour de 5 ans. A ce rythme là peu de travailleurs seront encore présents pour le clou du spectacle.”
http://www.lavenir.net/cnt/dmf20170330_00982858?utm_source=facebook&utm_medium=socialAT&utm_content=article&utm_campaign=seeding
21 Mar 2017 | Actualités, Communiqués
Tubize souhaite être reconnue comme “ville”. Pour ne pas être oubliée par le gouvernement wallon ou le gouvernement fédéral. Pour transformer Tubize, tout en gardant l’esprit de village qui fait le charme de Tubize.
Pourquoi ?
Cette reconnaissance est juste symbolique, mais ce sont les symboles qui touchent les esprits. Depuis quelques temps Tubize se transforment, ces habitants augmentent, changent de profils. Pour que Tubize ne soit pas oubliée par le gouvernement Wallon ou fédéral, il faut passer par cette reconnaissance. Car une vile sans hôpital, sans gares, sans justice de proximité n’est pas une ville.
Ce qui va changer ?
Concrètement rien. Par contre on ne construit pas une ville comme un village. Comme exemple, nous pouvons prendre les trottoirs. Dans un village, pas besoin de trottoirs car il y a peu de circulation. Par contre, dans une ville les trottoirs sont indispensables. A t’on besoin de trottoirs à Tubize, Oui. En terme aussi de loisirs, les besoins d’activités ne sont pas les mêmes en milieu urbain ou en milieu rural. En terme aussi de mobilité, la Tec ne fait de la circulation interne que dans les villes, peut-être bientôt aussi à Tubize. Au niveau emploi, les sociétés préfèrent s’installer dans une ville.
Ce qui ne changera pas ?
L’esprit de village de Tubize. Il faut absolument cultiver cet esprit de village qui fait la force de Tubize. Connaître son voisin, avoir de la solidarité pour cela il faudra continuer à cultiver le vivre ensemble.
Les taxes ne seront pas impactées par ce changement. Les rémunérations des élus ne seront pas augmentées.
ruralurbain
http://www.rtl.be/info/regions/brabant-wallon/tubize-ne-sera-bientot-plus-un-village-la-wallonie-devrait-lui-octroyer-le-statut-de-ville-901439.aspx