La Ville de Tubize s’engage dans le travail de mémoire

La Ville de Tubize s’engage dans le travail de mémoire

Le 8 mai 2021, c’est devant le Mausolée du cimetière de Tubize qui abrite les dépouilles des soldats de la première guerre mondiale et des déportés de 1916 que la stèle marquant l’adhésion de la Ville au réseau « Territoires de Mémoire » a été dévoilée. Cette stèle marque l’engagement de la Ville de dans un travail de mémoire.
Le « travail de mémoire », est la conjugaison du travail d’Histoire, du devoir de mémoire et de l’éducation à la citoyenneté.

Ce qui permet de proposer des voies plurielles pour mobiliser les sensibilités du plus grand nombre et encourager toutes les initiatives citoyennes capables de construire un meilleur « vivre ensemble »

« le travail des historiens et la rigueur avec laquelle ils analysent les événements sont indispensables pour ne pas exposer nos pratiques aux négationnistes et à tous ceux qui tentent de minimiser cette catastrophe humaine dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences. »

https://www.territoires-memoire.be/aide-memoire/aide-memoire-87/201811261138-du-devoir-de-memoire-au-travail-de-memoire.html

Qu’est-ce que le réseau les Territoires de mémoire ?

Les Territoires de la Mémoire sont un centre d’éducation à la résistance et à la citoyenneté créé par d’anciens prisonniers politiques rescapés des camps nazis. Pour effectuer un travail de Mémoire auprès des enfants, des jeunes et des adultes, l’association développe diverses initiatives qui transmettent le passé et encouragent l’implication de toutes et tous dans la construction d’une société démocratique garante des libertés fondamentales.

Un des objectif est  d’ accompagner dans leurs actions éducation à la résistance et à la citoyenneté le Communes, Villes et Provinces en Wallonie et à Bruxelles. Les Territoires de la Mémoire proposent un ensemble d’outils et de ressources mis à disposition des membres du réseau Territoire de Mémoire. De l’acte d’engagement à la diffusion d’expositions en passant par des formations citoyennes pour le personnel communal ou pour des publics particuliers.

https://www.territoires-memoire.be

« En ma qualité d’échevine de la citoyenneté mais aussi en tant que fille de militaire, il me tient à cœur de participer chaque année aux commémorations organisées par nos différentes sections de la fédération nationale des combattants (FNC)  de Belgique. Ces commémorations, dont le but est de rendre hommage aux soldats morts pour notre patrie durant les 2 guerres mondiales, ont toute leur importance.

Mais ayant eu un grand-père envoyé comme travailleur forcé pour abattre le mur de Dresne et qui a vu naître sa fille, ma Maman, en Allemagne, il me semble qu’il est tout aussi primordial de faire comprendre que tout conflit, que ce soit  des guerres, des génocides, des attentats,… touche aussi la population civile. En effet, des personnes âgées, des femmes, des enfants, … se trouvent bien malgré eux au centre de ces conflits.

Il est aussi nécessaire de comprendre les différents processus  qui ont menés à ces situations afin de ne plus les répéter.Donc, si le devoir de mémoire a toute son importance , il est primordial que parallèlement se réalise un travail de mémoire. Les sections locales de la FNC réalisent déjà un travail formidable pour sensibiliser nos jeunes dans les écoles primaires de l’entité et il n’est donc pas question de le remplacer. Mais Cette adhésion permettra de compléter et d’amplifier ce travail de mémoire. Adhérer à l’ASBL les Territoires de la Mémoire nous aidera à réaliser un travail éducatif pour tous.

Cette stèle marque de manière symbolique le début d’une collaboration, d’un véritable engagement de la Ville et des différents acteurs de l’éducation à sensibiliser nos citoyens, particulièrement les jeunes générations, au travail de mémoire et d’histoire Si chaque année les commémorations agissent comme une piqure de rappel, il est aussi important  de faire réfléchir nos jeunes sur ces thématiques de manière plus récurrente en dehors de ces dates clés.

Nous devons garder en tête que les enfants d’aujourd’hui seront les protecteurs de nos libertés demain. Il est nécessaire qu’ils aient toutes les cartes en main afin de préserver ces libertés et combattre les négationnismes. C’est  en travaillant sur des projets de mémoire que nous leur fourniront les outils nécessaires pour que l’on oublie pas notre passé et ce qui s’y est produit. »

Sabine Desmedt

échevine de la citoyenneté et des affaires patriotiques

En tant que député au Parlement Wallon, je participe à la commission mémoire et démocratie qui suit le travail « des territoires de la mémoire ».

Il me paraissait essentiel que Tubize puisse participer aussi à ce travail de mémoire pour combattre les discours extrémistes.

Comme assistant social, j’ai travaillé au contact des victimes de ces discours et de ces actes extrêmes.

Pour moi, il est primordial de tout mettre en œuvre pour que plus personne ne soit victime des extrémismes.

Laurent Heyvaert

Député Wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles

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Pollution du Canal Charleroi/Bruxelles

Pollution du Canal Charleroi/Bruxelles

Bref historique
• Mercredi 17/03
Le district des voies hydrauliques est averti par le garde des écluses de la pollution sur le Canal Charleroi/Bruxelles. Celui-ci, contacte les pompiers de la protection civile car cela semble important.  Des boudins sont placés ainsi qu’un barrage mécanique sur le Canal afin de récupérer et canaliser la perte d’ « hydrocarbures ».
Ce même jour, Mme Dumonceau (échevine de l’environnement de la Ville de Tubize) fait part de la pollution au chef district des voies hydrauliques qui lui répond par retour de mail qu’il est sur place avec les pompiers et la protection civile.
• Vendredi 19/3
Le Contrat Rivière Senne prend contact Mme Dumonceau pour lui signaler que la pollution perdure. Celle-ci reprend contact avec le district des voies hydrauliques.
• Samedi 20/03
Des prélèvements par le Département de la police et des contrôles (DPC) sont effectués sur le site.  Il en ressort que le Canal est souillé sur 5 kms ainsi que les berges.  Une société spécialisée est dépêchée sur place et commence les travaux de dépollution. 4 skimmers qui permettent de récupérer la couche flottante des hydrocarbures, sont placés.
Le Département de la Nature et des Forêts (DNF) est également sur place et ce afin de limiter les dégâts pour la faune et flore ainsi que la pisciculture.
Un numéro spécial (le 1718) est ouvert et est diffusé aux citoyens et ce afin de sauver un maximum de volatiles.
• Mercredi 24/03
Des échantillons sont à nouveaux prélevés par la DPC.
Quelles suites ont été données suites à cette pollution.
Interview de Mme Dumonceau (échevine de l’environnement de la Ville de Tubize)
Q : Pourriez-vous me confirmer que la Région Wallonne a bien déposé plainte ?
R : En date du 31 mars 2021, le DPC a dressé un procès-verbal à charge du pollueur. Ce procès-verbal a été dressé pour non-respect des articles D.161 du code de l’eau (rejet en eau de surface de substances interdites) et 58§1er du décret relatif au permis d’environnement (non-respect des conditions d’exploiter) et transmis au Parquet de Nivelles. Ce procès-verbal fait notamment suite aux constats de l’agent de garde SOS Environnement-Nature et de l’enquête et des constats du DPC (Département Police et Contrôles).
Q : La pollution est-elle tarie à ce jour car le pollueur pompe encore ?
R : Concernant les dispositifs (barrages) actuellement en place, suite à un contact avec le SPW MI et le pollueur, il appert que les dispositifs placés de part et d’autre de l’écluse d’Ittre sont actuellement maintenus par sécurité. De même, à hauteur du point de rejet du pollueur, un barrage est maintenu également par sécurité en vue de collecter les irisations d’hydrocarbures encore présents à ce niveau issus des purges des canalisations et du relargage en provenance des berges.
Q : Ne serait-il pas important de mettre en place une plate-forme de suivi réunissant les différentes parties impliquées dans ce dossier (autorités, monde associatif, contrat de rivière) ?
R : Un groupe de travail a été directement mis sur pied, celui-ci est composé de :
• M. le Gourverneur de la Province
• Les Bourgmestres de Ittre et Tubize
• Les 2 échevines de l’environnement Ittre et Tubize
• Les services administratifs régionaux (DPC, DNF, les voies hydrauliques, Demna)
• Les Cabinets des Ministres de l’Environnement (Mme Tellier) et de la mobilité (M. Henry)
Q : Pourriez-vous me dire si l’auteur de cette pollution est aujourd’hui connu ?
R : Il y a à ce jour une forte présomption sur l’identité du pollueur . Celle-ci sera certaine dès lors que les résultats des prélèvements seront connus. Le pollueur supposé, bien que n’ayant pas encore reconnu publiquement en être l’auteur, participe néanmoins activement aux travaux de dépollution en les finançant. Le tout, sous le contrôle du DPC.
Le 25 novembre, c’est la Sainte Catherine !

Le 25 novembre, c’est la Sainte Catherine !

En effet, depuis plusieurs siècles  la fête de la Sainte-Catherine commémore le martyre de Catherine d’Alexandrie.

Dans la tradition populaire, cette journée est dédiée aux femmes d’au moins 25 ans qui sont encore célibataires. Elles revêtaient des tenues et des chapeaux extravagants et se rendaient en cortège devant une statue de Sainte Catherine pour la parer de fleurs, rubans, chapeaux … Elles coiffaient Sainte Catherine dans l’espoir de trouver un mari !

Le proverbe dit : « À la Sainte-Catherine, tout bois prend racine ». Ce serait donc le moment idéal pour planter des arbres et arbustes.

Mais le 25 novembre, c’est surtout aujourd’hui… la Journée Internationale pour l’Elimination de la Violence contre les Femmes !

C’est cette date qui a été choisie, en 1999, par l’Assemblée générale des Nations Unies pour attirer l’attention de l’opinion publique sur les violences perpétrées quotidiennement contre des femmes.

La date est choisie en référence aux sœurs Mirabal qui furent assassinées le 25 novembre 1960, en République Dominicaine, parce qu’elles militaient pour leurs droits. Elles devinrent alors les symboles du combat pour éradiquer ce fléau qu’est la violence à l’égard des femmes.

Cette date qui commémore dans la tradition populaire le martyre d’une femme est aussi celle qui commémore le martyre actuel de femmes dans une réalité bien triste. Si, en cette journée, « tout prend racine » … C’est donc bien le moment d’enraciner, au fond de chacun, qu’aujourd’hui encore les sévices et tortures infligés par des hommes à des millions de femmes, sont bien réels.

Pour s’en convaincre voici quelques chiffres…

  • Dans le monde, 35% des femmes ont subi au moins une fois des violences physiques et/ou sexuelles de la part d’un partenaire intime, ou bien des violences sexuelles de la part d’une autre personne.
  • Les appels aux numéros d’urgence ont été multipliés par cinq dans certains pays.
  • En septembre 2020, 48 pays avaient intégré la prévention et la réponse à la violence à l’égard des femmes et des filles à leurs plans de lutte contre la COVID-19.
  • Chaque jour, 137 femmes sont tuées par un membre de leur famille.
  • Moins de 40% des femmes qui subissent des violences demandent de l’aide sous une forme ou une autre.
  • Les femmes adultes représentent près de la moitié (49 %) de toutes les victimes de trafic d’êtres humains repérées dans le monde.
  • Au moins 200 millions de femmes et de filles âgées de 15 à 49 ans ont subi des mutilations génitales féminines dans les 31 pays où se concentre cette pratique.
  • 15 millions d’adolescentes dans le monde (âgées de 15 à 19 ans) ont été forcées d’avoir des rapports sexuels.
  • La violence scolaire basée sur le genre est un obstacle majeur à la scolarisation universelle et à la réalisation du droit à l’éducation des filles.
  • Une femme sur dix, de l’Union européenne, rapporte avoir subi un harcèlement en ligne au moins une fois depuis l’âge de 15 ans.

Source : ONU

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Carlos Rios Bassi

Carlos Rios Bassi

Administrateur à la Maison des jeunes de Tubize

” La Maison des Jeunes est un espace de rencontre et d’échange ouvert à toutes et à tous.

C’est un lieu d’écoute et d’action dont les objectifs sont de développer l’identité culturelle des jeunes, de mettre en avant les talents de chacun au travers de projets individuels et collectifs, et de partager ces découvertes avec le public extérieur.

Nos actions tendent à développer la participation active des jeunes au sein des projets, ainsi que de leur permettre d’apprendre à évoluer ensemble dans un contexte de respect et d’engagement “

Pour plus d’informations

Mj Antistatic

 

” Je suis né au Chili et je vis en Belgique depuis 1994.  J’habite à Tubize depuis 13 ans. Je suis marié et j’ai 3 enfants.

L’engagement est une valeur importante à mes yeux.  Depuis mon plus jeune âge, je me suis investi pour défendre les droits humains dans un contexte social et politique qui allait à l’encontre de la démocratie.  Ces valeurs ont fait que j’ai choisi de lutter pour une société plus juste, plus sûre, dans le respect des égalités.

Je suis également engagé pour le bien être de notre jeunesse à travers différents projets de prévention générale en lien avec ma pratique professionnelle. En effet, je suis travailleur social dans le secteur de l’aide à la jeunesse depuis plus de 20 ans. Éducateur sportif et responsable pédagogique dans une AMO Bruxelloise, je côtoie quotidiennement des enfants, des jeunes, des parents qui rencontrent diverses difficultés (scolaires, sociales, familiales,…) et je les accompagne dans la recherche de solutions durables.

Passionné par la nature, à travers le sport aventure, un modèle d’intervention éducative qui mène à l’essentiel.  Je donne des cours d’escalade et j’encadre des séjours socio-éducatifs en montagne et dans le grand Nord.

Je suis également membre du conseil d’administration d’un centre d’accueil de jour pour jeunes handicapés.

Conscient du respect de l’environnement, de l’importance de la santé, de la démocratie, d’une économie au service de tous et pour une société qui fonctionne avec des critères de solidarité, je m’engage auprès d’Ecolo Tubize afin de collaborer et travailler pour de nouvelles idées, de nouveaux projets pour notre ville de Tubize et de ses habitants.  Parce que je crois en la construction d’une société différente que celle qui domine aujourd’hui.”

Carlos

Sabine Desmedt (Échevine)

Sabine Desmedt (Échevine)

Sabine Desmedt

1ère Echevine de la Ville de Tubize

 Compétences

Urbanisme

Aménagement du territoire

État civil

Citoyenneté

Cultes

Affaires patriotiques

Pour me contacter

 

sabine.desmedt@tubize.be

02/391.39.62

0477/ 518.777

 

Adresse bureau

 

Grand Place, 1

1480 Tubize

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une vie locale

” Je suis arrivée à Tubize à l’âge de 2 mois.  J’ai fait mes études à l’école primaire de Clabecq et ensuite mes études secondaires à l’IPES de Tubize.  Je suis maman de 3 enfants.  Je suis enseignante en sciences à l’IPES de Tubize.

La vie à Tubize et dans Tubize, je la connais bien !

Ancrée

Thématiques qui me parlent

le vivre ensemble,

l’intergénérationnel,

la jeunesse,

 la mobilité,

le cadre de vie.

Action

Une Ville  où il fait bon vivre

Nous devons réapprendre à connaître notre rue, notre quartier, nos voisins de quelque manière que ce soit. 

Je souhaiterais privilégier les moments de rencontre, entre jeunes, adolescents, adultes et aînés dans divers lieux et éviter ainsi l’isolement social, économique et culturel tout en bougeant en sécurité.

Nous devons réfléchir à un cadre de vie durable et penser à Demain.  Le terme “Cadre de Vie ” est vaste !  Il faut veiller à une urbanisation et à un aménagement du territoire adéquat et durable.

Rencontre

 

Une Ville durable

Il faut également être attentif au maintien et au transfert vers nos générations futures de notre patrimoine matériel et immatériel mais aussi de notre biodiversité.

Il est également important de penser à nos Aînés et nos futurs Aînés en développant des projets divers afin de pouvoir répondre à leurs demandes en fonction de leur situation, de leur vécu à tout à chacun.

Quand c’est possible, nous devons promouvoir nos commerces, nos artisans locaux et démontrer qu’il est possible de travailler en circuit court au sein du Brabant wallon Ouest.

Notre Ville doit être une Ville où il fait bon vivre. “

convivial

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