En collaboration avec l’asbl Tous à pied, le conseil consultatif communal des aînés a organisé la première marche exploratoire à Tubize.
C’est quoi une marche exploratoire ?
Une marche exploratoire constitue un outil particulièrement intéressant de participation citoyenne pour en savoir plus sur un territoire précis. Il s’agit de convier la population à une marche lors de laquelle leurs avis sur l’hospitalité des espaces publics aux piétons leurs sont demandés.
L’asbl Tous à pied et le conseil consultatif communal des aînés (CCCA) ont invités les aînés sur un parcours dans le centre de Tubize en partant de la Grande place jusqu’au plateau de la gare en passant par le boulevard Georges Deryck jusqu’au centre culturel.
Ce parcours exploratoires a permis de recueillir l’avis des aînés sur les points forts et faibles de la marchabilité du parcours, mais aussi de mieux connaître leurs attentes et besoins en tant qu’usager de l’espace public. Pour la bonne réalisation d’un projet de mise en avant des piétons, l’expertise de terrain des usagers se révèle être indispensable.
Comment cela fonctionne ?
1. Avant la marche
Tout d’abord, la première étape a été de trouver le pôle autour duquel la marchabilité des voiries sera analysée. Le choix a été porté sur le centre ville. Un cercle de 800 mètres autour de la grande place a été tracé sur un logiciel de Système d’Informations Géographiques (SIG). C’est dans ce périmètre que la marche a été organisée. Ensuite, un parcours rejoignant les différents points fréquentés par les aînés a été créé. Il a amené les participants à partir de la Grande place de rejoindre le centre culturel pour ensuite rejoindre le plateau de la gare.
2. Pendant la marche
L’équipe de l’asbl Tous à pied a animé la marche et a recueille les commentaires des aînés à l’aide de différents supports : cartes, questionnaires, tableau, etc. Chaque participants étaient invités à noter ces remarques, à noter les différents points positifs ou négatifs.
3. Après la marche
L’équipe de Tous à pied a traité l’ensemble des informations récoltées. En synthétisant les éléments en atouts, faiblesses et enjeux, il est dès lors possible de proposer des pistes d’amélioration de la marchabilité des voiries.
Concrètement, cela prend la forme d’une cartographie des points noirs sur lesquels des interventions stratégiques et localisées sont proposées.
Ce rapport a été présenté sous forme de rapport et de présentation aux participants, mais aussi aux autorités communales.
Depuis un an, nous mettons tout en oeuvre pour que la gare de Tubize devienne une priorité. L’annonce de certains aménagements est une bonne nouvelle qui va dans le bon sens, mais il en faudra plus.
Début d’année 2017, nous étions alertés par les travailleurs que les négociations entre les autorités communales et la SNCB ne se déroulait pas bien.
C’est un premier pas vers un mieux et nous pouvons nous en réjouir. Mais ce n’est pas un coup de peinture et des fleurs qui feront revenir les navetteurs. Le projet d’installation de la police locale dans la gare n’est pas un projet neuf. Il avait été enterré suite au coût de réaménagement. Si cette solution est envisagée par la SNCB et la zone de police, nous pensons que cela sera un plus pour la sécurité autour de la gare. Cette présence policière pourra améliorer le sentiment de sécurité.
Pour une gare efficace, il en faudra plus souligne Youri Caels conseiller communal et navetteurs journaliers
Le premier point est l’offre. Nous avons travaillé avec les travailleurs de la SNCB sur un plan concret de trains supplémentaires. Le prochain plan de transport aura lieu en 2020, nous espérons que la SNCB et les autorités communales pourront offrir plus de trains aux navetteurs.
La fiabilité est aussi importante, on ne compte plus les retards journaliers note Dimitri Stevens “navetteur”
L’accès à la gare
Les navetteurs sont souvent pointés du doigt pour les problèmes de parking. Il est vrai que chaque tubizien pourrait être à 10 minutes de la gare soit à pied, soit en vélo, soit en transport en commun. Mais pour cela, il faudrait que l’offre soit satisfaisante. Aucun parking vélo surveillé n’est prévu. Les navetteurs qui osent venir en vélo à la gare doivent d’abord combattre l’insécurité routière et prient chaque jour pour que leur vélo soit toujours présent à leur retour. Nous espérons que les réaménagements de la gare tiendront compte de cela. Pour les transports publics (tec), il faut que l’offre soit plus élargie. Il n’est pas normal que les Clabecquois, les Oisquercquois et les Saintois ne puissent pas compter sur des bus pour rejoindre le centre de Tubize.
L’accès des Personnes à mobilité réduite pourrait être risible si la situation n’était pas aussi grave. On ne sait pas s’il existe encore une personne vivante qui a pu voir l’escalator fonctionné. Il est tout à fait possible de créer une rampe d’accès en amont des quais qui pourrait permettre aux PMR, aux mamans avec des poussettes ou tout simplement à des personnes âgées d’accéder aux quais.
Tout ces points, nous continuerons à les mettre sur la table et bien après 2018.
Fin d’année 2016, nous étions alertés par des travailleurs de la SNCB que les négociations entre les autorités communales et la SNCB se déroulaient mal. En effet, les seules discussions portaient sur le parking de la gare et aucunement sur la fréquence ou sur les commodités.
Avec l’aide des navetteurs, nous avons commencé à mettre un plan de communication pour que la gare de Tubize devienne un enjeu pour les autorités communales et pour la SNCB. Il était urgent car le plan de transport 2017-2020 devait être annoncé au printemps.
Rapidement, nous apprenions la volonté du ministre Bellot de fermer les guichets de la gare. Marcel Cheron prit rapidement la balle au bond et interrogea le ministre au parlement.
Ces nouveaux horaires sont arrivés sur les bureaux de la SNCB qui sont en train de les examiner. Ca permettra aux autorités communales d’avoir une base de travail pour améliorer la fréquence des trains.
En 2018, nous continuerons notre combat pour l’avenir de la gare. Malgré, l’impression que nous avons que la gare est pour certains plutôt un frein qu’une possibilité de développement. Comme la justification des nouvelles zones bleues qui est mis sur le dos des navetteurs. On comprend qu’il faut un parking, mais les autorités communales doivent bien comprendre qu’ils sont en train de dégoûter les navetteurs. Qui iront ailleurs et qui aggraveront les problèmes de mobilité à Tubize.
Ce mardi, Marcel Cheron a posé la question sur la réouverture de la gare de Clabecq. En effet, il y a quelques semaines nous apprenions qu’Infrabel envisageait le remplacement des rails à Clabecq. Avec le risque enterrer le projet de réouverture à jamais.
Le ministre nous a rassuré sur le choix des rails envisagés qui pourrait permettre une réouverture. Mais ce projet n’est pas à l’ordre du jour de la SNCB. Autant dire que les arguments de la SNCB ne sont pas corrects.
Ils disent que la réouverture se ferait au détriment d’Hénnuyères ou de Tubize et que cela n’est pas possible à cause de la congestion du réseau vers Bruxelles. Nous avons proposé la réouverture de la gare de Clabecq avec un train qui prendrait la ligne 26 c’est à dire la ligne qui passe par Saint Job et qui rejoint Schumann. Ce qui ferait une connexion entre Clabecq et le quartier européen. Nous demandons à la SNCB d’envisager ce trajet avant de se prononcer.
Nous déplorons que la SNCB utilise toujours la peur de la perte pour d’autres pour ne pas réfléchir à Tubize.
Ci dessous un commentaire pertinent sur les options envisagées:
Une fois encore, la SNCB ne veut pas prendre pas en compte le projet de réouverture de la gare de Clabecq en justifiant le manque de capacité de la Jonction Nord-Midi et le détournement des trains S2 Braine – Bruxelles par Clabecq. Ce n’est pas cela qui avait été envisagé, mais bien la réutilisation d’un train Hal – Schuman qui stationne pendant 40′ en gare de Hal, qui ne passe pas par la Jonction Nord-Midi et qui influence pas les trains S2 Braine -Louvain. Ce temps de 40′ était mis à profit pour effectuer un aller-retour Hal – Clabecq (environ 18 minutes avec arrêt à Lembeek) en maintenant toutefois un arrêt suffisant à Clabecq pour les opérations de changement de sens. Pour éluder le problème et affirmer que ce n’est pas possible, la SNCB, dès le 10 décembre prochain, utilise le temps de stationnement de 40′ à Hal pour effectuer un aller-retour Hal – Enghien, qui dispose déjà de 5 relations par heure… Les arguments du ministre – et donc ceux de la SNCB – ne tiennent pas la route.
Ci dessous l’intervention complète au parlement
Marcel Cheron (Ecolo-Groen): Monsieur le président, monsieur le ministre, ma question porte sur la possible réouverture de la gare de Clabecq située dans la commune de Tubize, dans le Brabant wallon, région très belle et accueillante.
Selon mes informations, Infrabel serait en passe de réaliser des travaux de renouvellement de voies sur le tronçon environnant l’ancienne gare de Clabecq. Pourquoi vous interroger à ce sujet? Pour avoir votre point de vue quant à une éventuelle réouverture de l’arrêt de Clabecq en lien avec une évolution dans le quartier. En effet, cette zone autour de l’ancien arrêt de Clabecq fait l’objet de développements immobiliers. Il est ici question de l’aménagement de l’ancien site Duferco, de la métallurgie brabançonne bien connue. Sont ainsi annoncés 2 000 logements, des entreprises, des commerces et d’autres services qui mériteraient d’être accessibles via la meilleure mobilité qui soi, à savoir la mobilité douce et, en particulier, le train. La question de la réouverture de la gare est donc essentielle. Je ne dois pas faire ici l’apologie des transports en commun auprès du ministre de tutelle.
Monsieur le ministre, pensez-vous qu’il soit trop tard pour intégrer cette réflexion dans le cadre des travaux envisagés par Infrabel? Selon moi, ce genre de travaux devrait s’inscrire dans une vision à moyen, voire à long terme, en tenant compte de ce qui pourrait résulter d’un arrêt de Clabecq totalement ou partiellement utilisé. Infrabel a-t-elle déjà effectué des choix techniques définitifs concernant la réfection des voies autour de la gare de Clabecq, avec la possibilité ou non d’intégrer, un jour, la réouverture de l’arrêt? Le cas échéant, interviendrez-vous pour éviter que ces choix empêchent une potentielle réouverture de l’arrêt ou de la gare dont question?
François Bellot, ministre: Monsieur le président, cher collègue, je me réjouis avec vous de la reconversion du site de Duferco, avec la construction de 2 000 logements. Aujourd’hui est d’ailleurs un jour un peu particulier, si on se réfère à ce qui s’est passé à Clabecq, il y a vingt ans. Infrabel m’informe que les travaux de renouvellement sur la ligne 106 ne portent pas préjudice à la possibilité théorique de faire encore circuler des trains de voyageurs sur cette ligne à l’avenir. Cependant, cela n’entre pas dans les projets, pas plus que de rouvrir la gare de Clabecq et d’organiser, au niveau de cette gare, des départs et des arrivées de liaisons ferroviaires avec Bruxelles. Cela ne les compromet pas. Même si tel devait être le souhait, la SNCB évoque alors, de façon générale, le manque de capacité en lignes, notamment dans la jonction Nord-Midi, qui empêche de mettre encore plus de trains en service entre Halle et Bruxelles. La seule possibilité, dans l’état actuel des choses, pourrait consister à faire passer les trains S reliant Bruxelles et Braine-le-Comte par Clabecq mais cela pourrait uniquement se faire, si cela se faisait, au détriment de la desserte des gares de Tubize et Hennuyères. La question se pose dès lors de savoir si, pour les voyageurs, une telle alternative est souhaitable. La réponse est donc claire. Les aménagements actuels ne compromettent en rien la capacité de faire encore un jour un arrêt à Clabecq. Par ailleurs, si on devait faire passer des trains par Clabecq, ce serait, selon la vision de la SNCB, peut-être au détriment de Tubize et Hennuyères. Le tout est une question d’offre de trains, de nombre de trains, etc. Je ferai une dernière remarque. On prend souvent la Suisse comme modèle pour ce qui est des chemins de fer. Il faut savoir que, dès qu’un promoteur construit plus de 150 logements en un seul bloc, il a la charge d’urbanisme d’aménager la connexion par voie de chemins de fer. C’est évidemment une toute autre logique. Nous ne sommes pas dans celle-là. N’en concluez pas que nous allons demander à Clabecq d’assurer la connexion. Il s’agit simplement d’une petite réflexion à ce sujet-là, tout comme, quand on aménage un stade de foot, il faut deux lignes de chemins de fer.
Marcel Cheron (Ecolo-Groen): Monsieur le ministre, je vous remercie. Aujourd’hui, je suis positif. Je retiens que cela ne compromet pas. Je regrette simplement que cela ne soit pas intégré dans les travaux. Pour ce qui est du restant de la réponse, j’avais déjà entendu une certaine argumentation de la SNCB lors du débat sur le plan de transport. Je ne suis pas totalement convaincu mais je note bien que la fermeture n’est pas totale. J’essaierai donc de revenir avec des éléments et certains arguments. J’entends bien l’argument de la jonction Nord-Midi mais c’est un argument récurrent. J’espère qu’un jour, on trouvera une solution pérenne par rapport à cela et pas seulement par la technologie. Et, en lien avec l’offre S, il s’agit de vérifier si effectivement cela se ferait ou pas au détriment des gares que vous avez citées. Je retiens en tout cas que rien n’est compromis à ce stade mais que, malheureusement, ce n’est pas intégré dans les travaux qui vont se dérouler.
Depuis quelques mois la locale Ecolo de Tubize a réuni les travailleurs de la SNCB pour organiser un nouvel horaire de la gare de Tubize. Ce jeudi, ils ont voulu le présenter aux navetteurs.
Ils étaient présents dès 7h00 en gare de Tubize pour présenter des flyers avec le nouvel horaire. Après une petite discussion avec le sous chef de gare, on se rend compte des difficultés que les navetteurs subissent chaque jour. Train en retard, manque de communication (sur 10 minutes deux annonces non faites et un train annoncé après son départ). Ils nous expliquent aussi les mésaventures de la semaine passée quand tout le système informatique de vente de la SNCB a planté pendant plusieurs heures. Ils comprennent et subissent la frustration des navetteurs. C’est pour cela qu’ils ont voulu participer et montrer qu’ils peuvent aussi apporter des solutions.
Début de la distribution des flyers et premier commentaire
Les premiers flyers sont distribués et assez rapidement les premiers commentaires se font. Marie navetteuse : « Ce serait extra ! Horaire beaucoup plus logique et cohérent et des trains plus tard ! » « Angela : C’est pour quand ? » Alexis : « Si cela pouvait se faire ».
L’engouement est certain, on voit même des personnes revenir sur leur pas pour demander des flyers. Des discussions s’engagent sur la possibilité de réaliser ce plan.
Laurent Heyvaert de la locale Ecolo de Tubize : « Ce plan a été conçu avec les travailleurs, on s’est mis comme objectif que ça ne coûte rien. Et on voulait que Hal ne soit pas pénalisé car on aurait perdu face à un conflit communautaire. Tous les aspects techniques ont été pris en compte qui est souvent l’argument invoqué par la SCNB. »
Les managers pas content
Après une demi heure de présence sur les quais, le sous chef de gare vient nous prévenir qu’il a reçu un coup de téléphone de sa hiérarchie pour nous bloquer l’accès aux quais. Il ne savait pas nous dire d’où ça venait, mais on se rend compte que cet horaire réaliste dérange. Nous continuons donc la distribution à l’entrée de la gare.
Virginie navetteuse quotidienne : « J’étais toute heureuse, l’horaire idéal, et puis…..ce n’est qu’un souhait qui doit encore passer »
Youri Caels conseillé communal de Tubize : « Nous avons voulu rendre ce plan public maintenant car on sait que les réflexions et réunions pour les horaires se font entre septembre et décembre. Ensuite ils sont proposés à la direction et au ministre. Avec ce plan, on ne doit pas attendre le prochain plan de transport 2020 car on ne demande pas de trains supplémentaires mais une autre cadence. Donc ce plan est tout à fait réalisable pour sa mise en place en décembre 2018. »
L’action se finit à 8h avec l’affichage des flyers sur les arrêts de la Tec car on sait que les prochains week ends vont être dure pour les navetteurs de la ligne 96 avec les travaux prévus.
L’horaire complet est disponible sur le site internet https://tubize.ecolo.be/nouvelle-proposition-dhoraire-pour-la-gare-de-tubize/ ou sur les réseaux sociaux.
OBJET : projet d’amélioration des horaires ligne 96
Cadre :
Mécontentement de la clientèle de la ligne 96 entre Mons et Quévy
Mécontentement de la clientèle de Tubize
Mauvaise desserte de la ligne 97 entre Saint-Ghislain et Quiévrain
Constatations :
Malgré le plan de transport 2014, il n’y a pas d’augmentation significative de la clientèle (légère augmentation à Mons mais stagne entre Quiévrain, Saint-Ghislain et Mons ; -50% depuis 1984 !) ;
Le parking est difficile voire impossible en gare de Mons à partir de 7h30
Les correspondances sont aléatoires ;
Les trains sont beaucoup trop lents entre Quiévrain et Saint-Ghislain ; perte de clientèle française qui vient prendre son train à Mons (suivant les heures) ou pas ;
Autoroute et accès à Mons encombrés entre 7h et 8h30.
Il n’y a plus de desserte de Ghlin et Erbisoeul vers Bruxelles (projet 2017)
Le train Mons – Ath est très lent (49’ en 2016, 39’ en 2017) avec arrêts partout ;
La liaison Quévy – La Louvière ne se justifie pas en termes de relation
En dehors des pointes, la gare de Jurbise (5.000 habitants) ne doit pas être desservie par deux trains directs horaires vers Bruxelles, la population ne le justifiant pas ;
La gare de Tubize (25.000 habitants) doit être desservie par deux trains directs vers Bruxelles ; les Tubiziens se rendent principalement vers Mons et Bruxelles et non vers La Louvière ;
Les usagers commencent leurs prestations de plus en plus tard (voir occupation 3708 par exemple)
Méthodologie
En dehors des pointes, les automobilistes comparent le temps de parcours en voiture et en train. Actuellement, de Quiévrain à Bruxelles-Midi, il faut en train de 73 à 78’ pour environ 80 km. Il ne faut que 58’ en voiture.
En dehors de la superpointe, un train direct au départ de Quiévrain, captant la clientèle française, peut être intéressant ;
Pendant les pointes, comme les routes sont également encombrées, des arrêts de train supplémentaires ne sont pas un inconvénient
Il n’y a pas de coût supplémentaire
Le passage dans la JNM n’est pas modifié (horaires 2016)
La notion de trains IC et IR ayant disparu au profit du seul IC, il est intéressant de recadrer les arrêts ;
Il n’y a pas de modifications du nombre de trains desservant Hal.
L’étude de Markus Rieder pour les trains régionaux (Mons-Quiévrain) prévoit une desserte de deux trains par heure
Les temps de parcours entre gares sont ceux de 2015 ;
Conséquences :
Desserte Mons – Ath améliorée par suppression des arrêtes de Ghlin et Erbisoeul, soit un parcours de 32 minutes au lieu de 36 en 2017 et 49 en 2014. Temps de parcours intéressant lorsqu’on sait que la route Mons-Ath est étroite et encombrée.
Desserte ligne 96 entre Mons et Quévy améliorée ;
Desserte de Tubize améliorée ;
Desserte ligne 97 améliorée ;
Temps de parcours Binche-Bruxelles amélioré ;
Nombre de trains et arrêts identiques hors pointes ;
La modification de l’arrêt de Hal permet une correspondance de/vers Schuman (au lieu de Mérode actuellement), nettement plus intéressante ;
La liaison Quévy – Braine permet de pallier à tout incident entre Bruxelles et Braine, en offrant une liaison horaire Braine-Mons séparée des trafics IC
Variante :
Le train IC Binche – Turnhout peut marquer un arrêt à Hal si nécessaire.
Propositions :
cadence des trains vers Bruxelles
Quiévrain
.21
Thulin
.26/.26
Hainin
.29/.29
Boussu
.32/.32
St-Ghislain
.35/.36
Quaregnon
.40/.40
Jemappes
.44/.44
Mons
.50/.52
.16
Jurbise
.24/.25
Soignies
.06/.07
.33/.34
Braine
.13/.14
.40/.42
.08
.20
.50
Tubize
.21/.22
.50/.51
.30/.31
.00/.01
Halle
.58/.00
.18/.19
.40/.41
.10/.11
Brux.Midi
.36
.09
.28
.56
.26
IC 14
IC25
S2
S2
Cadence des trains vers Mons
Brux.-Midi
.24
.53
.30
.03
.33
Halle
.01/.03
.28/.29
.50/.51
Tubize
.38/.39
.10/.11
.25/.26
.55/.56
Braine-le-Cte
.46/.47
.19/.21
.50/.52
.38
.09
Soignies
.03/.04
.27/.28
Jurbise
.36/.37
Mons
.11/.13
.45
Jemappes
.19/.19
Quaregnon
.22/.22
St-Ghislain
.25/.26
Boussu
.30/.30
Hainin
.33/.33
Thulin
.36/.36
Quiévrain
.40
IC 14
IC25
La Louvière
S2
S2
Cadence du train Quévy – Braine
Quévy : .18
Genly : .23
Frameries : .26
Mons : .31/.33
Ghlin : .40
Erbisoeul : .43
Jurbise : .47/.48
Masnuy : .53
Neufvilles : .57
Soignies : .01/.02
Braine : .08 correspondances vers Bruxelles (IC 14 et S2)
Cadence du train Braine – Quévy
Braine : .55
Soignies 00/.01
Neufvilles : 06/.06
Masnuy : .10/.10
Jurbise : .15/.16
Erbisoeul : .19/.19
Ghlin : .23/23
Mons : .29/.31
Frameries : .37/.37
Genly : .40/.40
Quévy : .46
Sens Mons – Bruxelles – trains de pointe :
Quiévrain
05.49
06.58
Saint-Ghislain
05.59/06.01
07.12/07.14
Quévy
06.14
06.47
07.14
Mons
06.08/06.10
06.28/06.30
07.00/07.02
07.24
07.28/07.30
08.13
Jurbise
06.40/06.41
07.10/07.11
07.40/07.41
Soignies
06.49/06.50
07.19/07.20
07.49/07.50
Braine
06.55/06.56
07.24/07.26
07.37
07.55/07.56
Tubize
07.03/07.04
07.35/07.36
08.02/08.04
Halle
07.44/07.45
08.10/08.11
Brux.Midi
06.52
07.19
07.55
07.59
08.21
08.54
Remarques
Direct
7801
7802
7741
7803
7804
En vert, direct sur le parcours ; en rouge, omnibus sur le parcours indiqué
Ce qui donne, pour l’heure de pointe, les passages suivants :
Quiévrain
05.21
05.49
06.21
06.58
07.21
Saint-Ghislain
05.35/
05.36
05.59/
06.01
06.35/
06.36
07.12/07.14
07.35/
07.36
Quévy
06.14
06.47
07.14
Mons
05.50/
05.52
06.08/
06.10
06.16
06.28/
06.30
06.33
06.50/
06.52
07.00/
07.02
07.16
07.24
07.28/
07.30
07.33
07.50/
07.52
08.13
08.16
Jurbise
06.24/
06.25
06.40/
06.41
06.47/
06.48
07.10/
07.11
07.24/
07.25
07.40/
07.41
07.47/
07.48
08.24/
08.25
Soignies
06.06/
06.07
06.33/
06.34
06.49/
06.50
07.00/
07.01
07.06/
07.07
07.19/
07.20
07.33/
07.34
07.49/
07.50
08.00/
08.01
08.06/
08.07
08.33/
08.34
Braine
La L.
06.10
06.13/
06.14
06.20
06.40/
06.42
06.49
06.55/
06.56
07.07
La L
07.10
07.13/
07.14
07.20
07.24/
07.26
La L
07.37
07.40/
07.42
07.47
07.55/
07.56
08.07
La L
08.10
08.13/
08.14
08.40/
08.42
Tubize
06.21/
06.22
06.29/
06.30
06.50/
06.51
06.58/
06.59
07.03/
07.04
07.21/
07.22
07.29/
07.30
07.35/
07.36
07.50/
07.51
07.56/
07.57
08.02/
08.04
08.21/
08.22
08.50/
08.51
Halle
06.39/
06.40
06.58/
07.00
07.08/
07.09
07.39/
07.40
07.44/
07.45
07.58/
08.00
08.06/
08.07
08.10/
08.11
08.58/
09.00
Brux.Midi
06.30
06.36
06.56
06.52
07.09
07.24
07.19
07.30
07.36
07.56
07.55
07.59
08.09
08.24
08.21
08.30
08.36
08.54
09.09
Remarques/n° train
3405
direct
1705
S2
7800
Direct
3706
S2
7801
omnibus
3406
direct
1706
S2
7802
7741
direct
3707
S2
7803
omnibus
3406
direct
1707
7804
direct
3707
Sens Bruxelles –Mons – trains de pointe :
Brux-Midi
16.07
16.36
16.49
17.15
17.38
Halle
17.25/17.27
Tubize
17.03/17.04
17.32/17.33
17.51/17.52
Braine
16.27/16.29
17.12/17.13
17.41/17.42
17.59/18.01
Soignies
17.47/17.48
18.06/18.07
Jurbise
16.40/16.41
17.57/17.58
18.16/18.17
Mons
16.50/16.52
17.18/17.20
18.07/18.09
18.26/18.28
Quévy
17.05
18.21
18.41
St-Ghislain
17.30/17.32
Quiévrain
17.43
Remarques
8800
8801
8741
8802
8803
En vert, direct sur le parcours ; en rouge, omnibus sur le parcours indiqué
Ce qui donne, pour l’heure de pointe, les passages suivants :