


Sandra Dumonceau : Ma recette pour une lessive faite maison
Faire sa lessive présente plusieurs avantages : en plus d’être écologique et économique, fabriquer sa lessive soi-même est très facile. En quelques minutes, vous pouvez préparer de quoi laver votre linge pour plusieurs mois ! Pour celles et ceux qui ne savent pas par où commencer pour devenir autonome, faire de la lessive maison constitue un premier pas facile à réaliser !
Les ingrédients pour 3 litres de lessive
- 35 à 40 g de savon de Marseille
- 3 c. à s. de bicarbonate de soude
- 3 c. à s. de vinaigre blanc
- 3 litres d’eau
Le matériel nécessaire
- une râpe
- une casserole et une plaque ou un feu de cuisson
- des récipients pour stocker la lessive (bouteilles, bocaux, etc.)
- éventuellement : un entonnoir
La recette
1. Râpez 40 g de savon de Marseille.
2. Faites-les fondre à feu doux dans 1 litre d’eau très chaude.
3. Mélangez bien.
4. Ajoutez 3 c. à s. de bicarbonate de soude et 3 c. à s. de vinaigre blanc.
5. Laissez reposer pendant 1 heure, puis allongez avec 1 litre d’eau tiède.
6. Le lendemain, allongez de nouveau avec 1 litre d’eau froide et mélangez bien.
7. Facultatif : ajoutez quelques gouttes d’huiles essentielles pour le parfum.
8. Mettez en bouteille.

Tubize commune pilote pour les consignes des canettes
Vous avez sûrement entendu dans la presse, Tubize sera commune pilote pour les consignes des canettes. Pour le moment, nous n’avons pas plus d’informations. Une réunion est programmée dans les prochaines semaines pour avoir toutes les informations pratiques. En attendant, essayons de comprendre l’enjeu du système des consignes.
Avant toute chose, il faut comprendre deux concepts.
Le taux de recyclage : C’est à dire le nombre de plastiques ou métaux recyclés par rapport au nombre produit.
La lutte contre les déchets sauvages: Ce sont les canettes ou bouteilles qui sont jetées hors des poubelles.
Les « pour » et les « contre »
On assiste à un combat entre les associations de consommateurs (test achat) et les associations environnementales contre Fost Plus (société responsable du recyclage) et les représentants des commerçants.
Test achat a mené en 2017, une étude sur les consignes auprès des consommateurs. 66% des sondés sont favorables au système de consigne. https://www.test-achats.be/famille-prive/supermarches/news/une-consigne-pour-lutter-contre-les-dechets-sauvages-pour-ou-contre
Les associations environnementales ont fait aussi de nombreuses études qui concluent que le système de consignes serait plus efficace pour le taux de recyclage et la lutte contre les déchets sauvages.
http://environnement.wallonie.be/rapports/owd/pwd/rap_final_consigne.pdf
De l’autre côté, Fost Plus met en avant le coût élevé du système de consignes. Pour rappel, Fost Plus est une société avec des actionnaires. Le coût estimé est de 230 millions (qui comprend le prix des machines, le coût du changement de systèmes). Autant dire qu’ils sont refroidis pour leur actionnaire. http://www.lesoir.be/109084/article/2017-08-13/fost-plus-nest-pas-favorable-une-consigne-sur-les-canettes-et-les-bouteilles-en
Les associations des commerçants s’opposent aussi au système pour des questions pratiques d’organisation et d’espace dans les magasins.
Consigne : Système efficace ?
Plusieurs études ou cas pratique à l’étranger montrent l’efficacité du système en terme de taux de recyclage. Par exemple, des pays comme l’Allemagne et la Finlande obtiennent des taux de recyclage de plus de 95%. En Flandre, ce taux est de 66%. En terme de recyclage, le système est plus efficace. Au niveau des déchets sauvages, si le taux de recyclage augmente, les déchets sauvages diminuent. Mais on estime à 20% les déchets recyclables dans la nature. Donc en terme de propreté publique, l’impact ne sera pas aussi significatif.
La consigne ne sera pas une solution miracle contre les déchets, mais pourrait améliorer l’impact de ces déchets sur la nature et un meilleur recyclage. Mais tout cela aura un coût et un changement d’habitude.
Le projet du ministre Di Antonio (CDH) pour les consignes
A l’heure actuelle, nous n’avons aucune information sur le système mis en place donc nous devons nous limiter au communiqué de presse. Tubize a été choisi comme commune pilote pour le projet des consignes. En effet, via l’Echevine de l’environnement, Tubize a répondu à l’appel lancer par le ministre. L’appel à projet n’était pas détaillé, mais ils nous semblaient important d’y répondre car nous pensons que le système de consignes est une solution. Le problème va être la mise en pratique. En effet, dans l’annonce faite par le ministre, on parle de lutte contre les « déchets sauvages ». Donc légitimement se pose la question de savoir comment distinguer une canette abandonnée dans la nature et une canette utilisée à la maison ?
https://www.rtbf.be/info/regions/detail_projet-pilote-de-canettes-consignees-en-wallonie?id=9980635
Le ministre a décidé d’agir, on peut le féliciter d’avoir fait un pas. Mais nous craignons que celui ci ne soit pas le bon. En effet, en ne mettant pas un système complet, on risque d’avoir des résultats décevants. On lutte contre les déchets sauvages, mais on n’améliore pas le taux de recyclage. Car toute canette non recyclée, est une canette qui se trouve dans la nature ou brûler avec les poubelles ménagères.
Mr Di Antonio a-t-il succombé au frein mis par Fost Plus ? Peut-être pour sauver ces actions Be Wapp en grande partie financée par Fost Plus lui-même ?
https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2015/05/12/canettes_et_bouteillesconsigneesunemauvaiseidee-1-2337085/

Youri Caels
Youri Caels, papa de trois filles scolarisées à l’école Arc en ciel à Saintes. Habite Tubize, entre le Ripain et le quartier du Try Bas près du pont d’Ophain.
Conseiller communal durant cette mandature, j’ai notamment plaidé pour plus de participation citoyenne, œuvré à améliorer le bien-être du personnel communal et la sécurité des bâtiments publiques (crèches, écoles, maisons de repos, plaines de jeux,…) et milité pour une mobilité douce, sécurisée et vraiment au service de la population (nombreuses actions pour une gare digne de ce nom et des trains en suffisance). Co-fondateur de SOS environnement Tubize pour que la dimension environnementale (qualité de l’air, de l’eau, de l’alimentation, santé…) fasse partie intégrante des projets développés dans notre ville. La pollution PCB du Coeurcq, les lignes à HT à Ouesquercq, les boues du Vraimont, furent quelques-uns des combats menés par l’association.
Professionnellement, je suis psychologue social et je coordonne depuis plus de dix ans une Plate-forme de Concertation dans le champ de la santé mentale. La santé et le social sont mes domaines d’expertises naturels. L’avenir de l’hôpital de Tubize et plus largement les actions nécessaires pour que l’offre de soins soit en rapport avec les besoins des habitants de Tubize m’ont grandement mobilisé au cours de ces 6 années.
Joueur de tennis invétéré et de tous les sports de balles en générale, (vice-champion de Belgique en 2016 et champion régional en 2017 par équipe) j’ai suivi de près les dossiers sportifs de la commune, via la RDI notamment.
S’envoyer en l’air ou garder les pieds sur terre n’empêche pas de regarder les étoiles et de considérer que c’est l’injustice qui met en mouvement la pensée.

Une naissance à Tubize : Un secteur d’économie sociale s’y déploie
Tubize est une ville en profonde transformation. Elle est une nouvelle ville en devenir. Tous, nous observons les nombreux chantiers, la construction de nouveaux logements, maisons unifamiliales et surtout appartements.
Quelle sera cette nouvelle ville ? Celle, traditionnelle, d’une tradition populaire, celle d’un esprit de village et de convivialité? Celle d’une concentration urbaine et anonyme ? Une cité dortoir aux portes de Bruxelles ?
Le choix, souvent énoncé, est celle d’une mixité des fonctions urbaines. Cela peut signifier « un peu de tout », des entreprises, du commerce, des écoles fondamentales et secondaires, de l’enseignement supérieur, des transports publics, des administrations postales, des administrations publiques fédérales, régionales, provinciales, des espaces de verdures pour s’y détendre, des lieux de promenades en bordure du canal et de la Senne, une guinguette, des espaces de jeux pour tous les enfants, en particulier ceux qui vivent en appartements, des espaces de loisirs, des services médico-sociaux et hospitaliers, des services d’hébergement et de maintien à domicile pour les personnes âgées, des maisons de quartier, des souvenirs de l’activité industrielle par la valorisation de traces d’archéologie industrielle.
Le bilan est en demi-teinte, des avancées de projets, des reculs de services publics…
Ce cadre de rénovation urbaine est aussi celui de la reconversion économique de notre région.
Une ville n’existe que par son attractivité, c’est un pôle pour une région, celle de l’Ouest du Brabant wallon. Elle risque aussi d’être enclavée par la région Bruxelloise.
Tubize était un pôle d’activité économique important, les manufactures rythmaient la vie et les flux de travailleurs se relayant d’une pause à l’autre.
Ces entreprises ont fermé les unes après les autres, souvenons nous des fonderies, des ateliers métallurgiques, de Fabelta, des Forges de Clabecq, des nombreux services liés aux entreprises maintenant fermées.
La reconversion économique est lancée, sous la forme de création de nouveaux parcs d’activités, tel celui de Saintes 1, celui (en aménagement) de Tubize 2, celui de Fabelta Nord, les projets de réaménagement du site des forges de Clabecq conjuguant activité économique et commerciale. Beaucoup de projets en perspectives, peu de création d’emplois salariés et durables.
C’est dans ce cadre, dans ce contexte, sur ce terreau que naît un nouveau secteur économique, celui de l’économie sociale de réinsertion.
Citons les réalisations actuelles: L’AID du val de Senne, le Rappel, La valorisation, Le restaurant social « Parfum du monde ». Pensons aussi aux centres d’alphabétisation et autres services qui visent l’insertion sociale. Ces entreprises ont en commun une même vision, issue du mouvement coopératif, celle de répondre à des besoins sociaux dans une activité qui relèvent à la fois du marché économique, d’un certain complément aux services publics, d’une participation active au respect de l’environnement. L’objectif de participation sur base égalitaire est aussi souligné.
Leur rôle est aussi social, il prépare des travailleurs peu qualifiés, chômeurs, clients du CPAS, sans statut, à prendre ou reprendre une place sur le marché du travail. Cette remise au travail est le résultat d’un investissement pédagogique et méthodologique important. Cette réinsertion du public en difficulté est un enjeu démocratique fondamental, garantir la dignité de chacun, indépendamment de leur statut ou de leur formation scolaire ou d’expérience pratique.
C’est aussi, il faut le souligner, une formation par l’action. Les stagiaires sont intégrés dans des activités productives, ils sont mis dans le bain du travail. Les chantiers et activités sont multiples, ils correspondent à l’éventail des entreprises d’économie sociale.
Activité horeca de formation de service en salle de restaurant, travail en cuisine, rénovation du bâtiment, regroupement de machines électriques obsolètes et reconditionnement de certaines d’entres elles, revalorisation d’objets jetés ou abandonnés, créativité pour la réutilisation d’objets abandonnés, travail commercial pour la vente d’objet revalorisés,…
Participation à la récupération d’objets qui auraient facilement été abandonnés dans la nature, ce qui participe au respect de l’environnement, travail social et pédagogique de réinsertion sur le marché du travail, création d’emplois de proximité.
Plusieurs de ces entreprises sociales ce sont récemment regroupées au Nord du site Fabelta.
Les Tubiziens peuvent être fiers et solidaires du développement de ce secteur d’économie sociale de réinsertion.
Marcel Jaminon
Le 3 juillet 2018

Enquête publique: Prolongation de deux unités d’incinération de déchets à Virginal
L’InBW possède deux unités d’incinération de déchets à Virginal (Ittre). L’une d’entre elles arrive en fin de vie. Récemment, certaines voix ont plaidé pour le maintien des deux fours. Ecolo demande de tenir compte des objectifs de réduction des déchets ménagers, qui soulèvent la question de la nécessité du maintien des deux unités. Un four coûte en effet plus de 50 millions d’€, et l’incinération des déchets représente 4 à 5% des gaz à effet de serre émis en Belgique. Sachant cela, n’est-il pas temps d’explorer d’autres pistes ?
Lors de cette enquête publique, les citoyens peuvent donner leur avis. Les communes concernées sont Tubize, Ittre, Rebecq, Braine-Le-Chateau et Braine-Le-Comte. Chaque citoyens de ces communes peuvent se rendre auprès de leur administration communale pour émettre leur avis. Nous invitons chaque citoyen à donner son avis sur la prolongation de deux fours à Ittre.
Ville de Tubize – 29743 – in BW scrl – Rue de Tubize 16 1460 Ittre – avis denqute publique

Réouverture de la gare de Saintes – une nécessité
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20180621_01187153/rouvrez-la-gare-de-saintes-svp
Suite au problème du manque de parking pour les navetteurs à Enghien, certains se réveillent enfin et proposent la réouverture de la gare de Saintes. C’est un projet qu’Ecolo propose depuis plusieurs années, et qui pourrait améliorer considérablement la mobilité de l’Ouest du BW. Nous sommes heureux de constater que les autres partis mesurent enfin l’importance de régler ce problème.
Suite à l’annonce du plan de parking à Enghien, et suite aux annonces de fermeture des passages à niveaux à Saintes et à Bierghes. Ecolo fait une proposition ambitieuse :
Faire passer les trains venant de Tournai sur la ligne à grande vitesse
Les temps de parcours depuis Mouscron et Tournai vers Bruxelles-Midi sont aujourd’hui assez élevés. Pourtant, il existe des possibilités de faire basculer les trafics IC depuis Mouscron/Tournai vers Bruxelles sur la ligne à grande vitesse Paris-Bruxelles. Entre Ath et Enghien, les lignes courent en parallèle. C’est là que nous proposons de connecter les deux réseaux. Les gains de temps sont estimés à -11 minutes pour le trajet Tournai – Bruxelles, ce qui permettrait d’accroître l’attractivité du train sur cette liaison. Circulant sur les sites TGV, les trains IC provenant de Tournai ne cisailleraient plus les voies de la ligne 96 Mons-Bxl en gare de Halle, ce qui permettrait d’améliorer nettement la ponctualité de la ligne 94, mais également la ligne 96, et d’assouplir la réalisation des horaires de ces deux lignes.
L’utilisation de la ligne à grande vitesse pour le trafic intérieur permettrait de renforcer le trafic RER (offre S) entre Enghien et Halle et d’ouvrir de nouveaux points d’arrêts Saintes et son zoning en priorité, mais aussi Bierghes ou Petit-Enghien. Les investissmeents à prévoir iraient en grande partie dans la signalisation renforcée et les dispositifs de sécurité, avec peu de génie civil. Ce projet a déjà été proposé à Infrabel par la Wallonie, sous l’impulsion de Philippe Henry.
Marcel Cheron (député fédéral) : « Cette solution permettrait de soulager le trafic de la partie Ouest de la Wallonie, et d’envisager la réouverture de la gare de Saintes avec des horaires renforcés entre Enghien et Halle. »
Pour Christian Mahy (tête de liste Ecolo à Rebecq) : Quand nous avions proposé la réouverture de la gare de Bierghes, on nous a rit au nez. Comme quand nous parlons de réouvrir Clabecq pour faire face au développement du projet Duferco. Ce sont pourtant des solutions d’avenir. Il faut un consensus politique sur ces propositions, puis ce sera à Infrabel d’envisager la faisabilité de ces projets. Nous voulons envisager les meilleurs scénarios pour l’Ouest du BW, en plein boom démographique et économique. Cela passe par des solutions innovantes. Il faut oser, et casser la politique du « on a toujours fait comme ça ».

Louise Scutenaire
J’ai 18 ans, j’habite Tubize et je suis actuellement aux études à la haute école de Braine-le-Comte, dans le but de devenir institutrice primaire.
Je suis membre du mouvement écolo depuis peu sur les traces de mes parents qui en font partie depuis maintenant 7 ans et c’est la première fois que je me propose pour être sur les listes électorales. Derrière cette décision, une volonté de faire changer les choses dans ma ville, entourée par mon parti, des gens de confiance avec qui je partage mes idées politiques.
Mes principales préoccupations sont la jeunesse, les personnes souffrant d’un handicap et la valorisation des producteurs locaux, au détriment des grandes chaînes qui mettent en péril le savoir-faire de nos régions, que ce soit au point de vue culturel, gastronomique ou artisanal.
Je m’engage à cela en tant que jeune habitante de Tubize, afin de rendre notre monde meilleur, pour nous comme pour les générations à venir.

Gilbert Scutenaire
Gilbert Scutenaire – âge: en perpétuelle évolution. Je partage ma vie depuis toujours avec Sandra. Père comblé de deux enfants, Louise 18 ans et Oscar 8 ans.
Je suis enseignant dans la capitale où je tente de transmettre (en plus de la matière) à mes élèves mes valeurs démocratiques à travers un enseignement qui amène chacun à se surpasser pour relever les défis d’une société qui leur est souvent hostile.
Actif depuis 7 ans au sein de la locale écolo de Tubize, j’apporte au mouvement autant que possible mes divers talents.
Motivé par l’élan de mes colistiers, j’espère que Tubize pourra à nouveau pour la future législature bénéficier d’une vision plus verte de l’avenir.

Marcel Jaminon
En arrivant à Tubize en 1970, j’ai découvert une cité industrielle, porteuse d’emplois, de salaires et d’un certain pouvoir d’achat. Le plus souvent dépensé, dans les commerces locaux. La commune de Tubize, en voie de fusion, était un pôle attractif pour l’ensemble de la région.
Hélas, bientôt, un vent de « restructuration » souffle sur l’industrie. La population se mobilise, lutte pour sauver les entreprises, pour sauver l’emploi, pour garantir un avenir. Ces luttes retardent les fermetures et sauvent la dignité des travailleurs en lutte. C’est dans cette tourmente économique et sociale que je situe mes engagements sociaux.
Les pouvoirs, sous la pression des luttes collectives, s’organisent et présentent un plan de reconversion régionale. C’est ce plan qui se réalise actuellement: une cité industrielle devient « autre chose », une nouvelle ville.
Cette nouvelle ville sera-t-elle au service des citoyens, pour un bon vivre écologique pour tous? Un emploi de qualité pour tous ? L’accès au logement, à l’éducation seront-ils démocratisés ?
Ces derniers objectifs ne vont pas se réaliser par un coup de baguette magique. C’est que les règles du marché et de la rentabilité économique font souvent la nique aux objectifs de bon aménagement du territoire et aux objectifs du bien vivre pour tous.
La ville dispose d’outils importants pour aménager son territoire. Il convient de les activer.
Seule une attention collective, une politique participative, une lutte politique et sociale dans le cadre de l’écologie politique peut garantir la création d’une ville sociale et ouverte.