Rétrospective 2017 : L’hôpital de Tubize

Rétrospective 2017 : L’hôpital de Tubize

Cette année aura été marquée par la menace de fermeture de l’hôpital de Tubize.

Fin 2016, on apprenait que Jolimont souhaitait transformer l’hôpital de Tubize en hôpital de jour,  et de garder les consultations et un service d’urgence classique sans SMUR (Service Mobile d’urgence et de réanimation).  Ce fût un choc pour toute la population ainsi que pour les autorités communales.

Touche pas à mon SMUR

La population s’est déplacée en masse.

 

Rapidement, Ecolo demande une réunion avec tous les acteurs de la santé à Tubize.  Ces réunions permettent de se rendre compte de la difficulté de collaborer avec la direction de Jolimont.  Ils agissent sans concertation, en mettant en péril la santé des tubiziens.

Communiqué suite au groupe de travail pour le maintien de l’hôpital de Tubize

Rapidement on se rend compte que suite à la 6ème réforme de l’état, c’est le ministre Wallon qui devient responsable de la planification hospitalière.  Le ministre Prévôt (CDH) a signé l’accord des transferts des lits à Nivelles.

L’hôpital de Tubize, qu’est ce qu’il en est ?

La commune tente le tout pour le tout en faisant un recours contre cette décision.

Retour de la commission des recours du gouvernement Wallon

Le recours sera jugé irrecevable car la commune n’est pas compétente.

D’ailleurs, on le voit car l’hôpital avance tous seul sans aucune concertation avec les acteurs de terrain, ni des autorités communales.

Au mois de novembre, ils ont annoncé la création d’un PIT (ambulance spécialisée sans médecin).

http://www.lesoir.be/125635/article/2017-11-22/le-nouveau-visage-de-lhopital-de-tubize

Malgré que certains crient victoire, Ecolo continuera à suivre ce dossier car la réforme des hôpitaux aura lieu cette année.  Nous serons attentifs à l’impact que cela aura à Tubize.

 

 

Une semaine, un thème: Notre commune amie des aînées

Une semaine, un thème: Notre commune amie des aînées

Dernier thème, notre commune amie des aînées.  Répondez à ces questions et donnez nous vos idées.

Est-ce que vous vous voyez vieillir à Tubize ?

Comment vivez-vous à Tubize en étant un senior ?

Comment voyez-vous une ville accueillante pour les aînés ?

Voici ce qui se passe ailleurs: 

 

  • Brive-la-Gaillarde (France) a lancé le dispositif « Mon fauteuil, mon café, mon journal ». En ouvrant un espace de convivialité ouvert à toutes et tous, on tire les personnes âgées de leur isolement et de leur solitude. Prendre une tasse de thé ou de café, s’asseoir autour d’une table et discuter, jouer aux cartes, prendre un goûter, etc. sont des activités possibles quotidiennement. En outre, des actions culturelles ciblées telles que ciné-débats ou encore conférences sont organisées avec succès.
  • À Namur, «la Centrale des moins mobiles» permet à des centaines de personnes à mobilité difficile d’aller à l’hôpital, de rendre des visites, de faire leurs courses, etc.
  • À Trébovant, commune bretonne de moins de 1000 habitants, on organise régulièrement un séjour de vacances d’une semaine regroupant des lycéen-ne-s et des résident-e-s d’une maison de retraite. Deux lycéens sont référents d’un-e- résident-e. Permettre un autre regard sur les aînés, développer du lien social, consolider la solidarité, sont des objectifs le plus souvent rencontrés.
Une semaine, un thème : Notre commune en santé

Une semaine, un thème : Notre commune en santé

Une semaine, un thème : Notre commune en santé.  2016 fût marqué par la menace de fermeture de l’hôpital.  La santé est un enjeu majeur pour notre ville.  Plusieurs acteurs doivent se concerter.  Mais vous comment voyez vous la santé dans votre commune ? Répondez à ces questions.

Qu’avez-vous besoin en termes de santé pour vous sentir en sécurité ?

Etes-vous satisfaits de l’offre de soins à Tubize ?

Comment voyez-vous l’accès à la santé dans une ville ?

Voici ce qui se passe ailleurs:

  • Frigo gratuit à Schaerbeek. Une asbl a installé deux « frigos ouverts » de façon permanente. Les habitant-e-s et professionnel-le-s de l’Horeca qui le souhaitent peuvent y déposer leur surplus alimentaire, nourriture et des boissons (les bouteilles ouvertes, les boissons alcoolisées et la nourriture périmée n’étant pas autorisées). Et ceux qui le souhaitent viennent s’y fournir. Un responsable de l’association vérifie tous les jours les dépôts. Le lieu d’installation a été discuté avec la population précaire du quartier. Il fallait en effet trouver un lieu à la fois accessible aisément, mais permettant la discrétion à celles et ceux qui vont se servir. Ce frigo public participe à l’amélioration de la cohabitation des différentes populations dans le quartier et a créé un réel mouvement de solidarité.
  • Maison Médicale à Trooz.  La commune a fait le constat d’un trop faible accès aux soins de santé de première ligne par pénurie de médecins. Elle a alors soutenu dès 2012 le projet d’une Maison Médicale qui a ouvert ses portes en 2014. Elle propose des services en lien avec la santé : médecine générale, service infirmier, service de kinésithérapie, service de psychologie, santé communautaire, comité de patients, prises de sang, etc. Si ces services s’adressent prioritairement aux personnes en situation psycho médico-sociale précaire, la maison médicale est ouverte à tous les habitants et toutes les habitantes de la zone. La commune, avec la collaboration de l’équipe médicale et le soutien de la Région wallonne et de l’Inami, s’est fortement impliquée dans ce projet qui répond à un réel besoin de la population.
Une semaine, un thème : Notre commune énergétique

Une semaine, un thème : Notre commune énergétique

Une semaine, un thème: Notre ville énergétique

Quelle énergie voulez-vous à Tubize ? Répondez à cette question.

Voici ce qui se passe ailleurs:

  • En 2012 à Raeren, la commune décide l’engagement sur fonds propres d’une Manager Energie. Les actions sont auto-financées par les économies générées. Pour la première fois, Raeren dispose d’un concept énergétique : Audits des consommations énergétiques, régulation en partenariat avec les utilisateurs, isolation thermique, développement de production photovoltaïque, changement d’éclairages.  La commune s’est fixée l’indépendance énergétique à l’horizon 2030.
  • Namur s’est engagée dans un Plan Climat – Énergie et dans la Convention des Maires.  Deux exemples concrets:
  • Un des plus gros chantiers d’éclairage concernera la Citadelle en 2017 et 2018. L’éclairage patrimonial sera entièrement renouvelé au profit d’un dispositif LED moins énergivore, modulable, plus adapté à une mise en valeur patrimoniale et touristique. Suivra l’éclairage des cheminements piétons allant du Grognon au sommet de l’esplanade, lui aussi, modulable et intelligent, ne s’allumant qu’au besoin, diffusant de l’information et sécurisant le site.
  • La ville s’est également engagée dans la rénovation énergétique du patrimoine communal, spécialement au CPAS (en particulier les nouvelles MRS), à la Citadelle et à la Régie foncière en exécutant des rénovations exemplaires de bâtiments pourtant très vieux.

 

  • Schaerbeek a lancé en 2014 son Plan Climat 2. Axé sur les ambitions de «mieux acheter, mieux produire, mieux consommer, mieux piloter», il vise à diminuer drastiquement les consommations de la commune en tant que PME. L’argent ainsi économiser peut être réinvesti dans d’autres politiques au service du grand public. Schaerbeek produira, dès mi-2017, un quart de l’électricité consommée par les bâtiments communaux grâce aux panneaux photovoltaïques installés sur les toitures communales. Ces installations ont été réalisées via le système de tiers investisseurs.
  • À Chaumont-Gistoux, l’école communale de Corroy-le-Grand a été réalisée sous Agenda 21. Un magnifique bâtiment, très basse énergie, accueillera prochainement quelques centaines d’élèves.
  • À Fléron, la commune a adhéré à la Convention des Maires, a engagé un conseiller énergie et se fournit avec 100 % d’électricité verte.